Les hommes de chez toi cultivent cinq mille roses dans un jardin … et ils n’y trouvent pas ce qu’ils cherchent….. Et cependant ce qu’ils cherchent pour être trouvé dans une seul rose ou un peu d’eau…. Mais les yeux sont aveugle. Il faut chercher avec le cœur…. Le petit Prince (Antoine de Saint- Exupéry )
Je me suis demandé ce que le Petit Prince aurait bien pu dire à la rose s’il s’était retrouvé sur sa planète. Vous vous souvenez , le Petit Prince, cet enfant au chevaux dorés qui avait quitté la minuscule planète où il vivait seul, entouré de trois volcans, en compagnie d’une rose ?
Rappelez-vous, il était le héros d’un livre qu’un ami m’avait offert, un soir où ma lumière était éteint. J’avais besoin d’un ami, d’un compagnon de route pour m’éclairer et me tracer le chemin embrumer.
Peut-être que je lui ai dis : Merci ! Peut-être que je lui ai pas dis: Toute ma reconnaissance pour le service rendu ! Ce livre à été un beau et grand cadeaux dans ma vie. Je lui dis encore Merci !
J’ai compris et interprété que le succès et la porte est peut-être une rose. Une rose qui aurait la forme et la couleur de mon cœur. Le secret à été de faire l’expérience du parfum de cette fleur.
Il faut montré notre reconnaissance, exprimer notre satisfaction, témoigner de notre humilité . En ne sais pas tout, en connais pas tout, et qui n’a pas besoin de l’autre pour avancer ? <
Tendre la main à l’autre, afficher un sourire et dire Merci, Merci aux autres. Chaque rencontre est l’opportunité d’un réveil.
Oh ! Un autre petit Secret du Petit Prince ! L’essentiel est l’invisible aux yeux. Tu es responsable de ta rose ! Tu es responsable de l’arroser à chaque jour. Si tu perd l’essentiel, tu es responsable de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose, de ta famille, de tes enfants, de tes amis, de ta communauté, et de la planète.
Si vous n’avez pas eu l’opportunité de lire le Petit Prince, et bien priviez-vous de deux Cafés, mais ne vous privez pas du livre du Petit Prince…
j’ai compris qu’a chaque jour qui passe, je dois être utile à quelqu’un
isidore