Quand le clocher d’une église s’effondre, on pousse tous des cris d’horreurs.
C’est ce qui s’est produit lorsque le clocher de l’église de Bas Caraquet s’est effondrer suite à l’incendie qui a commencé dimanche matin le 24 juin 2018 et s’est terminé lundi matin 25 juin. . Il ne reste que les pierres et des milliers de souvenirs et beaucoup de larmes.
Je dis souvent que la vie est bien trop courte pour se lever le matin avec des regrets et des petites crottes sur le cœur et de critiquer ce qui est fait et ce qui n’a pas été fait. Les circonstances de la vie est impénétrable et souvent il n’y a pas de bonne réponse pour les pourquoi ! Pourquoi cette maman est parti si vite , pourquoi ce papa tellement bon nous à laisser sans prévenir. Allez chercher la réponse dans les circonstances de la vie, parfois c’est difficile de trouver la vrai bonne réponse !
J’ai de la peine pour la perte de l’église de Bas-Caraquet qui hier, brillait par sa belle apparence , tel un roi, une reine qui brille par leur beauté et leur grandeur. Elle était la fierté de la communauté cette magnifique église.
J’ai appris à me dire qu’il faut apprendre à saisir les occasions qui se présentent, et si ça change la vie, il faut se laisser aller , un peu comme quelqu’un sur la veille de subir un opération: Il faut se le laisser allez et s’abandonner au médecin en toute confiance.
La vie nous retourne toujours la main qu’on lui tend, c’est écrit dans le ciel. C’est notre foi qui nous rend fort et je suis certain que personne ne vous a jamais dit que la vie est facile, et je crois et je n’ai aucun doute que le destin qui viens de frapper va ressortir quelque chose de beau et de grand et peut-être de mieux.
J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, les circonstances , le destin frappe à nos portes sans sonner de cloche.
Isidore