Pendant des années, j’ai joué au jeu, j’aurais donc dû, j’aurais tant aimé, j’aurais pu faire cela, j’aurais, j’aurais et encore j’aurais dû. « JAURAIS » a été un ennemi qui a mangé une bonne partie de ma jeunesse et plus encore.
Heureusement qu’un jour, avec l’aide de mon épouse, avec des livres de motivation qu’elle m’achetait et à force de travailler sur moi-même et de combattre le feu du négatif, le négatif a commencé à s’essouffler et comme par enchantement des étincelles positives ont jailli dans mon subcontinent et » BOUME » MON SUBCONSCIENT À SUBITEMENT COMPRIS.
Wow ! Comme un éclair de lucidité, que je ne me reconnaissait pas, j’avais à ma disposition un immense potentiel qui ne demandait pas mieux que de renaître à la surface de l’eau, de voir le jour et la lumière.
La vérité, j’étais plein aux as. Un de mes amis m’a dit en ne me reconnaissant plus : Isidore, tu fais du narcissisme, » fixation affective sur soi-même » (définition du petit Larousse) J’étais vraiment content de moi-même, j’étais au ciel. Enfin, je faisais du narcissisme;
Sérieusement, je n’étais pas encore sorti du prison, mais je continuais d’affronter la peur, jour après jour. » LA PEUR «
Ceux qui ont réussi à combattre la peur savent de quoi je parle et je suis certain qu’ils approuvent le message que je veux vous transmettre.
Rien n’est jamais perdu, à vous de croire que « l’impossible peut devenir possible » à condition d’y mettre du coeur, de la persévérance et du temps.
J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.
Isidore