Alors que je traversais des moment difficile, quelqu’un m’a appelé et à jour du piano sur mon répondeur. Je me suis senti entouré d’un immense amour et d’espoir, mais je n’ai jamais découvert qui s’était. -Auteur inconnu –
Dans le malheur, ce qui fait la différence entre s’en sortir gagnant ou ne pas s’en tirer, c’est la façon de voir les choses et réagir. Ne pas se laisser emporter par les événements, ne pas se laisser glisser dans le passif et la soumission.
Les circonstances est facile de prendre le dessus avec la CORVID-19 sur nos moyens et nos ressources.
Réagir, c’est répondre avec tous les atouts que nous possédons, et nous en avons une réserve souvent insoupçonné.
Réagir, c’est agir avec aplomb, avec nos tripes, avec le risque et l’instinct de survie.
Lorsque le malheur frappe, lorsqu’il nous arrache le cœur par morceaux, il y a matière à se sentir dépossédé de la vie même. La peur, la peur de l’inconnu, l’angoisse sont humains.
Il faut garder espoir. Une main charitable tendus fait parfois des miracles sûr l’être humain. Il ne faut pas juger le comportement de l’autre, certains sont plus fort et plus courageux. Chacun possède sa propre nature et ses propres qualités.
Ce n’est pas de moi, mais d’un autre : » Ce qui nous défini, ce n’est pas ce que nous sommes, mais bien notre capacité à se relever. »
J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.
Isidore