Un texte de Jean D’0messon qu’une amie Claudette Lebouthillier pour ne pas la nommer m’a envoyé. Je vous partage ce beau et magnifique texte que je vous prie de partager. Merci à tout les voyageurs qui prend le train avec moi.
A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’il voyageront toujours avec nous. Pourtant, à la station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls pour continuer le voyage…. Au fur et à mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train.
Et ils seront important : notre fratrie, amis, enfants, même l’amour de notre vie. Beaucoup démissionneront ( même l’amour de notre vie) et laisseront un vide ou moins grand. D’autre seront discrets qu’on ne réalisera pas qu’ils ont quitté leurs sièges.
Ce voyage en train sera plein de joie, de peines, d’attentes, de bonjours, d’au-revoir et d’adieux.
Le succès est d’avoir de bonnes relations avec tout les passagers, pourvu qu’on donne le meilleur de nous-même. 0n ne sais pas à quelle station nous descendrons .
Donc vivons heureux, aimons et pardonnons !
Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train, nous devrions ne laisser que de beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyage.
Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique. Aussi, merci d’être un des passagers de mon train. Et si je dois descendre à la prochaine station, je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous !
Je veux dire à chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’être dans ma vie et de voyager dans mon train.
A votre tour de partager ce joli texte aux personnes qui sont à bord de votre train.
Bonjour Isidore,
Merci grandement de nous partager cette réflexion. Quelle voyage tu nous invites à faire , Mais dans un train , on est rarement seul. Voilà le hic, celui de la rencontre qui peut aboutir à une relation , un petit service , une présence. Voilà bien notre sac de voyage bien remplis par tes belles recommandations .
Bonne route , notre liberté est interpellée !
Gaston