PREMIÈRE, DEUXIÈME, OU TROISIÈME

Un psychologue, dont le mon m’échappe, a dit que le monde est divisé en trois catégories.  La première, très restreinte, est composé de personne qui accomplissent quelque chose et qui désir … La deuxième est formée de personne qui regarde agir celles de la première catégories.  La troisième que je ne veux pas juger, même si c’est difficile rassemble tous ceux et celles qui ne savent même pas que quelqu’un, quelque part, accomplit quelque chose pour EUX. 

c »est une grande vérité, ce sont toujours les mêmes qui connaissaient le succès, qui gagnent bien leur vie, qui voyages.  0n les envie parce que leur maison est plus spacieuses, leur voiture haute gamme est plus récente. Leur compte en banque bien garni avec un bon budget équilibré qui leur indique qu’il peuvent s’envoler vers le  soleil  au mois de février et à l’été , en Europe avec les enfants.

Quelle chance pour eux, et quelle injustice pour les autres.  On n’a souvent tendance à croire que les mieux nantis que les autres ont obtenu tout de la vie comme par magie, alors qu’ils l’ont sûrement gagné durement leur extra .  »  LES REPAS  GRATRUIT, N’EXISTE PAS  »  

La vie est pour chacun ce qu’il décide.  Je regarde des handicapés , des gens malades, amoindri par une santé fragile qui malgré tout gagne leur vie et refuse de se faire vivre.  J’ai énormément de l’admiration pour ces gens là qui refusent  même l’assurance emplois ou autres assurances.  Un de mes bon amis à toujours eu de la difficulté à marcher avec sa jambe plus coute que l’autre, accepter un travail debout pour un petit salaire:  Il me dit en souriant, c’est dur, mais au moins je travail et je gagne ma vie.

En choisissant de regarder faire les autres, on choisissant de ne pas développer ses talents et son potentiel, c’est choisir sois la paresse, où la dérive .  J’ai vu des gens pleins de talents qui fait rien, préférant un travail saisonnier avec comme but et objectif, l’assurance emplois.   » Le minimum comme choix  »  

Le papa François :  « Être heureux n’est pas une facilité du destin, mais bien une réussite pour ceux et celles qui peuvent voyager en eux-mêmes « 

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

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