DANS LA NOICEUR, IL EST SOUVENT DIFFICILE DE DÉTERRER LA SOLUTION À UN PROBLÈME

Suite de ma chronique de du 21 juillet2024.  À ma troisième années comme conseiller financier, le vent vira de cap et chevira drastiquement  ma réussite. Je ne tenais plus le coup…J’ai senti que ça cassait.  La lumière des autres ne pouvait m’éclairer et ma lanterne suffisait à me complaire  dans le négatif.

JE N’AVAIS PLUS DE SOUS, ET PLUS DE PAIE !

SEPT MOIS SANS UNE SEUL PETITE TRANSATION.

Je vous partage mon arme secrète, vous pouvez en rire si vous voulez.

j’ai garder un foi profonde avec la conviction que quelqu’un viendrait à mon secoure. Que mes prières  ne serait pas vaine. J’avais espoir c’est tout.

Le 17 de juillet 1972 vers 2hrs de l’après-midi, on frappe à ma porte.

Ce n’est nul autre que le Bon Dieu de l’assurance-vie en personne, Laurien Foot Collins d’Edmundston N.B.  que tout le monde de son patelin appelait monsieur Foot, il n’était pas très grand.

Je le connaissais un peu par réputation.  Il me dit Wow ! c’est pas si mal Caraquet, c’est ma première visite.

Monsieur Foot  ne perdait pas de temps avec la formule du beau temps et en me regardant droit dans les yeux, il me  dit, je suis venu te demandé conseil si tu me verrais bien comme directeur ?  Crois-tu que je ferais un bon direction adjoint Isidore.  Toi, je te verrais président de la compagnie ! lui répondis-je d’un trait.

Je suis près à accepter cet emplois à une condition:  QUE TU VIENS TRAVAILLER POUR MOI…..

J’ai fissionnai , je ne comprenais rien du tout de la démanche de Foot Collin.  Pourquoi tiendrait-il à me compter dans son équipe, alors que plus de 250 milles nous séparent de nos bureaux respectifs ?

Voyons monsieur Foot, je suis un homme fini et je m’enfonce de plus en plus chaque jour.

Il me regarda droit dans les yeux:

ISIDORE, T’ES LE MEILLEUR HOMME QUE LA COMPAGNIE À JAMAIS ENGAGÉ,  SI TU ACCEPTES DE TRAVAILLEUR POUR MOI, J’ACCEPTE LA JOB, ET TU VAS CONNAÎTRE LE SUCCÈS, BEAUCOUP DE SUCCÈS.

Une phrase courte,  sincère qui as fait des miracles dans ma tête.

Oui, je veux bien, mais, j’ai mon directeur adjoint !  Tout est arrangé mon Isidore, je lui ai payé un bon café et il étais très d’accord.

VENDU POUR UNE TASSE DE CAFÉ…..MA TÊTE NE VALAIT PAS CHER.

Vendu pour un tasse de café ! Et j’étais heureux, bien malgré moi.

Avec une nouvelle dose de confiance , de la fin juillet 1972  et fin décembre, je me suis qualifié pour une conférence de vedette pour une semaine à l’Hôtel Waldorf Astoria à New-York , et c’est là que j’ai rencontré Joe Gandolfo conférencier qui allait changé complétement ma vie.  0n disait de lui qu’il étais le plus grand vendeur s’assurance-vie du monde.

Sa production ,  à lui seul, égalait celle de plus de 80 représentants réunis ensemble.

Jamais tel discours m’avait eu autant d’effet sur moi  » Les marques de confiance de mes mentors comme monsieur Bourgeois, Laurein Foot Collin et maintenant Joe  Gandolfo.

MON RECORD JAMAIS BATTU AU CANADA

Je me suis qualifié pour 24 conférence du Président de suite durant ma carrière, ceci est un record qui ne sera jamais battu au Canada.

Question:  D’après vous, qu’est-ce qui fait la différence dans ma carrière ?

J’ai compris qu’à chaque, jour, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

 

 

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