CRÉER AVEC SES MAINS

Un texte du père Serge Comeau  publier hebdomadaire dans le journal l’Acadie Nouvelle chaque samedi, celui-ci est du 27 mai 2023.  Voici quelques extrait de sa chronique.

 » Souvent nous mettons les différences entre nous, alors que nous sommes de la même  » PÂTE »  humaine.  Nos particuliers sont due à des formes de bêton qui ont forgé notre personnalité; elles relèvent davantage des circonstances et des contingences historiques.

En ajourant des choses à nos vies, elles perdent de leur valeur.   La  » marche «  nous dit t’il,  devint ardue,  parce que nous avons comme humain des choses à traîner . Nous avons tous de lourds de tant de pesanteur à porter, que nous croyons nécessaires, et qui ne le sont pas. La beauté de la vie est dans sa  » LEGÈRETÉ  » même dans la vie spirituelle. Il ne s’agit pas de remplir un coeur de connaissance et d’expériences.   » LA VIE ELLE MÊME EST SALUTAIRE  » 

 » ENLÈVE TOUT CE QUI EST SUPERFLU » 

 » Si tu ne vois pas encore ta propre beauté

fait comme le sculpteur d’une statue qui doit 

devenir belle: il enlève ceci, il gratte cela, il rend l’endroit

lisse, il nettoie tel autre, jusqu’à ce qu’il fasse apparaître 

le beau visage dans la statue.  De la même manière, toi aussi,

enlève tout ce qui est « SUPERFLU  » 

Redresse ce qui est oblique, purifiant tout ce qui est 

ténébreux pour le rendre  » BRIANT  »  et ne cesse de sculpter

ta propre « STATUE  »  jusqu’à ce que brille en toi la  » CLARTÉ  » 

divine de la vertu.  » Plotin, philosophe grécoromain de 3e siècle.

Serge nous dit encore:  Que nous sommes entourés de beautés naturelles et chefs d’œuvres créées par l’être humain.  Nous oublions trop souvent toutes ses bénédictions , Nous regardons sans voir, nous entendons sans écouter.  L’attention est le fondement d’une vie qui sais apprécier et se réjouir de ce qui « L’ENTOUR « 

je n’ai rien à ajouter.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

 

 

VOIR LE BON CÔTÉ DES CHOSES

L’Optimisme , c’est  ce souvenir des mauvais jours, mais des bonheurs qui ont meublés la vie. -Line Beaurepaire-

Bonne question en ce dimanche 21 mai. Êtes-vous du genre optimisme ? Tout en demeurant réaliste.  Avez-vous cette tendance à croire que tout va bien aller.

Je me répète: Honnêtement, êtes-vous optimiste ?   Je vous concède que de nos jours, et en particulier depuis la pandémie et aujourd’hui avec l’inflation , ce n’est pas évident d’être en affaire et, surtout d’y rester. 0r, c’est spécialement pour cette raison, le monde des affaires appartient aux optimistes.

En cette périodes difficile, comment envisager le bonheur et la réussite si vous n’avez pas un peu développer un penchant pour l’optimisme ?

Au cours de ma magnifique carrière comme conseiller financier et en assurance-vie, j’ai appris entre autres que le succès en affaires est étroitement relié à la satisfaction du travail accompli. Mon fils Marion qui à pris la relève comme conseiller financier, m’apprenait que dans trois mois, il avait perdu plus d’une douzaine de mes clients décédés, qui ont laissent dans la péninsule Acadienne des millions en héritage pour leurs familles.  Dans le domaine d’assurance-vie, j’ai eu ce grand privilège de vente un produit d’amour. Achetez de l’assurance-vie pour les autres, c’est l’achat la moins égoïste qui soient. T’es certain que c’est pas toi-même qui va en bénéficier.

Notre institutrice nous lisait souvent des histoires et il y a une en particulier qui m’est restée en mémoire et qui m’a suivi toute ma vie durant.

C’est l’histoire d’un riche laboureur qui, sentant venir la fin, demanda à parler à ses enfants en l’absence de témoins.  » GARDEZ-VOUS BIEN, LEUR DIT-IL DE VENDRE L’HIRITAGE QUE VOUS ONT LAISSÉ VOS PARENTS, CAR UN TRÉSOR Y EST CACHÉ.  JE NE PUIS VOUS DIRE OÙ SE TROUVE LE TRÉSOR, MAIS SI VOUS ÊTES PERSEVERANT ET COURAGEOUX, UN JOUR VOUS ALLEZ LE DÉCOUVRIR » 

Encore aujourd’hui , je me laisse inspirer par la puissance de ces mots. J’y ai retenu que ce n’est pas l’endroit où l’on vit qui détermine ce que l’on devient, mais bien ce que des parents aux valeurs sûres comme les miens et mon institutrice Mme Cormier laissent à ceux qui leur succèdent .

Seule l’ardeur au travail alliée à une attitude positive fera la différence entre l’échec et la réussite, la misère et le confort, le malheur et le bonheur.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

HEUREUSE FÊTE DES MÈRES.

0n dit que l’amour maternel dépasse toutes les amours réunis  ensemble.  0n dit également que l’amour maternel se rapproche de l’amour divin. 0n dit que l’amour d’un mère, c’est la plus belle, la plus forte et la plus extraordinaire du monde.

La journée consacré à nos mamans, présente avec nous dans nos maisons où éloigné, où parti dans un monde  meilleur. Nos mamans demeurent la seul chose unique, qui nous identifie avec la puissance de l’amour maternel.

Avec le temps, on perd cette faculté qu’on avait enfant, de demeurer dans le présent avec ceux qui sont sont là,  et ceux qui sont parti.   La meilleur façon d’aborder la vie au présent réside dans une attitude positive.

Prendre le temps de s’arrêter, de savourer,  de remercier  la vie et d’apprécier ce que l’on possède, l’amour de notre famille et spécialement l’amour de notre maman.

Il faut vivre le moment présent et faire voyager dans l’air du temps les remords, les manquent d’attentions et les égratignures pour les oublier dans les nuages de la vie.

Peu importe les conditions, les manquements et les petite tempêtes de famille, la maman est notre bien le plus précieux, plus cher que de l’or et du diamant.  La valeur marchante d’une maman, aucune valeur ne peut l’égaler.

C’est avec émotion que j’exprime ma gratitude envers ma maman Régina, qui est toujours présente et vivante dans ma vie quotidienne.  Elle à encore de grande responsabilité envers mes petits enfants et toutes ma famille.  De veillez jour comme la nuit sur nous tous, c’est ça job à plein temps,  et je sais qu’elle le fait merveilleusement bien.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

 

 

 

LA VIE INFLIGE LE PIRE À L’ÂME ET AU CORPS.

Pour bien des gens que je connais( plusieurs en ce moment sur ma liste)  la plupart ambitieux, fiers et débordées par les responsabilités professionnelles et familiales.

Ces gens-là que je connais bien, il n’y a pas de place dans leurs vie pour le repos,  encore moins pour la maladie.

Quoi qu’on pense, la maladie ou la santé- tout dépend du point de vue où l’on se place- requirent un minium de responsabilité de la part de ceux  et celles qui l’entretiennent ou qui la subissent.  Se garder en santé suppose de saines habitudes de vie, un effort pour garder l’équilibre entre le travail , la détente, une volonté de pousser ses limites sans se faire mal .

Cela dit, même si on se rend compte trop tard que l’on a contribué à sa maladie, il n’est jamais trop tard pour contribuer à sa guérison. ( Il vient de me confier qu’il n’a plus toucher à l’alcool et la drogue depuis 14 mois, et la santé va beaucoup mieux, même avec son divorce. )

La science a fait beaucoup de progrès, mais elle n’a pas le pouvoir de guérir toutes les maladies, tel que l’alcool et la drogue.

Dieu connais le pouvoir de guérison et surpasse bien des interventions, des médicaments et traitement de toute sorte.

L’ humains, c’est toi et moi. C’est toi et moi qui avons le pouvoir de décidé de mettre fin à une mauvaise habitudes,  De mettre fin à une mauvaise relation, à l’alcool et fin à la drogue. 

L’humain, à le grand pouvoir de dire non et non, c’est fini,  je change de vie. 

La foi, mes amis. Il suffit d’avoir la foi. La foi est plus puissante que les paroles et la logique des hommes. Elle a fait ses preuves. Mais, il faut y croire fermement. Il faut croire que la guérison est possible. Il faut être prêt à combattre le doute, le découragement, la souffrance et la susceptibilité des autres.

Rappelez-vous que la guérison d’un mauvaise habitudes n’est pas l’affaire du médecin et de la science.

C’EST VOTRE AFFAIRE ! 

Qu’on l’admettre ou non, la spiritualité aura toujours sa place en matière de santé et de guérison. Et en chacun de nous se trouve le pouvoir d’en déterminer la réelle portée.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore