LES NÉO-BRUNSWICK PEINENT À REMBOURSER LEURS EMPRUNTS

L’Acadie Nouvelle jeudi 20 octobre 2016,   Jean Goguen- Gracieuseté

Essayons de comprendre la situation financière que vivent actuellement les gens du Nouveau Brunswick et ceux de la Péninsule acadienne en particulier, qui sont vulnérable et qu’on appelle les pauvres.  Référence : Plus d’un enfant sur cinq vivent dans la pauvreté au N.B.  Avec le plus haut taux s’insolvabilité au pays en 2015 selon ce rapportage.

Je retourne bien loin en arrière, lorsque je vendais les produits Fuller Brush pour payer mes études au collège en parcourant les Villages de la Baie des Chaleurs.  J’étais en contact permanant avec des familles très pauvres.  Je me parlais en marchant de maison en maison, me disant que le manque d’éducation et d’instruction étaient la cause de tant de pauvreté et c’est encore VRAI aujourd’hui en 2016 la même cause !  Je refusais de leurs vendre, aux dépend de mes commissions.  Je me permettais de leurs expliquer ce qui étais le plus essentiels avec leurs allocations d’enfants; l’habillement pour l’école des enfants et le manger etc…

Je répétais à ces mères de famille ce que ma mère nous enseignait et elle m’écoutaient conne-ci j’avais de grande connaissances !  Pas besoin d’avoir de grand projet pour accompagner les pauvres.  Comme me le répétait mon Mentor Gérard Bourgeois: garde tes discours simples pour que le monde comprenne.  Dans mon livre « TOI ET L’ARGENT » Ce n’est pas quand le sac est vide qu’il faut économiser, c’est lorsqu’il est PLAIN. ( je vais faire un cadeau de mon livre  à notre premier ministre Justin Trudeau car il est loin d’être un modèle avec l’argent des contribuables, honte à nous de le laisser faire)  Les plus vulnérables de la société, les pauvres sont laissé à leurs habitudes et personne n’est responsable de leurs expliquer qu’il y a des possibilités de faire mieux.

Mes convictions sont profondes pour avoir expérimenter le sujet à de multiples d’occasions avec de petits groupes qui voulaient se sortir de la pauvreté et de l’aide au revenu.  Je leurs montrait à pêcher les bons ingrédients de la vie.  Nous, on se donne bonne conscience, on veut faire la charité et c’est très bien (les émigrants)

Je viens de recevoir une courriel d’une personne qui crie dans le désert avec toutes les larmes de son corps.  Son cœur est immense, sa santé est égale à sa pauvreté.   Encore mieux que l’argent, je fais de mon mieux pour lui enseigner a pêcher pour mieux vivre.

Devenir un bon samaritain, une bonne samaritaine, avec l’initiative d’enseigner à l’autre qu’il y a des possibilités de vivre mieux et en santé.  WOW !  QUELLE  BEAU DÉFI …..

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