Celle semaine, je vous propose un texte que j’ai pigé dans mon livre: » UN ACADIEN DÉRANGEANT » Avec deux histoire vécu !
On détient dons tous le pouvoir de choisir. Pas besoin d’être riche, d’être beau et super intelligeant pour avoir droit à la réussite. Pas besoin surtout de laisser couler sa vie sans la contrôler.
Combien de jeunes, sans le sou, décident de manger du pain noir le temps de quelques années d’études univers aitre. A 14 ans, j’avais le choix de poursuivre des études même si ce n’était pas la tradition dans ma famille, même si je ne connaissais pas toute la portée de cette aventure, même si mon rêve de devenir prêtre m’a conduit ailleurs.
Et qui dit réussite ne dit pas exploit. La réussite, c’est à la mesure de chacun, selon les valeurs et les objectifs que nous nous fixons. La réussite, c’est avant tout une source de satisfaction et de fierté.
Je connais un ancien compagnon de classe qui à réalisé son rêve de devenir prêtre et qui, en cour de route, est devenu insensible à sa réussite, à la vie, à Dieu. Il me raconta que, pendant plusieurs années, il s’était égaré, qu’il s’était offert une lutte de conscience sans merci et qu’il avait presque baissé les bras le jour où ses supérieur l’assignèrent comme aumônier à un hôpital pour accidentés graves. Dans son travail, il fut saisi à la fois par tant d’preuves et de souffrance. Des épreuves que souvent un peu plus de prudence aurait pu être éviter; de la volonté devant les difficultés de l’état lamentable des victimes.
Il faisait désormais face à de jeunes gens en partie responsables de leur état. Mais si tu voyais isidore, me disait-il, la lumière dans leurs yeux lorsqu’ils réussissent , après trois mois d’effort de lever le bras et de bouger les doigt. Suite demain…
J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.
isidore