Le bonheur de demain n’existe pas. Le bonheur, c’est tout de suite ou jamais – René Barjavel-
Si vous rentrez au travail dans tous vos états et que vous lancez votre sac à main à travers la pièces en vous disant que vous en avez assez de vous faire traiter d’incompétente , de sévir le patrons ingrats et de ramasser un salaire de crève-faim au bout de la semaine ; si vous vous dites tout ça et que le lendemain vous vous préparez à retourner au bureau, c’est que vous avez peut-être une quelconque disposition au malheur, ou que vous ne pouvez pas imaginer que votre en soi autrement, votre vie risque d’être dans la vague !
Qu’est-ce qu’on attend pour agir ? Qu’est-ce qu’on attends pour passer des paroles aux gestes ? Et bien, dans bien des cas , on attend un signe, un évènement indépendant de soi qui viendra fortifier nos intentions. Malheureusement, et rarement faisons-nous confiance à notre propre jugement. Comme si on avait perdu les clés de la voiture et qu’on attendait que notre conjoint ou conjointe se mettre à la recherche des clés perdu.
Dans son roman : » Un jour la jument va parler » Marcelyne Claudais suggère qu’on n’a beau jurer qu’on en n’a assez et que ça ne peut plus durer, si nos paroles restent des paroles et ne se traduisent pas en gestes concrets, c’est qu’on peut encore en prendre. 0n n’a pas encore atteint le bout du rouleau.
Être heureux , c’est prendre la vie non pas comme un grain de sel, mais comme un bien précieux qu’il importe de bien gérer. Développer la faculté du bonheur , c’est avoir le contrôle sur les évènements au de subir.
J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, je prend les décisions pour avoir une vie heureuse et non contrôlé par les autres.
Isidore