LA MAIN DE L’HOMME ET LE BOURREAU

Il est normal de me pardonner mes erreurs, parce que je n’en fais aucune intentionnellement. – Jerry Minchinton-

Les circonstances de la vie nous semblent parfois tellement défavorables que cela nous force à croire que le malheur est attaché à notre corps. Nous perdons des êtres chers qui nous marquent puisque nous les aimons, mais, c’est la vie et c’est de la normalité, puisque  nous vie doivent avoir une fin sur cette terre.

Mais lorsque la main de l’homme se convertit en bourreau et détruit d’innocence victimes, comment voulez-vous qu’on réagissent ?  Bien malin celui qui détient la réponse !  Mais je dirais encore que nous avons deux choix.

Je cite en exemple un homme, simple mortel comme vous et moi. Reza Deghati, journaliste et photographe connu mondialement, qui a travaillé dans 100 pays.  Dans un pays musulman , on l’a fait prisonnier durant trois ans et accusé d’espionnage. Il a subit la torture pendant six mois avant qu’on le relâche, faute de preuve.

Les circonstances ont voulu qu’il rencontre le gardiens qui avait comme mission de le torturer, mais celui-ci ne le reconnue pas jusqu’à ce qui lui tendre la main et le regarde dans les yeux.

C’est à ce moment-là que son bourreau, qui venait à son tour d’être arrêté et jeté en prison, le reconnut.  Reza lui demanda ce qu’il pouvait faire pour lui et sa famille.  Le pardon était réalisé :  son bourreau se couvrit les yeux, se prit la tête à deux mains et se jeta à genoux dans le coin de sa prison. 

Son meilleur choix avait été de lui tendre la main !

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

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