Vous faites votre premier pas vers la réussite quand vous refusez de rester prisonnier du milieu où vous vous êtes retrouvé au départ. Mark Caine
Pendant des années, j’ai joué au jeu j’aurais donc dû, j’aurais tant aimé, j’aurais, j’aurais dû. « J’aurais » a été un ennemi qui a mangé une bonne partie de ma jeunesse et plus encore. Heureusement qu’un jour, avec l’aide de mon épouse Edwidge, avec des livres de motivation qu’elle m’achetait et à force de travailler sur moi-même et de combattre le feu du négatif, comme il se doit, le négatif a commencé à s’essouffler et des étincelles positives ont jailli dans mon subconscient et subitement j’ai compris comme un éclair de lucidité que j’avais un immense potentiel qui ne demandait pas mieux que de renaître à la surface et de voir le jour et la lumière. En vérité, j’étais plein aux as. Un de mes amis m’a dit : « Isidore, tu fais du narcissisme. » J’étais content, j’étais au ciel ; enfin, je faisais du narcissisme : fixation affective sur soi-même. Sérieusement, je n’étais pas encore sorti de prison, mais je continuais d’affronter la peur, jour après jour. Ceux qui ont réussi à combattre la peur savent de quoi je parle et je suis certain qu’ils approuvent le message que je veux vous transmettre. Rien n’est jamais perdu, à vous de croire que l’impossible peut devenir possible pourvu que l’on y mette du cœur, de la persévérance et du temps.
Passez une bonne journée, gardez le sourire!
Ne laissez personne gâcher votre vie et votre confiance
Isidore
Ahhh oui. Il ne faut jamais rester prisonnier de nous même. Ce n’est parfois pas facile mais il faut se relever et ne jamais abandonner.