Aucun problème n’est permanant, il existe toujours une solution. Combien de gens fragiles, fragilisés par la pandémie ? Ce que nous pouvons faire en famille et saisir la chance de nous coller davantage.
L’histoire de mère Teresa lors de sans passage à Montréal. Devant plus de 2800 personnes tassés les unes contre les autres dans une hôtel de Montréal et pour toute repas un croissant et un café. Parmi la foule, se trouvaient des gens d’une certaine âge et d’un certain revenu habituer aux confort. Mais aucune plainte . Tout les yeux étaient braqués sur le rideau qui devait s’ouvrir d’une moment à l’autre.
Quelque chose de très particulier était en train de se produire sans savoir quoi exactement.
Les titres, les fonctions, la célébrité, l’âge, le revenu et toutes les étiquettes sociales étaient disparu, derrière l’identité humaine.
Enfin, le rideau s’est ouvert sur une petite dame très âgée, vêtue d’ une modeste robe et d’une voile. Une petite dame au visage ridé qu’on avait dû la soutenir jusqu’au petit banc.
Cette invité d’honneur toujours vivant dans nos coeurs et dans nos esprits, connu dans le monde entier sous le non de mère Theresa.
Calcutta, cette ville où meurent encore chaque années plus d’un million d’enfants. Calcutta où chaque années encore aujourd’hui, les gens meurent dans les rues comme des bêtes. Mère Teresa de son vivant leurs apprenaient à mourir dans la dignité et à vivre dans la dignité.
Mère Teresa révèle aux 2800 personnes que la ville de Calcutta n’est pas la seul ville où la misère humaine est grande, Montréal est aussi pire que Calcutta : Les gens ici ne meurs pas de faim , il meurs de solitude.
Un homme d’affaire lève la mains et demande à Mère Teresa, ce qu’on peut faire nous les homme et femmes d’affaires pour aider ce monde là.. et mère Teresa de répondre: – VA LES VOIR –
La pandémie fait des victimes avec les jeunes qui ont besoin de s’éclater, de câlins, d’accolages et de s’exprimer. Les plus âgés, l’ennemi numéro , c’est la solitude. Que pouvons nous faire ?
J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.
Isidore