Nous souffrons d’intimidation dans le travail parce quelque chose nous résiste: la matière, les machines, nos confrères avec leur attitude. Pour souffrir moins, nous sommes donc dans l’obligation de mobiliser notre intelligence, notre motivation. Cette iigénéniosité, quand elle atteint son but, permet de transformer les souffrances en plaisir. Christopher Dejours.
En m’adressant à toi aujourd’hui, j’ai envie de te demander si tu es optimiste face à l’intimidation? Et bien si tu ne l’es pas, tu as tort, même si de nos jours ce n’est pas facile de conserver un emplois et de subir trop souvent de » l’intimation » qui est une autre forme de cancer de notre société.
Nous sommes tous plus ou moins menacé par le stress et les » burnout » , par l’image que nous avons de nous-même et du miroir social de ceux qui nous entourent . La vision de nous-même et de nos valeurs du passé et de notre avenir nous rend plus vulnérables aux évènements et aux changements.
Mais je demeure optimiste, car c’est à chacun de vous de voir à son bonheur et à sa réussite.
La société est divisé en deux clans: ceux qui ont un emploi et ceux qui sont là à la recherche d’un emploi
Les chanceux qui ont un travail permanant ne sont plus à l’abri des orages qui menacent ce qu’il y a de plus précieux: la santé mentale. La solution est de ne pas se laisser atteindre par le négatif et l’intimidation qui guette ceux et celles qui ont des valeurs et de l’idéals.
Le mot clé: l’acceptation: mais attention, nous les acadiens et acadiennes et les francophones en général, nous sommes tellement poli que quelqu’un nous marche sur les pieds et on s’excuses.
Je te laisse avec la pensée d’0phra Winfrey . Ce que je suis certaine , peu importe le défi que tu as à surmonter, tu dois te rappeler que même si la toile de ta vie se peint au fil de tes expériences, de tes comportements , de tes réactions et de tes émotions, c’est toujours toi qui à le pinceau en main.
J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, ne te laisse jamais marcher sur les pieds et t’excuser.
Isidore