En ce grand jour de Noël, il serait merveilleux si le monde était contaminé par le » VIRUS » d’amour, d’affection, de tendresse et de bienveillance.
La veille de Noël d’antan, pour nous les enfants, c’étaient l’émerveillements, même avec peu de cadeau ou pas du tout. La naissance d’un enfant donnait l’espoir à nos parents, qui nous transmettaient ce sentiment. Après la messe de minuit, la hâte d’arrivé à la maison pour ouvrir un petit cadeau. La hâte de savourer les pâtés de la maman et bien sûr la lever du réveillon. Wow ! Que de battements de coeurs.
Chez nous après la messe de minuit, un bon bouillon aux huitres, préparer par maman avec tellement d’amour que nous lui dissions toujours qu’elle venait de batte son record. Cela faisait partie de notre tradition, que nous apprécions au plus haut point.
Les pâtés et la dinde pour les gens en moyens, c’était pour le jour de Noël et ce l’est encore aujourd’hui.
Depuis des années, la dimension religieuse de Noël à perdu de son sens. Nous avons perdu notre repaire, nos croyances et certaine de nos valeurs d’antan. Un enfant nous est né, et un tout premier cadeau de Noël, un cadeau spécial, un cadeau qui incarne L’AMOUR à été et sera toujours le plus grand des cadeaux de Noël.
» La main qui berce l’enfant, c’est la main qui va gouverner le monde de demain- Anonyme –
Isidore