UN COEUR REMPLI D’AMOUR

Un texte de Francine Laplante –  Femme d’affaire -La Presse dimanche 11 juin 2017

Les fondations de l’hôpital  Sainte-Justine de Montréal se sont fissurées la semaine passe.  0nde de choc, immense est passée inaperçue  pour le commun de mortels, mais pas pour les parents et les enfants qui, un jour ont eu le malheur de traverser les portes de cancérologie  Charles -Bruneau.

Derrière  ces portes se cachent le pire des pires, l’odeur de la maladie, l’air de la peur, l’aura de la mort….Mais dernière ses portes se trouvait  également depuis 1988.  0ui, un véritable ange, que vous y croyez ou non, une personne plus grande que nature, dégageant une empathie, une compassion, une humanité à la grandeur des mères Teresa, Grandi et Nelson Mandela.  Vous pouvez pensez que j’exagère  ?  Non, non, non, vous ne comprenez pas !

Caroline Rivest, une Québécoise de chez nous, peut facilement comparer son parcours à tous les grand de ce monde, sauf qu’elle choisis d’intervenir dans l’ombre sans jamais chercher la reconnaissance , les projecteurs ou les hommage.

Elle n’avait qu’une mission :  protéger ses ti-loup et leurs parents.

La semaine dernière , le verdict est tombé.

NOTRE Caroline est malade, très malade.  Le cancer, son ennemi viscéral, celui qu’elle a vu détruire la vie de milliers d’enfants, s’est attaqué à elle avec un diagnostic désastreux :  elle est condamnée !

Jeudi dernier, elle est venue è l’hôpital faire ses adieux,  J’y étais, en retrait de tous ce  monde qui volaient l’embrasser et la remercier. Puis , elle à tenu è faire un témoignage.   » Je suis malade, très malade, mais je ne suis pas fâchée.

Pourquoi pas moi et pourquoi tous ses enfants ?  J’ai eu l’honneur de faire le plus beau métier du monde, de vivre dans le vrai, de côtoyer le plus beau de l’humanité et le plus laid en même temps.     

  » N’oubliez jamais que de tenir la main d’une enfant très malade, soutenir ses parents, les accompagner parfois aux porte du paradis est un immense privilège. »  

Caroline, mon ami, mon idole, mon modèle, non plus grand souhait, c’est qu’un un jour, ton non soit reconnu mondialement et cité en exemple dans l’histoire, car je sais que tu es et tu seras la plus grandes dame que le Québec ait connues.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, des héroïnes , des anges  sont là derrière les portes clauses à notre service.

Isidore

 

 

 

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