M. Scott Peck : Une de ses leçons va comme suit ; Le monde ne nous offrira pas le bonheur sur un plateau d’argent. Que nous le voulons ou non, c’est là l’une des grands vérités sur la vie.
Lorsqu’on se compare aux autres , on arrive rarement à s’améliorer soi-même. 0n ne réussit généralement qu’à diminuer notre vie. Mon directeur Laurien Collin m’avait bien fait comprendre que je n’arriverai à rien avec son attaché-case. Tu as ta propre personnalité et moi j’ai la mienne. Je n’avais pas à le copier. J’ai dû me battre très fort pour me débarrasser de cette mauvaise habitude.
Je sais, que je parle souvent de s’accepter soi-même—-avec ses défauts et ses qualités, exactement comme on est aujourd’hui. Touchent pas à vos qualités, Ah ! les défauts, il ne faut pas avoir peur de la faire disparaître….
Ce que j’asseye de mettre en pratique: c’est de prendre du recul et d’apprécier ma vie dans son ensemble. Content, oui, content, j’apprécie ou je suis aujourd’hui , ce que j’ai pu accomplir, et ce que je peux faire. Les choses belles d’aujourd’hui ne sont pas coulées dans le béton, elle peux changer d’un instant à l’autre. c’est pourquoi il faut apprécier aujourd’hui.
Mon mentor m’a toujours affirmé avec instance, car je ne voulais pas croire: Isidore, reste tel que tu es, car tu es unique. Il me répétait que toutes les personnes qui sont auprès de moi, qui travaillent à tes côtés ou qui partagent ta vie sont diablement chanceux. Il me disait également que j’étais un être humain de valeur. J’asseyais de garder ces pensées à l’esprit à mesure que j’ai avancé dans la vie.
Mon mentor Gérard Bourgeois m’à guidé une grande parti de ma vie et c’est avec lui qu’on toute humilité, que j’ai compris que j’avais de la valeur. Lorsque je l’ai rencontré, ma valeur marchante pour moi, valait pas plus que 5$ dollars et l’estime de moi n’ est pas loin du zero .
J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, un bon samaritain ren contré sur votre chemin fera la différence dans votre vie.
Isidore