»Ainsi, tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le vous même pour eux« -Mathieu 7: 12
J’ai lu quelque part que pour aider quelqu’un, il faut d’abord l’aimer et lui faire confiance, quoi qu’il arrive. Il faut aussi le comprendre pour ce qu’il est, sans juger si nous avions à vivre avec le même problème . Peut-être serions-nous tout aussi accablés, vulnérables, et faibles. Peut-être serions-nous tout aussi incapable d’accepter les même situations et les même problèmes.
Il faut se rappeler qu’il y a toujours quelque chose de bon chez une personne. Il faut lui dire, lui rappeler, de sorte qu’il ou qu’elle ne se sente pas coupable et que cette personne doit regagner son estime.
Il faut donc donner la chance à celui qui est au « tapis », parce qu’on ne sait jamais si notre tour ne viendra pas un jour. Peu importe notre expérience, notre âge, notre statut social, on peut à tout moment se retrouver au bas de l’échelle, démuni et déprimé ! Que celui qui est debout, en possession de tous ses moyens, puisse alors se servir de cette position pour relever l’autre et non l’écraser.
Pour que quelqu’un progresse, il faut éveiller chez lui ses qualités, ses forces. ses bons coups enfouis sous le poids du découragement. Féliciter sincèrement quelqu’un, c’est un tonique qui a fait ses preuves. Être positif, c’est encore la meilleur façon d’aider quelqu’un.
J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.
Isidore