» La sagesse, c’est l’art d’admettre la fragilité de nos réflexions sur laquelle reposent nos certitudes « -Gérard Brown-

Vous avez sûrement rencontré de ces personnes qui vous racontent leurs malheurs, bien réels, et qui ne semblent pas voir le jour où ils pourront s’en sortir.  Ils ont cette maison qui ne se vend pas, un job qu’ils détestent, un mariage qui branle dans le manche, des enfants qui ne réussirent pas bien à l’école, et j’en passe.

Et puis, un ans ou deux plus tard, vous les rencontrez en compagnie de leur même conjoint ou conjointe. Ils ont le sourire aux lèves et ils insistent pour que vous venez faire un tour à leur nouvelle maison en se ventant des performances scolaires de leur plus jeune.

Wow ! Wow ! quelle changement, et quelle  attitude et de façon de penser.  Ce n’est pas seulement le changement d’adresse, c’est du merveilleux.

0n est tous différents, mais on est quelques part connectés les uns les autres. 0n ne vote peut-être pas du même bord, je suis croyant et vous ne l’êtes peut-être pas, Je préfère les bienfaits de la compagne et vous appréciez peut-être le tumulte des grandes villes, mais ça ne nous empêche pas de nous aider mutuellement à devenir quelqu’un de meilleur, de nous aider à grandir et d’apprendre les uns des autres. 

Le bonheur et l’envie de mordre dans la vie, ça existe là où on oublie souvent de regarde, c’est-à-dire à l’intérieur de soi.

C’est là à l’intérieur de soi qu’il faut aller pour prendre les bonnes décisions, en écoutant les voix que l’on a trop souvent tendance à repousser. 

Les circonstances de la vie et les épreuves  peuvent souvent nous apparaître n’effaces et dévastatrices, mais elle passent rarement sans nous apprendre quelques choses d’important.

Je discutais avec un monsieur qui souffre de dystrophie musculaire et qui à 60 ans , a vécu deux mariages et deux divorces.  Il me disait:  »  À cause de ma maladie; je suis devenu un bien meilleur homme »  Il est devenu plus combatif que jamais, mais aussi plus sensible, plus ouvert et plus respectueux, que j’ai pu constater au file de la conservation. 

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore