MÈRE TERESA NOUS PARLE

En 1986, devant 2800 personne dans un hôtel de Montréal parmi une foule de gens d’un certain âge et  d’un certain revenu et l’habitude du confort. Aucune plainte ne s’élevait en attende de la conférencière.  Tous les yeux étaient braqués avec respect sur le rideau qui devait s’ouvrir sur une invité d’honneur spéciale.

Les titres, les fonctions, l’âge, le revenu et toute autre étiquette n’avaient aucune importance.  Le rideau s’est enfin ouvert sur une petite dame au visage ridé vêtue d’une modeste robe et d’un voile.

Il n’y avait plus dans la salle que 2800 humains dans toute leur nudité.

Calcutta, cette ville où meurent chaque jour plus d’un millions d’enfants par jours, et grâce à la charité de mère Teresa et ses complices en dit que de 30 à 40 milliers survivent. WOW !  c’est ça l’amour que Jésus à prôné.  Des enfants et des gens mouraient dans les rues comme des bêtes en fôret avant que Mère Teresa ne leur apprenent à mourir dans la dignité et vivre dans la dignité.

En parlant de l’Amérique et de Montréal, Mère Teresa trouvait les gens chanceux de ne pas mourir de faim, mais elle leur dit qu’il y avait encore pire que la faim,  » LA SOLITUDE  »  LES GENS D’ICI  MANQUE D’ATTENTION  ET DE RECONNAISSANCE. 

 » Mère Teresa ! s’est exclamé un homme d’affaire, vous avez tellement raison. Mais dite-nous ce que nous pouvons faire, nous les hommes d’affaires  pour soulager la solitude qui régne un peu prtout à Montréal et autres.

Et Mère Teresa de lui répondre avec le sourire:  

 » VA LES VOIR « 

Lorsque j’ai lu ce compte rendu de cette réunion, j’ai conclu qu’il y a trop peu d’exemple de l’amour.  Il y a beaucoup d’amour et d’exemple d’amour qui ne font pas la première page des journaux, ni des médias.  Mais l’amour existe encore, plus que vous pouvez le croire.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, la solitude avec les téléphones intelligeant  et autres; Les enfants ne se parlent plus, les papa et maman ne se parlent plus et la solitude est devenu un cancer qui va vraiment être difficile à contrôler.

Isidore.

 

 

 

JE SUIS EN HARMONIE

Je suis en harmonie avec moi-même quand j’ai le sentiment d’être comblé de « Grâce » et choyé par la vie. Je suis en harmonie avec moi même lorsque je pose des gestes de bontés envers les autres.  Je suis en harmonie avec moi-même quand j’ai trouvé l’amour, c’est un immense cadeau . Je suis en harmonie avec moi-même quand je suis en bonne santé physique et bien dans ma peau.

L’harmonie ça commence toujours avec soi-même .

lorsque vous êtes bien avec vous même, bien dans votre peau, c’est presque une garantie d’être en meilleur santé .  Le stress, l’anxiété, l’inquiétude sont des ingrédients dangereux et nuisible pour la santé et vous empêche de  voir le soleil au-dessus des nuages.

Bien des gens traversent la vie avec un loud fardeau sur les épaules.  Ce fardeau est souvent composé de ressentiment, d’amertume, de cachoterie et de violence  sexuel vécu dans l’enfance  et jamais dévoilé.

Je dis et répète que  vous devez immédiatement prendre conscience que vous êtes le seul responsable de votre fardeau. Je ne veux surtout pas donner des conseils sur quoi faire où quoi dire, mon but  et objectifs  est tout autre.  Mais , il n’y a rien de mal de s’assoir et de réfléchir dans un coin, en silence et médité sur les moyens à prendre pour vous enlevez un fardeau qui est lourd à porter.

Nous avons tous doit à la fraîcheur et au vent léger qui est donné gratuitement par notre Créateur.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

BÂTIR L’IMMAGE DE SOI

A ce moment précis, je ne sais vraiment pas comment je peux vous convaincre de vous bâtir une image de confiance envers vous même et envers vos propres talents. 

Je sais, je sais qu’une personne qui se donne les moyens de réussir est quelqu’un qui a une bonne estime d’elle même. Il est difficile d’imaginer comment quelqu’un qui n’a pas confiance en soi  pourrait être considéré comme une personne qui a les moyens de téussir.  Mon mentor m’a certainement répété ce petit message 100 fois avant que mon subconscient enregiste. Il était essentiel que je construise ma propre estime de moi- même.    À ce moment-là  mon estime  valait pas cher, je m’aurais vendu pour 1$ dollors. 

Si je vous posait la même question aujourd’hui que mon mentor me posait à l’époque de ma jeunesse »  Quelle image avez vous de vous même?  Même à votre âge vous auriez problablement quelques difficultés à dire en quelques  mots comment vous vous voyez.

Votre image de vous même affecte la façon dont vous interprétez ce que les gens disent de vous présentement.  Votre façon d’agir avec ceux qui ne sont pas gentil avec vous,  Votre façon d’agir envers des réflexions qui ne correspond pas à vos valeurs. L’intimidation est rendu partout,  dans les meilleurs voisinages, foyer et sur la place public.

Il faut être fort et bien armé contre l’agresseur et ne jamais se laisser influencer par la perception des autres.

Je vous propose mon arme fatal, capable de combatte l’ennemie  en tout temps et en tout lieu.  Il faut prendre note, où  » L’ENREGRISTER  »

 » Rien ni personne ne peut m’empêcher d’être heureux  »  – RÉPÉTER- devant l’agresseur.  »  Rien ni personne ne peut m’ empêcher d’être heureux, heureuse »

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

VOUS POUVEZ TOUJOURS FAIRE MIEUX

Wow !  Toujours faire mieux, c’est demandant, c’est exigeant et ça demande de l’énergie positive. Donnez vous constamment des défis et des raison de rêver.  Je sais, je sais que nous avons tous besoin d’un « pouce, pouce  » dans le derrière pour nous faire avancer. Ce pouce pouce,  c’est notre motivation intérieur positive.

Je sais également qu’il est tentant de se reposer, spécialement après une période difficile, c’est parfois là l’erreur.  Il faut se reposer, mais la limite doit être raisonnable.  Ce jeune vieux me confiait qu’il se repose depuis un échec qui l’a fait sombré dans une petite dépression et qu’il n’a plus le courage de se relever.

Je vous partage ce que j’ai compris de la vie de tous les jours:  Ne jamais  laisser aller votre  » baraque  » quand le vent vous est favorable. ( Expression de pépé Albert que j’ai entendu lorsque j’étais dans l’âge de comprendre, après explication )  C’est le moment idéal pour mettre le cap sur vos rêves les plus fous.   La chance est avec vous, car le vent est du bon côté.

Il faut être présent à la vie:  Ce que je trouve tellement malheureux, c’est que bien des jeunes se laisse endormir et déduire par l’alcool, dogue et tous les gadgets inventer pour détruite l’être humain à petit feu et lui enlever son bien le plus précieux, celui de choisir et relever des défis.

La vie n’est pas un présent que l’on reçoit  à la naissance et comme me le disait si souvent ma grand-mère Anna :  La vie est comme une plante, il faut l’arroser et s’en occuper jusqu’à la mort.  L’ARROSER, LA NOURIR ,sinon elle va dépérir.    Wow ! 

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut s’occupé à arroser notre plante à tous les jours, si non elle va mourir.

Isidore

 

 

AUX FIL DES ANS

j’ai compris que le succès, la réussite est la somme de petit effort, répétez à tous les jours.  La motivation des buts et objectifs , le travail, la discipline et l’engagement sont les maîtres du jeu.

j’ai également compris, au fil des ans, que le prix de la réussite, c’étais surtout  » D’OSER  » . 0ser faire des efforts, oser vaincre ses peurs, oser aller à l’intérieur  pour tenter de comprendre et de les vaincre ses peurs. 

En route vers un client qui m’intimidait au départ, je me disais que personne ne peut grandir sans oser.  Pas très grand physiquement, je trouvais que cette vérité me collait à mon système mieux que quiconque.   C’était un moyen infaillible pour me convaincre d’approcher les professionnels dans mon travail.  Je m’épuisais à la simple perspective d’amorcer les démarches pour les rencontrer.  À grands coups de courage, je finissais par en empoigner un au bout du fil, comme un lutteur qui affronte un adversaire coriace.  -Tout simplement du mauvais mental-

Entraîné à l’effort, je finissais neuf fois sur dix, à ravir une autre victoire, un autre client.  Après tout, je n’allais pas , avec un médecin, défendre une thèse sur une cause du cancer, mais lui parler de finance, de placement, d’assurance-vie, lui en enseigner les avantages et soigner ses inquiétudes en matière d’avenir et de sécurité pour les siens.

Au fond, je n’avais pas à craindre son jugement puisque c’étais moi l’expert et je savais faire mon métier avec autant d’intelligence que lui, de son côté, exerçait sa profession de médecin.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut oser pour atteindre ses buts et objectifs.

Isidore

 

 

 

CHERES ÉLÈVES, VOUS M’AVEZ TANT APPRIS

je me permet de vous transmet un résumer d’un témoignage de Catherine Marquis , enseignante en francisation des adultes immigrant 

Depuis le début de ma courte carrière, une chose a toujours été claire nous dit Catherine: j’enseigne le français, c’est moi l’experte dans la classe. Mais à 26 ans, c’est moi également la plus jeune de la classe, eux, ils en savent beaucoup plus que moi sur la vie. Je ne l’oublie pas.

Je peux dire que grâce à moi, ils ont appris la conjugation des verbes et maintenant ils savent utiliser le français pour parler entre eux et peuvent aller chez le médecin et louer un appartement et se faire bien comprendre en français.  Avec eux, moi aussi j’appris énormément.

DE VRAIS ÉPREUVES

Un élève qui a quitté son pays pour fuir la guerre en laissant toute sa famille derrière lui. Une autre qui est seul à la maison pour s’occuper de ses enfants pendant que son mari travaille dans un autre province. un autre qui étudie le matin 30 heures par semaine et travaille 35 heures le soir pour soutenir sa famille, un autre, une autre…Malgré toutes les difficultés qu’ils rencontre, tous se présentent en classe le matin avec le sourire et le bonjour en français.

Dans ma classe, les gens proviennent d’au moins 10 pays différents, parlent des langues différentes, des religions différentes.  

J’ai appris d’eux,  l’humilité, le respect l’entraide  et la patience .  Ils me montrent qu’on peut s’ouvrir aux autres tout en restant fidèle à soi-même et de ne pas avoir peur  de s’accepter tel qu’on est. 

Ils me montrent qu’on peut avoir du plaisir dans les choses les plus simples de la vie, dans les petites victoires du quotidien, à travers les espoirs qui naissent et les nouvelles amitiés qui grandissent.

Ils me rappellent enfin combien c’est important de jouir de la vie à chaque instant, d’apprécier ce qu’on a et de ne pas avoir peur des nouvelles expériences.  (j’entend  encore m’on mentor me faire le même discours et ce texte me touche beaucoup)

Grâce à eux, je sais que je fais le plus beau métier du monde.  Je veux leur dire un énorme «  Merci « 

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, ils faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

RIEN NE VA PLUS

La plupart des gens son optimistes. Ils espèrent vivre une vie merveilleuse remplie d’amour, de joie, avoir un bon travail, un bon salaire décent qui apporte la sécurité et que la vie soit belle.

Ils espèrent que les changements de la vie n’apporteront que de belle chose. Puis soudain, tout bascule, rien ne va plus.

Tu viens de subir un échec financier, tous les biens acquis au cours de ta vie viennent de disparaître; tu viens de perdre ton emplois.  Mais cela n’est rien comparer à ce qui t’arrive, ta santé que tu tenais pour acquise, vient de  « T’ADANDONNER  » 

Là, c’est vraiment vrai, rien ne va plus.

Il est extrêment  difficile de trouvé la sécurité  et l’épanouissement dans ces épreuves.  Certains y réussissent , d’autres jamais.  Pourquoi ?  Ceux qui ont la  » FOI  « ont beaucoup plus de chances de réussir et de trouver une raison valable à leurs malheurs.  Ils se tournent vers Dieu, se rapprochent pour lui tendre la main et lui dire.  Merci Seigneur pour toutes les merveilleuses années de bonheur.   Aidez-moi maintenant dans les épreuvres que je traverse aujourd’hui. Donnez moi la force d’affronter la maladie et toute cette souffrance.

Je crois qu’à ce moment-là, Dieu calme la mer  déchainée et envoie sa lumière.  Avec le temps, la mer reprend son cours normal avec ses hauts et ses bas.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, Dieu envoie sa lumière et calme la mer déchainée .

Isidore