Tous les articles par Isidore Dugas

JE VOUS SOUHAITE LA SÉRÉNITÉ

 » Pour être heureux, il y a certaines choses à faire, disait mère Teresa, et d’autre à éviter  »

Ce que je vous souhaite le plus dans la vie, et que je me souhaite le plus, c’est simple :

LE BONHEUR, LA SANTÉ ET ÊTRE COMBLÉ D’AMOUR AVEC QUELQUE SOUS EN POCHE.

Le problème mes amis, c’est qu’on s’épuise trop souvent à chercher le bonheur, qui est simplement caché tout près de nous, et toujours à notre disposition.

Le bonheur se trouve en nous !

0n le trouve rarement dans la voiture de l’année, ou le voyage en Espagne.  Cela, ce sont de petites étincelles de joie qu’on s’offre si on n’a les moyens.

Le bonheur ne se mesure pas à l’épaisseur de son portefeuille, ou de sa fortune matérielle, sinon tous les gens riches seraient parfaitement heureux et tous les pauvres parfaitement malheureux.

Le bonheur réside dans la capacité d’apprécier le moment présent et d’envisager positivement de bon moments à venir.

Je n’arrive pas à me souvenir qui à dit cela à propos du bonheur.

 » LE BONHEUR, C’EST UN FORME DE SAGESSE QUI NOUS PERMET DE FAIRE LES BONS CHOIX, ET PARVENIR À LA SÉNERITÉ  »

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

LA RENCONTRE DES GENS MALHBEUREUX

Vous avez sûrement rencontré des gens qui vous raconte leurs malheurs.  Ils ont cette maison qui ne se vend pas, malgré la demandent. Un travail qu’ils détestent, un mariage qui branle dans le manche, des enfants qui ne réussissent pas bien à l’école, et j’en passe.

Trop souvent, on oublie qu’on n’a le pouvoir de faire des choix et de décider de son avenir, si seulement on pouvais changer d`adresse, mais, on oublier de changer d’attitude et de la façon de penser :

ÇA NE MARCHERA PAS !

0n est tous différents, mais on est quelque part tous connectées les uns les autres. 0n ne vote peut-être pas comme la majorité, je suis croyant et vous ne l’être peut-être pas.  Je préfère les bienfaits de la compagne, la mer, les montagnes, et vous préfère les grandes villes. Mais, ça nous empêche pas à nous aider à devenir quelqu’un de meilleur, de nous aider à grandir, et d’apprendre les uns des autres.

Le bonheur et l’envie de morde dans la vie, ça existe là où on oublie souvent de regarder, c’est-à-dire à l’intérieur de soi.

C’est facile à dire ce que je vais vous dire.

Ah ! oui, il faut prendre les bonnes décisions, en écoutant les voix que l’on a trop souvent tendance à repousser…Wow !

Un chose est certaine:  Les circonstances de la vie, les épreuves peuvent souvent nous apparaitre n’effaces et dévastatrices, mais elles passent rarement sans nous apprendre quelque chose d’important.

Qui d’entre vous ne sais pas déjà retrouvé acculé au mur, et qui n’a pas refait sur face ?

SI VOUS Y CROYEZ, VOUS POUVEZ LE FAIRE !

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

 

TOUT EST DANS LA PERPECTIVE

Un jour, le père de la famille très riche parti avec son fils dans la compagne, pour lui donner une leçon de vie. Il voulait voir comment les gens pauvres vivaient.

Ils passèrent donc quelques jours auprès d’une famille très pauvre.  À  leur retour, son père lui demande : As-tu aimé ton voyage ?  0ui, papa !  As-tu remarqué comment vivaient les pauvres gens ? 0ui, papa !  Alors dis-moi ce que tu as appris de ce voyage.

Son fils répondit :

J’ai vu que nous avions un chien, eux ils ont n’en quatre.                    Nous avons un piscine au milieu de jardin, eux ils ont un lac sans fin.    Nous avons des lampes importées pour le patio  pour nous éclairer la nuit, eux ont les étoiles et la lune pour les éclairer.                 Nous avons un petit lotissement de terre, eux ils ont des champs à perte de vue.

Nous avons des domestique pour nous servir, eux ils s’entraident.      Nous achetons de la nourriture , eux, ils la fond pousser.               Nous avons un mur autour du terrain pour nous protéger, eux ils ont des amis pour les protéger.

Le père était sans voix.  Et son fils ajoute :

MERCI PAPA POUR NOUS MONTRÉ COMBIEN NOUS SOMMES PAUVRES.

Merci à Louise (loulou) pour ce magnifique texte.

J’ai compris qu’à chaque jour, il faut tendre la mains à quelqu’un.

Isidore

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RENDRE SERVICE, UN RÉFLEXE, UNE HABITUDE

Mon plus grand désir, c’est d’apporter quelque chose aux autres.

Vous avez sans doute connu votre part de problème dans la vie. Vous connaissez donc la valeur d’un service. Celui qui l’a rendu l’a probablement fait naturellement, sans se poser de questions, parce que vous en aviez besoin.

C’EST VOTRE TOUR MAINTENANT, IL NE FAUT JAMAIS HÉSITER À RENDRE SERVICE.

Un jour, quelqu’un m’a rendu service, qui a fait en sorte que je suis encore aujourd’hui celui qui vous souris à chaque jour.  Je lui suis infiniment reconnaissant d’avoir pris mon intérêt en considération. Il a été l’un des grands responsables de ma réussite, après mon épouse Edwidge.

Aider les autres à réussir, c’est vous donner une meilleur chance de réussir vous même.

Développez l’habitude de rendre service au point que cela soit pour vous un réflexe, qui fait partie intégrante de votre vrai nature. Vous en serez récompensé le moment venu, pas nécessairement par la personne que vous avez aider, mais vous verrez à la longue à quel point c’est rentable.

 

TON SUBCONSCIENT

Le subconscient, le mien, le tiens n’a pas de parti pris.  Il est soumis nous dit t’on.  Il suit de façon objective les directions que tu lui soumet.  Il ne fait aucune distinction entre ce qui est bien, et ce qui est mal.

Si consciemment ou inconsciemment tu émets des signes de détresse, de découragement ou d’abandon, ton subconscient les enregistre tels quels . C’est un cercle vicieux qui ne s’arrêtera que le jour, où consciemment, tu modifies ton attitude.

Oui, comment se persuader quand tout va bien, quand tout semble aller mal ?  0n dit que ça relève du désir.  Le désir est à la basse de toute forme de motivation.  LE DÉSIR,  C’EST DE LA MOTIVATION.

Question  très simple entre toi et moi ?  Qui à le plus de chance de réussir, entre le gars qui se dit que le ciel lui tombe sur la tête constamment , ou celui qui se relève les marches et qui se dit ça va aller, je vais réussir.

Il faut sortir des rangs, foncez et travailler fort, et laissez agir le pouvoir de la détermination et de la pensé positive.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

DANS LA NOICEUR, IL EST SOUVENT DIFFICILE DE DÉTERRER LA SOLUTION À UN PROBLÈME

Suite de ma chronique de du 21 juillet2024.  À ma troisième années comme conseiller financier, le vent vira de cap et chevira drastiquement  ma réussite. Je ne tenais plus le coup…J’ai senti que ça cassait.  La lumière des autres ne pouvait m’éclairer et ma lanterne suffisait à me complaire  dans le négatif.

JE N’AVAIS PLUS DE SOUS, ET PLUS DE PAIE !

SEPT MOIS SANS UNE SEUL PETITE TRANSATION.

Je vous partage mon arme secrète, vous pouvez en rire si vous voulez.

j’ai garder un foi profonde avec la conviction que quelqu’un viendrait à mon secoure. Que mes prières  ne serait pas vaine. J’avais espoir c’est tout.

Le 17 de juillet 1972 vers 2hrs de l’après-midi, on frappe à ma porte.

Ce n’est nul autre que le Bon Dieu de l’assurance-vie en personne, Laurien Foot Collins d’Edmundston N.B.  que tout le monde de son patelin appelait monsieur Foot, il n’était pas très grand.

Je le connaissais un peu par réputation.  Il me dit Wow ! c’est pas si mal Caraquet, c’est ma première visite.

Monsieur Foot  ne perdait pas de temps avec la formule du beau temps et en me regardant droit dans les yeux, il me  dit, je suis venu te demandé conseil si tu me verrais bien comme directeur ?  Crois-tu que je ferais un bon direction adjoint Isidore.  Toi, je te verrais président de la compagnie ! lui répondis-je d’un trait.

Je suis près à accepter cet emplois à une condition:  QUE TU VIENS TRAVAILLER POUR MOI…..

J’ai fissionnai , je ne comprenais rien du tout de la démanche de Foot Collin.  Pourquoi tiendrait-il à me compter dans son équipe, alors que plus de 250 milles nous séparent de nos bureaux respectifs ?

Voyons monsieur Foot, je suis un homme fini et je m’enfonce de plus en plus chaque jour.

Il me regarda droit dans les yeux:

ISIDORE, T’ES LE MEILLEUR HOMME QUE LA COMPAGNIE À JAMAIS ENGAGÉ,  SI TU ACCEPTES DE TRAVAILLEUR POUR MOI, J’ACCEPTE LA JOB, ET TU VAS CONNAÎTRE LE SUCCÈS, BEAUCOUP DE SUCCÈS.

Une phrase courte,  sincère qui as fait des miracles dans ma tête.

Oui, je veux bien, mais, j’ai mon directeur adjoint !  Tout est arrangé mon Isidore, je lui ai payé un bon café et il étais très d’accord.

VENDU POUR UNE TASSE DE CAFÉ…..MA TÊTE NE VALAIT PAS CHER.

Vendu pour un tasse de café ! Et j’étais heureux, bien malgré moi.

Avec une nouvelle dose de confiance , de la fin juillet 1972  et fin décembre, je me suis qualifié pour une conférence de vedette pour une semaine à l’Hôtel Waldorf Astoria à New-York , et c’est là que j’ai rencontré Joe Gandolfo conférencier qui allait changé complétement ma vie.  0n disait de lui qu’il étais le plus grand vendeur s’assurance-vie du monde.

Sa production ,  à lui seul, égalait celle de plus de 80 représentants réunis ensemble.

Jamais tel discours m’avait eu autant d’effet sur moi  » Les marques de confiance de mes mentors comme monsieur Bourgeois, Laurein Foot Collin et maintenant Joe  Gandolfo.

MON RECORD JAMAIS BATTU AU CANADA

Je me suis qualifié pour 24 conférence du Président de suite durant ma carrière, ceci est un record qui ne sera jamais battu au Canada.

Question:  D’après vous, qu’est-ce qui fait la différence dans ma carrière ?

J’ai compris qu’à chaque, jour, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

 

 

PRÉDICATEUR RÉJEAN BERNIER

Réjean Bernier, prédicateur, communicateur laïque au Sanctuaire  Sainte-du -Bocage, du 17 juillet au 26 juillet 2016

Ceux et celles qui ont assister à la neuvaine et entendu son message Évangélique ont tous été témoins de sa spiritualité réconfortante et d’actualité.

Il nous parlait de Sainte Anne, de nous imprégner de son feu, de demeurer solitaire dans notre quotidien, gardon le feu, son feu.

Il nous disait que le messie, c’est un homme, c’est une femme qui chaque jour tend la main à quelqu’un pour l’aider à se relever.

Il nous as souvent demandé durant la neuvaine de poser un geste en parole et action après d’un proche, et cela peu faire une véritable différence.  Et un autre jour de la neuvaine, il nous pose la question qui fait réfléchir.

QUAND QUELQU’UN QUI A BESOIN DE TON AIDE, NE FAIT-TU QUE PASSER ?

UNE AUTRE DE CES QUESTIONS QUI FAIT RÉFLÉCHIR.

T’ARRIVE T’IL PARFOIS DE PENSER QUE TOUT EST FINI, QUE TU-AS TOUT PERDU ET QU’IL N’Y A  PLUS RIEN À Y FAIRE?

SI TU AS LA FOI EN JÉSUS, SI TU AS LA FOI EN LA GRAND-MÈRE DE JÉSUS, UNE PETITE VOIX TE DIRAIT :  RIEN N’EST VRAIMENT COULER DANS LE BÉTON MON AMI, JE PEUX M’ON SORTIR.

Les paroles de Réjean Bernier me parle quotidiennement.

Soyons solidaire dans notre quotidien respectif, afin de gardez le feu de Sainte Anne, son feu.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

 

 

 

UNE PÉRIODE DIFFICILE

Une période où l’on  sent que le vide se répand autour nous, comme une marée de sables mouvants.

0n n’a l’impression que l’on s’engouffre dans la torpeur et l’incompétence, que l’on est à bout de forces et de ressources …Plus de carburant pour performer, pour s’apprécier, pour se motiver.

C’EST LE DÉCOURAGEMENT  À SON MEILLEUR.

EN TANT QU’ÊTRE HUMAIN, NOUS SOMMES EN QUELQUES SORTE PRÉDISPOSÉS À SOMBRER DANS L’UNIVERS DE LA PENSÉE NÉGATIF.

0ui, l’argent est souvent à la source du moral en déclin.  Le train de vie dans lequel on s’embarque nécessite  de d’argent, selon nos valeurs, nos besoins et nos ressources.

Il n’y a pas que les dépourvus et la classe moyenne qui s’inquiètent de leur compte en banque. Le mal de l’argent frappe comme une mauvaise grippe ou un cancer, sans égard au rand social.  La misère des riches est aussi troublante que la misère des pauvres et elle fait autant de ravage en éloignant les victimes du bonheur.

Il y a certainement des façons de surmonter une période creuse.  Il faut commencer par lever la tête et pointer vers le haut, là où il fait « CLAIR  »  Si on garde la tête enfouie dans le tracas, on ne fait que creuser davantage un tunnel sans issue.  Dans la noirceur, il est souvent difficile de déterrer la solution  à un problème.

À ma troisième années comme conseiller financier, le vent vira de cap et chavira  drastiquement ma réussite. Je ne tenais plus le coup…Voilà, j’ai senti que ça cassait.  La lumière des autres ne pouvait m’éclairer, et ma petite lanterne suffisait à me complaire dans le négativisme.

SEPT MOIS SANS UNE SEUL PETIT VENTE.

Ah !  moi  chanceux, j’avais une arme secrète. Vous pouvez rire si vous voulez.  Mes prières !   Mes  prières ne sont pas restées vaines, même si pour moi tout était devenu négatif.

Le 17 juillet 1972… on frappe à ma porte.

À dimanche prochaine pour la suite.

j’ai compris qu’à  chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

LES BÉBÉ-BOUMEURS, UNE CLASSE SPÉCIALE

Le plus important pour nous les bébé-boumeurs, c’est aujourd’hui, oublié hier et accepter le changement.

Mon Dieu, accordez-moi la sérénité pour accepter ce que je ne puis changer, le courage de changer ce que je peux, et la sagesse d’en connaître la différence.

Certaines personnes font arriver les choses, d’autres les regardent arriver, et enfin d’autre ne se posent même pas la question si quelque chose est arriver.

La bonne question:  À quelle catégorie appartiens-tu ?

Prend à l’instant même, la décision de « T’ARRÊTER  »  de   » MÉDITER  » de  » EÉLEXCHIR  » et choisi la « CATÉGORIE  » que tu veux appartenir.

Aujourd’hui, tout est en mouvent, en changement perpétuel.  Rien ne se « PERD  » mais tout se modifie .  Changer est le nouveau « MOT-CLÉ  » de notre époque moderne. Les bébé-boumeurs ne savent plus où se donner la tête, avec tous ces changements, à l’instar des plus jeunes et des diplômés universitaire en quête d’emploi.  Vous devez adapter et évoluer avec les nouvelle technologies de la société.

Le plus difficile pour les bébé-boumeurs, c’est de remplacer les anciennes pensées par pensées nouvelles.

Et pourquoi pas avec de nouvelles idées.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

AIDEZ-VOUS

Vous  connaissez ce vieux proverbe   » Aide-toi et le ciel t’aidera  »

Cela veux dire que vous avez le choix de vous mettre en mouvement, avant de demander aux autres de vous faire confiance.  La confiance, c’est un summum.  Se prendre en main, n’est pas si terrible.

La vie est douce pour ceux et celles qui bougent et malheureusement agresse souvent les paresseux et les tête forte qui ont toujours raisons.

Tout doit partir de vous, vous seul à la solution de tous vos problèmes. Ce que les autres peuvent vous donnent équivaut à un gros coup de pouce, mais l’important, c’est vous, c’est votre « CHOIX  » et de votre « DÉTERMINATION  »

Pour que votre vie vous appartient et  que vous être libre d’en faire ce que vous voulez.

Ne vous laissez pas démolir par les prophètes de malheurs.  Depuis les dernière années ce que nous entendant continuellement parle de  » L’INFLATION, DES  TAUS D’INTÉRÊTS , DES DIFFICULTÉS ÉCONOMIQUES , ETC, ETC.  Les gouvernements va être obligé de faire quelques, et d’arrêter la gourmandise des compagnies qui profites de la situation des plus pauvres.

La vie ne change jamais… La vie rend justice à ceux qui s’aident.

Semez et ayez de la patience d’attendre les récoltes.

J’ai visité dernièrement une famille qui m’a vraiment impressionné.  Le papa me dit, de venir avec lui dans son garage. Il y a deux congélateurs. Le premier qu’il ouvre:  Wow, wow, des récoltes gratuite,  pas un sous me dit-il. Des pots de coqs , des truites, d’autres sorte de poissions, des petit fruits etc. etc..  Et le deuxième la même chose, c’est du grand Wow !  Ensuite, il vient me montrer ses deux jardins…et ses poules… ¸ça marche l’affaire et  soyez certain que je n’ai pas parler d’inflation…

Conclusion :  Si vous n’avez pas le courage de commencer et agir maintenant, il y a de forte  chance que vous ne commencerez jamais.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore