SI JE POUVAIS AIDER

je vous dirais sans détour de cesser de vous trouver des excuses. Les événement de la vie ne sont ni heureux, ni malheureux; les évènements son neutres , j’ai longtemps cru le contraire.  C’EST NOUS, C’EST VOUS QUI, par une mauvaise attitude, en fait des circonstances heureux où malheureux.  Maxime Bernier, l’ex-conservateur, est certainement malheureux d’avoir ruiner ses projets politique à cause de son attitude. Son attitude à causé sa perde et ne peut que blâmer qu’une seul personne, lui même. 

Zig Ziglar nous dit :  » Vous ne pouvez blâmer personne d’autre que vous mêmes pour ce qui vous arrive.  Quand vous pointez l’index vers quelqu’un d’autre, vous trouverez trois fois autant d’index pointés vers vous. »

Quelques jours passés, j’ai rencontré un homme qui me disait avoir raté sa vie à cause de ses parents qui n’on pas voulu lui payer des études universitaire.  Il a quitté le collège pour aller travailler dans un magasin de quincaillerie.    Il aurait pu travailler pendant  les vacances et les fin de semaine pour payer ses études. 

J’ai entendu de très belle chanson dans ma vie et vous en avez entendu vous aussi de belle chanson.  Toujours la faute des autres si vous n’avez pas réussir.  Que vous l’acceptiez ou non, vous êtes responsable  de ce qui vous arrive.

Arrêtez une instant, si c’est votre situation ; où si c’est la situation de qui arrive à un frère, une sœur, un ami proche:  Ce n’est pas la fin du monde.  Il faut découvrir les principes de la pensés constructive.  Il faut agir, vous pouvez aider et changer « VOTRE PRÉSENT »  où celui d’un autre en lui présentant des alternatives qui ouvre les yeux sur des possibilités.  

Les mots que vous utilisez dans votre bouche joue un rôle capital dans votre situation où celle de votre frère et sœur.  IL FAUT LE DIRE:  Ceux qui s’attendent au pire ont généralement raison .  Je vous supplie d’emmagasiner ces mots dans votre subconscient.   Je vous en supplie:   » LA FORTUNE SUSCITE LA FORTUNE,  L’AMOUR INVITE L’AMOUR,  L’ÉCHEC ENTRAÎNE L’ÉCHEC ET LE MALHEUR ATTIRE LE MALHEUR » 

j’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à un frère, une sœur, un ami et même un étranger.

Isidore

 

 

 

 

Il FAUT S’AJUSTER

Nous avons un monde à rebâtir. Travaillant ensemble, marchant ensemble.  Nous avons le pouvoir de créer ensemble, de planifier ensemble, de prier ensemble et de nous construire une vie de bonheur.

Question simple :  Est-ce que vous projetez une image de richesse où de misère.  C’est important d’accorder votre comportement, votre langage, vos flutes et vos désir de vie.  Si vous souhaitez une vie de richesse, il faut cesser de parler de pauvreté .  Je remarque qu’il est tellement difficile d’accorder le langage aux désirs  de votre subconscient.

Quel mois passé, je suis invité à donner une conférence dans une maison grand luxe pour personne âgé.  Je suis content, car il y a du monde à la messe.  Avant ma présentation , je discute avec un groupe de résident et j’en profite pour leurs poser des questions assez général : vous êtes heureuse ici, la vie est bonne pour vous dans ce beau palais royal, etc.

0n m’explique, oui, nous sommes privilégiées, mais ! Il y a un mais!   j’ai peur de manquer d’argent, je ne veux pas vivre trop vieux, je vous laisser de l’argent à mes enfants et petits enfants et voilà j’ai des munitions pour donner deux conférence sur ce sujet:  » J’AI PEUR  »  

Je leur expliqué quelque chose de très simple :  LE MEILLEUR POUR VOUS D’ABORD, POUR ENSUITE DONNER LE MEILLEUR À VOS ENFANTS ET PETITS ENFANTS.

Arrêtez de dire que vous n’avez pas d’argent, que vous n’être pas capable de joindre les deux bouts, que la vie coûte cher, que votre vie est misérable.

Je vous encourage à être généreux avec le peu d’argent que vous avez en poche.  Je revois parfaitement ma mère donner son dernier cinq cent. J’aimais qu’elle refusait de donner l’aumône à ceux qui frappait à notre porte.

Je ne vous encourage nullement à gaspiller:  je vous encourage à la générosité peu importe que ce soit de l’argent où autre .

Ma grand-mère Anna avec son langage coulerez  que je ne comprenais pas, nous disait :  Quand tu refuses de donner 10c, c’est que tu n’as pas confiance qu’il  te reviendra une  » piastre  »  Aves les années j’ai compris.

J’ai aussi compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

 

DÉCIDER DE CHANGER

Wow !  Ma grand mère Anna me faisait rire avec son sens de l’humour et comment, avec des expressions unique, dont elle avait le  secret.  Je la regardais pas à cause qu’elle était belle, mais pour moi, c’était la plus belle.  Un jour elle me dit:  quand tu fais le ménage sur toi, sur ton corportement, sur ce que tu veux changer, sur ce que tu veut devenir  » le choix de la chambre n’est pas important.  Je ne comprenait rien,  j’étais trop jeune.  Maintenant je comprend.

Le désir de changement de ce qui doit être changé, n’est pas un rêve farfelu. L’idée d’un désir de changement, ça ce mesure par un dégré d’entêtement.  Qui ne veut pas s’amiliorer ?  Qui ne veut pas devenir meilleur ?  Qui ne veut pas rentre son existance meilleur et plus facile à vivre ?  Mais la pluspart d’entre nous refuse de changer.  Trop difficile, j’avais oublié, c’est difficile.

Par contre, nous voulons que les autres changent, nous voulons que nos conjoints et conjointes changent, nous voulons que nos enfants et petits enfants changent.  Changer quoi ?  Souvent, c’est notre façon de pensés, de nous exprimer, de nous habiller,  de changer de vie, etc.  LE PLUS IMPORTANT, C’ EST DE COMMENCER LE CHANGEMENT SUR NOUS MÊME, CE QUI DOIT VRAIMENT ÊTRE CHANGER.

Personnellement, je n’ai pas de leçon à donner aux autres, je suis assez têtue, et je rencontre une assez forte résistance au changement de ma pensé.  Je travail, je travail, malgré des années de travail.

Savez-vous pourquoi ça demande tant de travail pour changer ?  Je pense qu’il y a beaucoup de chose enfuis à l’intérieur de nous même qui nous limites à faire un grand nettoyage, et comme me le disait ma grand-mère Anna, peu importe la chambre.

Un maître à pensé dont le nom m’échappe nous dit qu’ils y a différentes façons de changer:   Il y a l’approche sprituelle, l’approche mental, et l’approche physique.  L’APPROCHE PAR LA MÉDITATION N’EST PAS SI MAL  j’ai enfin compris que le choix de la chambre importe peu, ce qui compte vraiment : C’EST LE VOULOIR, C’EST LE DÉSIR, C’EST CE QUI EST LE MIEUX POUR TOI, PEU IMPORTE LA MÉTHODE. 

j’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

 

LA GRATITUDE

On n’accomplie jamais de grande chose dans la vie, seulement des petites choses – Mère Teresa- 

J’ai pris conscience d’avoir beaucoup reçu de la vie. j’ai pris conscience d’avoir eu de bon parent, une super de bonne grand-mère (Anna) J’ai pris conscience que mon emplois d’été, comme vendeur des produits Fuller Brush pour payer mes années de collège, à été une très grande université pour moi.  Rencontrez les gens dans  l’intimidé de leur foyer à été une revelation.  La grande pauvreté de l’époque, le manque d’instruction, le manque de travail rendaient les gens vulnérable et manipulable.

J’ai découvert le bonheur de faire quelque chose de gratuit pour les autres. Je me suis ouvert davantage  à la gratuité de mes actions pour accompagner quelqu’un.

Chaque moment de libre , je l’ai consacré à la lecture, un peu plus tard , j’ai découvert la philosophie et la puissance d’un bon livre.

Le livre à eu un effet extraordinaire sur mon attitude , mon comportement et ma vision de la vie.

Le livre m’a appris qu’il y avait des possibilités dans la vie et cela m’était donner presque gratuitement, monnayant un peu d’effort.

Avec le livre est venu le questionnement: Est-que je suis dans la bonne direction ?  Qu’est-ce qu’une vie bonne  vie réussie ?  Comment concilier ce qu’on m’a enseigné comme valeur et croyance.  Comment faire le partage du faux et du vrai?   Le bonheur durable est t’il possible ?   Comment réagir à l’épreuve du mal, de la souffrance ?  Allez-y maintenant de vos propres questionnement ?   Allez, allez ! 

Dans mon lit, ou des que je sors de la maison, je dis  » Merci  » à  Dieu  d’être en vie, d’avoir envie de vivre une super de bonne journée. D’avoir la possibilité  de me réjouir, et de témoigner de ma  » gratitude  » pour tous les bienfaits reçu de mes parents, professeur et autres. 

La vie m’a enseigné que du bon !

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore