Une période où l’on sent que le vide se répand autour nous, comme une marée de sables mouvants.
0n n’a l’impression que l’on s’engouffre dans la torpeur et l’incompétence, que l’on est à bout de forces et de ressources …Plus de carburant pour performer, pour s’apprécier, pour se motiver.
C’EST LE DÉCOURAGEMENT À SON MEILLEUR.
EN TANT QU’ÊTRE HUMAIN, NOUS SOMMES EN QUELQUES SORTE PRÉDISPOSÉS À SOMBRER DANS L’UNIVERS DE LA PENSÉE NÉGATIF.
0ui, l’argent est souvent à la source du moral en déclin. Le train de vie dans lequel on s’embarque nécessite de d’argent, selon nos valeurs, nos besoins et nos ressources.
Il n’y a pas que les dépourvus et la classe moyenne qui s’inquiètent de leur compte en banque. Le mal de l’argent frappe comme une mauvaise grippe ou un cancer, sans égard au rand social. La misère des riches est aussi troublante que la misère des pauvres et elle fait autant de ravage en éloignant les victimes du bonheur.
Il y a certainement des façons de surmonter une période creuse. Il faut commencer par lever la tête et pointer vers le haut, là où il fait « CLAIR » Si on garde la tête enfouie dans le tracas, on ne fait que creuser davantage un tunnel sans issue. Dans la noirceur, il est souvent difficile de déterrer la solution à un problème.
À ma troisième années comme conseiller financier, le vent vira de cap et chavira drastiquement ma réussite. Je ne tenais plus le coup…Voilà, j’ai senti que ça cassait. La lumière des autres ne pouvait m’éclairer, et ma petite lanterne suffisait à me complaire dans le négativisme.
SEPT MOIS SANS UNE SEUL PETIT VENTE.
Ah ! moi chanceux, j’avais une arme secrète. Vous pouvez rire si vous voulez. Mes prières ! Mes prières ne sont pas restées vaines, même si pour moi tout était devenu négatif.
Le 17 juillet 1972… on frappe à ma porte.
À dimanche prochaine pour la suite.
j’ai compris qu’à chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un
Isidore