C’EST UNE HABITUDE DE BLÂMER LES AUTRES

Si nous voulons des résultats que les autres n’ont pas, il faut faire des choses que les autres ne fond pas. Tel que blâmer les autres- Jasmin Bergeron-

Tous nous sommes responsable des choix que nous faisons dans les décisions que nous avons à prendre.

Pourquoi faire porter la faute d’une mauvaises décision à l’autre  ?  Et souvent nous n’avons même pas oser prendre position pour ce mauvais choix.

Il est beaucoup plus rentable de reconnaître son erreur et d’en faire un bon prétexte pour s’améliorer.

Tant et aussi longtemps que le ciel ou autres seront coupables de vos bêtises, de vos échecs, de vos mauvaises décisions et de vos malheurs, il n’y aura jamais de place pour de l’amélioration.

Une madame que j’ai rencontrée dans un endroit public,  m’a dit avec un très, très large sourire:   » j’ai joint le clan des êtes parfait……Ah! oui.. je suis capricieuses, je suis insatisfaite, je suis blasé, je suis pas contente.  Puis, toujours avec son large sourire, elle me demande?  Qu’est-ce que j’ai pu faire au bon Dieu pour mériter tant d’épreuves .  »  À mon tour de rire , de rire et finalement, le plus sérieux du monde, je lui réponds :  Madame, si tout le monde avait votre sens de l’humour, et votre large sourire, il n’y aurait pas de coupable, ni de responsable, ni de blême  dans ce monde.

j’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

 

 

UN CORPORTEMENT QUI RESSEMBLE À L’AUTRE

Vous ne pouvez  vous sentir bien dans votre peau que si votre comportement est positif envers l’autre » -Auteur inconnu-

Un de mes ami,  qui travaillait pour la même compagnie que moi, était très amer envers son directeur.  Il était arrivé à la seul conclusion de quitter son emploi.

Quelqu’un vient de me faire revivre la même histoire.

Je me rappelle très bien  lui avoir demandé le pourquoi, il avait fait  du directeur le centre de sa vie. Il s’était fâché contre moi pas à peu près.  Mais, j’avait eu le temps de lui dire que ce n’étais pas utile de briser sa qualité de vie à cause d’un directeur.

Quelques mois plus tard, il m’avoua qu’il avait beaucoup réfléchi à mon commentaire. Il avait décidé d’avoir une bonne conservation  avec son supérieur.

J’ai vu le directeur, me dit-il, nous avons parlé du problème, nous nous sommes expliqué. et on a fini par faire la paix sur une bonne poignée de main. Merci, ajout a-t-il, mon refus de comprendre m’aveuglais.

De plus, je me souvient très bien de son large sourire pour m’annoncé qu’il ne quitte plus la compagnie.

Il semblait plus léger et au comble du bonheur.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore