Si j’avais un peu d’imagination comme le Docteur Caissie du Nouveau-Brunswick et de facilité, je tenterais de toutes les façons possibles de soulager la souffrance des plus démunis, des plus vulnérables et des plus exposés à contracter ce virus invisible.
Il faut dire que la situation invite beaucoup à la réflexion . Je réfléchis a la chance que j’ai de vivre ce confinement à deux pendant que des amis(es) des anciens(es) clients traversent le désert seul dans leur maison et résidence. Je pense aux enfants et aux petits- enfants qui sont privés de leu papa de leur maman et de leur Mami et papi pour PÂQUES. je pense… je pense… jusqu’à quelque point on peut se sentir impuissant.
Albert Einstein disait qu’il y a deux façons d’envisager la vie; considerer que rien n’est un miracle, ou considerer que tout est un miracle
Ces miracles, ils sont à la portée de tous; souvent ce ne sont que de petits gestes qui fond toute la différence dans la vie de quelqu’un qui ne l’a pas facile.
Accompagnez quelqu’un qui est seul en ce jour de Pâques, téléphonez-lui, prenez de ses nouvelles et mettez un peu de soleil dans la journée.
J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.
Isidore