» Le bonheur de demain n’existe pas. Le bonheur, c’est tout de suite ou jamais » -René Barjavel (Si j’étais Dieu)
Si vous rentrez du travail dans tous vos états et que vous lancez votre sac à main à travers la pièce en vous disant que vous en avez assez de vous faire traiter d’incompétente, de servir des patrons ingrats et de ramasser un salaire inférieur aux hommes. C’est que vous être disposer au malheur et non au bonheur.
Le bonheur est en vous. Dans son roman: » Un jour la jument va parler » Marcelyne Claudais suggère qu’on a beau jurer qu’on en a assez et que ça ne peut plus durer, si nos paroles reste que des paroles et ne se traduisent pas en gestes concrets. C’EST QU’ON PEUT ENCORE EN PRENDRE.
Être heureux, c’est prendre la vie non-pas comme un grain de sel, mais bien comme un bien précieux qu’il importe de bien gérer. Si vous êtes conscient qu’on vous maltraite, qu’on vous manque de respect, qu’on ne vous reconnait pas à votre juste valeur, c’est à vous, à vous seul de réagir.
Personne dans ce pays n’a le droit de vous forcer à faire quelque chose de contraire à vos valeurs et à vos sentiments. Il vous faut réagir. Si nous donnons constamment plus que nous recevons: NOUS NOUS VIDONS.
L’ÉQUILIBRE EN DONNER ET RECEVOIR !
Il est plus facile de blâmer les autres, les enfants, votre conjoint, votre patron où encore vos parents.
Vous être votre propre source de bonheur. Si vous décidez d’être heureux, personne ne peut vous en empêcher à moins qu’on vous à forcé et mis en prison.
J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un
Isidore