Les monde a un grand besoin d’amour, d’espoir, de joie, d’énergie et de courage, et c’est cela qu’on va malheureusement apporter avec nous lors de notre grand départ… dit le légendaire guitariste de 70 ans et plus, a quelque jours d’une visite au centre Bell de Montréal et au Centre Vidéotran de Québec.
Carlos Santana croit que le monde d’ici et ailleurs a un besoin urgent d’être guéri. Il rêve d’une nouvelle instition qui aurait plus d’intégrité que l’0rganisation des Nations Unis, qui aiderait mieux les pauvres gens et contribuerait à réparer le monde . Il y a quelque chose de brisé dans le monde des religions, des valeurs chrétienne et de la découverte des fausses croyances.
Pour nous les chrétiens, pour nous qui croyans à Dieu et en Jésus et nous qui croyant à L’Évangile du Christ qui nous a été expliqué et proclamé pour semé la crainte et la peur, ce qui à détruit bien des âmes. Qui a permi de détruire le Message de Jésus qui est d’amour, de joie et de confiance ? Je sais, je sais, que pour certain et certaines chrétiens(es) , il ne faut pas dire cela, c’est pas bien, il faut garder le » SILENCE » car c’est malheureusement leurs croyances. L’Évangile de Jésus est tout à fait le contraire de la crainte et de la peur. Le message de Jésus ouvre la porte à la joie et l’avenir et nous propose la confiance en Dieu et de ne pas fermer nos coeurs.
Le musicien avoue vivre une certaine désulussion, il préfère maintenant se concentrer sur la beauté des choses de la vie parce qu’il y a encore de bonne personnes dans le monde et qui posent des gestes exemplaires.
J’étais en avion lorsque j’ai lu ce texte de Carlos Santana. J’ai pris quelques notes en pensant qu’un jour je pourrais peut-être le partager.
J’ai médité un peu l’idée de Carlos et ses mots ont eu une grande résonnance dans mon esprit. L’Évangile deJésus qui nous dit » de nous aimer les uns les autres et de partager son amour sans crainte et sans peur.
Bientôt Noêl , c’est le bon moment de manifester notre foi et nos croyances en la bonté de Jésus, et de mettre nos doutes entre ses mains.
j’ai compris qu’à chaque jour , il faut tendre la main à quelqu’un.
Isidore