TOUT EST DANS LA PERPECTIVE

Un jour, le père de la famille très riche parti avec son fils dans la compagne, pour lui donner une leçon de vie. Il voulait voir comment les gens pauvres vivaient.

Ils passèrent donc quelques jours auprès d’une famille très pauvre.  À  leur retour, son père lui demande : As-tu aimé ton voyage ?  0ui, papa !  As-tu remarqué comment vivaient les pauvres gens ? 0ui, papa !  Alors dis-moi ce que tu as appris de ce voyage.

Son fils répondit :

J’ai vu que nous avions un chien, eux ils ont n’en quatre.                    Nous avons un piscine au milieu de jardin, eux ils ont un lac sans fin.    Nous avons des lampes importées pour le patio  pour nous éclairer la nuit, eux ont les étoiles et la lune pour les éclairer.                 Nous avons un petit lotissement de terre, eux ils ont des champs à perte de vue.

Nous avons des domestique pour nous servir, eux ils s’entraident.      Nous achetons de la nourriture , eux, ils la fond pousser.               Nous avons un mur autour du terrain pour nous protéger, eux ils ont des amis pour les protéger.

Le père était sans voix.  Et son fils ajoute :

MERCI PAPA POUR NOUS MONTRÉ COMBIEN NOUS SOMMES PAUVRES.

Merci à Louise (loulou) pour ce magnifique texte.

J’ai compris qu’à chaque jour, il faut tendre la mains à quelqu’un.

Isidore

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RENDRE SERVICE, UN RÉFLEXE, UNE HABITUDE

Mon plus grand désir, c’est d’apporter quelque chose aux autres.

Vous avez sans doute connu votre part de problème dans la vie. Vous connaissez donc la valeur d’un service. Celui qui l’a rendu l’a probablement fait naturellement, sans se poser de questions, parce que vous en aviez besoin.

C’EST VOTRE TOUR MAINTENANT, IL NE FAUT JAMAIS HÉSITER À RENDRE SERVICE.

Un jour, quelqu’un m’a rendu service, qui a fait en sorte que je suis encore aujourd’hui celui qui vous souris à chaque jour.  Je lui suis infiniment reconnaissant d’avoir pris mon intérêt en considération. Il a été l’un des grands responsables de ma réussite, après mon épouse Edwidge.

Aider les autres à réussir, c’est vous donner une meilleur chance de réussir vous même.

Développez l’habitude de rendre service au point que cela soit pour vous un réflexe, qui fait partie intégrante de votre vrai nature. Vous en serez récompensé le moment venu, pas nécessairement par la personne que vous avez aider, mais vous verrez à la longue à quel point c’est rentable.

 

TON SUBCONSCIENT

Le subconscient, le mien, le tiens n’a pas de parti pris.  Il est soumis nous dit t’on.  Il suit de façon objective les directions que tu lui soumet.  Il ne fait aucune distinction entre ce qui est bien, et ce qui est mal.

Si consciemment ou inconsciemment tu émets des signes de détresse, de découragement ou d’abandon, ton subconscient les enregistre tels quels . C’est un cercle vicieux qui ne s’arrêtera que le jour, où consciemment, tu modifies ton attitude.

Oui, comment se persuader quand tout va bien, quand tout semble aller mal ?  0n dit que ça relève du désir.  Le désir est à la basse de toute forme de motivation.  LE DÉSIR,  C’EST DE LA MOTIVATION.

Question  très simple entre toi et moi ?  Qui à le plus de chance de réussir, entre le gars qui se dit que le ciel lui tombe sur la tête constamment , ou celui qui se relève les marches et qui se dit ça va aller, je vais réussir.

Il faut sortir des rangs, foncez et travailler fort, et laissez agir le pouvoir de la détermination et de la pensé positive.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

DANS LA NOICEUR, IL EST SOUVENT DIFFICILE DE DÉTERRER LA SOLUTION À UN PROBLÈME

Suite de ma chronique de du 21 juillet2024.  À ma troisième années comme conseiller financier, le vent vira de cap et chevira drastiquement  ma réussite. Je ne tenais plus le coup…J’ai senti que ça cassait.  La lumière des autres ne pouvait m’éclairer et ma lanterne suffisait à me complaire  dans le négatif.

JE N’AVAIS PLUS DE SOUS, ET PLUS DE PAIE !

SEPT MOIS SANS UNE SEUL PETITE TRANSATION.

Je vous partage mon arme secrète, vous pouvez en rire si vous voulez.

j’ai garder un foi profonde avec la conviction que quelqu’un viendrait à mon secoure. Que mes prières  ne serait pas vaine. J’avais espoir c’est tout.

Le 17 de juillet 1972 vers 2hrs de l’après-midi, on frappe à ma porte.

Ce n’est nul autre que le Bon Dieu de l’assurance-vie en personne, Laurien Foot Collins d’Edmundston N.B.  que tout le monde de son patelin appelait monsieur Foot, il n’était pas très grand.

Je le connaissais un peu par réputation.  Il me dit Wow ! c’est pas si mal Caraquet, c’est ma première visite.

Monsieur Foot  ne perdait pas de temps avec la formule du beau temps et en me regardant droit dans les yeux, il me  dit, je suis venu te demandé conseil si tu me verrais bien comme directeur ?  Crois-tu que je ferais un bon direction adjoint Isidore.  Toi, je te verrais président de la compagnie ! lui répondis-je d’un trait.

Je suis près à accepter cet emplois à une condition:  QUE TU VIENS TRAVAILLER POUR MOI…..

J’ai fissionnai , je ne comprenais rien du tout de la démanche de Foot Collin.  Pourquoi tiendrait-il à me compter dans son équipe, alors que plus de 250 milles nous séparent de nos bureaux respectifs ?

Voyons monsieur Foot, je suis un homme fini et je m’enfonce de plus en plus chaque jour.

Il me regarda droit dans les yeux:

ISIDORE, T’ES LE MEILLEUR HOMME QUE LA COMPAGNIE À JAMAIS ENGAGÉ,  SI TU ACCEPTES DE TRAVAILLEUR POUR MOI, J’ACCEPTE LA JOB, ET TU VAS CONNAÎTRE LE SUCCÈS, BEAUCOUP DE SUCCÈS.

Une phrase courte,  sincère qui as fait des miracles dans ma tête.

Oui, je veux bien, mais, j’ai mon directeur adjoint !  Tout est arrangé mon Isidore, je lui ai payé un bon café et il étais très d’accord.

VENDU POUR UNE TASSE DE CAFÉ…..MA TÊTE NE VALAIT PAS CHER.

Vendu pour un tasse de café ! Et j’étais heureux, bien malgré moi.

Avec une nouvelle dose de confiance , de la fin juillet 1972  et fin décembre, je me suis qualifié pour une conférence de vedette pour une semaine à l’Hôtel Waldorf Astoria à New-York , et c’est là que j’ai rencontré Joe Gandolfo conférencier qui allait changé complétement ma vie.  0n disait de lui qu’il étais le plus grand vendeur s’assurance-vie du monde.

Sa production ,  à lui seul, égalait celle de plus de 80 représentants réunis ensemble.

Jamais tel discours m’avait eu autant d’effet sur moi  » Les marques de confiance de mes mentors comme monsieur Bourgeois, Laurein Foot Collin et maintenant Joe  Gandolfo.

MON RECORD JAMAIS BATTU AU CANADA

Je me suis qualifié pour 24 conférence du Président de suite durant ma carrière, ceci est un record qui ne sera jamais battu au Canada.

Question:  D’après vous, qu’est-ce qui fait la différence dans ma carrière ?

J’ai compris qu’à chaque, jour, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

 

 

PRÉDICATEUR RÉJEAN BERNIER

Réjean Bernier, prédicateur, communicateur laïque au Sanctuaire  Sainte-du -Bocage, du 17 juillet au 26 juillet 2016

Ceux et celles qui ont assister à la neuvaine et entendu son message Évangélique ont tous été témoins de sa spiritualité réconfortante et d’actualité.

Il nous parlait de Sainte Anne, de nous imprégner de son feu, de demeurer solitaire dans notre quotidien, gardon le feu, son feu.

Il nous disait que le messie, c’est un homme, c’est une femme qui chaque jour tend la main à quelqu’un pour l’aider à se relever.

Il nous as souvent demandé durant la neuvaine de poser un geste en parole et action après d’un proche, et cela peu faire une véritable différence.  Et un autre jour de la neuvaine, il nous pose la question qui fait réfléchir.

QUAND QUELQU’UN QUI A BESOIN DE TON AIDE, NE FAIT-TU QUE PASSER ?

UNE AUTRE DE CES QUESTIONS QUI FAIT RÉFLÉCHIR.

T’ARRIVE T’IL PARFOIS DE PENSER QUE TOUT EST FINI, QUE TU-AS TOUT PERDU ET QU’IL N’Y A  PLUS RIEN À Y FAIRE?

SI TU AS LA FOI EN JÉSUS, SI TU AS LA FOI EN LA GRAND-MÈRE DE JÉSUS, UNE PETITE VOIX TE DIRAIT :  RIEN N’EST VRAIMENT COULER DANS LE BÉTON MON AMI, JE PEUX M’ON SORTIR.

Les paroles de Réjean Bernier me parle quotidiennement.

Soyons solidaire dans notre quotidien respectif, afin de gardez le feu de Sainte Anne, son feu.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

 

 

 

UNE PÉRIODE DIFFICILE

Une période où l’on  sent que le vide se répand autour nous, comme une marée de sables mouvants.

0n n’a l’impression que l’on s’engouffre dans la torpeur et l’incompétence, que l’on est à bout de forces et de ressources …Plus de carburant pour performer, pour s’apprécier, pour se motiver.

C’EST LE DÉCOURAGEMENT  À SON MEILLEUR.

EN TANT QU’ÊTRE HUMAIN, NOUS SOMMES EN QUELQUES SORTE PRÉDISPOSÉS À SOMBRER DANS L’UNIVERS DE LA PENSÉE NÉGATIF.

0ui, l’argent est souvent à la source du moral en déclin.  Le train de vie dans lequel on s’embarque nécessite  de d’argent, selon nos valeurs, nos besoins et nos ressources.

Il n’y a pas que les dépourvus et la classe moyenne qui s’inquiètent de leur compte en banque. Le mal de l’argent frappe comme une mauvaise grippe ou un cancer, sans égard au rand social.  La misère des riches est aussi troublante que la misère des pauvres et elle fait autant de ravage en éloignant les victimes du bonheur.

Il y a certainement des façons de surmonter une période creuse.  Il faut commencer par lever la tête et pointer vers le haut, là où il fait « CLAIR  »  Si on garde la tête enfouie dans le tracas, on ne fait que creuser davantage un tunnel sans issue.  Dans la noirceur, il est souvent difficile de déterrer la solution  à un problème.

À ma troisième années comme conseiller financier, le vent vira de cap et chavira  drastiquement ma réussite. Je ne tenais plus le coup…Voilà, j’ai senti que ça cassait.  La lumière des autres ne pouvait m’éclairer, et ma petite lanterne suffisait à me complaire dans le négativisme.

SEPT MOIS SANS UNE SEUL PETIT VENTE.

Ah !  moi  chanceux, j’avais une arme secrète. Vous pouvez rire si vous voulez.  Mes prières !   Mes  prières ne sont pas restées vaines, même si pour moi tout était devenu négatif.

Le 17 juillet 1972… on frappe à ma porte.

À dimanche prochaine pour la suite.

j’ai compris qu’à  chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

LES BÉBÉ-BOUMEURS, UNE CLASSE SPÉCIALE

Le plus important pour nous les bébé-boumeurs, c’est aujourd’hui, oublié hier et accepter le changement.

Mon Dieu, accordez-moi la sérénité pour accepter ce que je ne puis changer, le courage de changer ce que je peux, et la sagesse d’en connaître la différence.

Certaines personnes font arriver les choses, d’autres les regardent arriver, et enfin d’autre ne se posent même pas la question si quelque chose est arriver.

La bonne question:  À quelle catégorie appartiens-tu ?

Prend à l’instant même, la décision de « T’ARRÊTER  »  de   » MÉDITER  » de  » EÉLEXCHIR  » et choisi la « CATÉGORIE  » que tu veux appartenir.

Aujourd’hui, tout est en mouvent, en changement perpétuel.  Rien ne se « PERD  » mais tout se modifie .  Changer est le nouveau « MOT-CLÉ  » de notre époque moderne. Les bébé-boumeurs ne savent plus où se donner la tête, avec tous ces changements, à l’instar des plus jeunes et des diplômés universitaire en quête d’emploi.  Vous devez adapter et évoluer avec les nouvelle technologies de la société.

Le plus difficile pour les bébé-boumeurs, c’est de remplacer les anciennes pensées par pensées nouvelles.

Et pourquoi pas avec de nouvelles idées.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

AIDEZ-VOUS

Vous  connaissez ce vieux proverbe   » Aide-toi et le ciel t’aidera  »

Cela veux dire que vous avez le choix de vous mettre en mouvement, avant de demander aux autres de vous faire confiance.  La confiance, c’est un summum.  Se prendre en main, n’est pas si terrible.

La vie est douce pour ceux et celles qui bougent et malheureusement agresse souvent les paresseux et les tête forte qui ont toujours raisons.

Tout doit partir de vous, vous seul à la solution de tous vos problèmes. Ce que les autres peuvent vous donnent équivaut à un gros coup de pouce, mais l’important, c’est vous, c’est votre « CHOIX  » et de votre « DÉTERMINATION  »

Pour que votre vie vous appartient et  que vous être libre d’en faire ce que vous voulez.

Ne vous laissez pas démolir par les prophètes de malheurs.  Depuis les dernière années ce que nous entendant continuellement parle de  » L’INFLATION, DES  TAUS D’INTÉRÊTS , DES DIFFICULTÉS ÉCONOMIQUES , ETC, ETC.  Les gouvernements va être obligé de faire quelques, et d’arrêter la gourmandise des compagnies qui profites de la situation des plus pauvres.

La vie ne change jamais… La vie rend justice à ceux qui s’aident.

Semez et ayez de la patience d’attendre les récoltes.

J’ai visité dernièrement une famille qui m’a vraiment impressionné.  Le papa me dit, de venir avec lui dans son garage. Il y a deux congélateurs. Le premier qu’il ouvre:  Wow, wow, des récoltes gratuite,  pas un sous me dit-il. Des pots de coqs , des truites, d’autres sorte de poissions, des petit fruits etc. etc..  Et le deuxième la même chose, c’est du grand Wow !  Ensuite, il vient me montrer ses deux jardins…et ses poules… ¸ça marche l’affaire et  soyez certain que je n’ai pas parler d’inflation…

Conclusion :  Si vous n’avez pas le courage de commencer et agir maintenant, il y a de forte  chance que vous ne commencerez jamais.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

NOTRE MONDE ÉTRANGE ET L’INJUSTICES

Un monde qui révèle suffisamment d’injustices pour décourager les plus optimistes.

La pauvreté,s les guerres, les catastrophes  naturelles, la violence, les abus, les maladies épidémiques  et incurables…c’est en perdre la tête.

C’est certainement sans compter sur le 1er juillet de chaque années, où chaque années de milliers de pauvres gens sont jetés à la rue, sans égard, sans respect, sans coeur.   L’argent, toujours l’argent sans morale et sans loi adéquate pour la protection des gens souvent vulnérable et sans recours.

Si vous et moi, nous sommes assez chanceux pour éviter l’une ou l’autre de ces malédictions, nous sommes en droit d’être frustré, apeuré devant toutes ses horreurs qui se répètent de plus en plus annuellement et  maintenant quotidiennement.

La bonne question ?  Quel pouvoir détenons nous pour faire changer les choses ?  Ce pouvoir existe-t-il ?  Si oui, dites d’où vient -il ?

Je suis croyant et vendu aux pouvoir éternels et infinis de Dieu. Pour moi, la force que j’ai,  et que vous avez d’apprécier la vie malgré les nuages noir, que vivent des frères et des sœurs dans ce tourbillons d’enfer qui frôle ceux qu’on aime, tantôt un voisin d’à coté ou le pays tout entier.

Pour moi, il y a une autre vie que celle que nous vivons sur la terre.  Il y a donc cette lumière qui me guide  afin de ne jamais se sentir seul.  Nous avons donc une force qui nous pousse et qui nous aide dans nos choix.

Dans ma vie, il y a plus grand que moi ou que tout être humain. Il y a plus juste et plus sage. Dans la vôtre, il y a ce même Dieu en qui vous croyez avec autant de ferveur. 0u peut-être un dieu avec un autre nom ou pas de dieu du tout. Qu’importe, l’importance c’est que son pouvoir vous éclaire dans la manipulation de votre propre pouvoir, on ne peut se suffire à soi-même.

0n n’obtient rien à se comparer aux autres, mais on gagne gros à bien s’inspirer de ceux et celles que l’on admire.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

 

 

 

 

 

LA DISCIPLINE, BON SUJET POUR L’UN, MAUVAIS SUJET POUR L’AUTRE

Il y a plusieurs raisons qui font que l’on réussisse ou que l’on échoue, ou encore que l’on reste suspendu toute sa vie entre les deux.

Lorsque je fus intronisé au Temple de la renommée de ma compagnie, on m’a posé la fameuse et incontournable question :  qu’est qui faisait que j’avais réussi en vivant dans un petite communauté et que j’avais passé devant des  milliers de personnes dans les grande ville du pays, et que j’étais un gars  heureux ?  Sans la moindre hésitation, j’ai répondu :   » LA DICIPLINE  »

Lorsque que fus intronisé à ce Temple de la renommée, j’ai ressenti une très grande fierté, une joie profonde d’avoir mérité cet honneur:  mais sans la discipline, j’aurais passé ma vie à y rêver sans plus.

LE SECRET D’UNE SI GRANDE RÉUSSITE  PATMI PLUS D’UN MILLIER DE CONSEILLER FINANCIER ?

Mes parents, la chance d’avoir d’avoir des parents disciplinés qui m’on enseigné très tôt à le devenir.  Ma mère était infiniment bonne et nous aimait beaucoup mais, en même temps, elle était ferme et exigeait le respect. Pour elle, la discipline c’était entre autres être responsable de ses actions.  » FAIS CE QUE TU DOIS FAIRE IMMÉDIATEMENT ET TU SERAS CONTENT  »  me disait telle souvent.

J’ai donc grandi aux côtés avec une mère hautement disciplinée et qui cultivait néanmoins l’art d`être heureuse malgré le p’tit pain pour lequel elle était née.

De nos jours, il semble que les vertus de la discipline se soient évaporées au profit de la surabondance et de la facilité. Tout est disponible, tout est accessible.  Je ne parle pas des gens qui n’ont pas les moyens et la chance de travailler, des enfants qui partent pour l’école sans petit-déjeuner, des mère célibataires qui en arrachent  pour élever leur famille.  Non !  Je parle des parents qui n’on pas su montré la discipline à leurs enfants.  Je parle à ces jeunes qui ont l’opportunité et le cerveau pour les études et qui trouvent que c’est trop d’ouvrage et trop stressant.

Au risque de me répéter, le bonheur et la réussite, ça comment par la « DISCIPLINE  »

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

 

 

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