LA GUÉRISON SI ON Y CROIS

 » La vie inflige le pire à l’âme et au corps, mais on n’en meurt pas , même fatigué, très fatigué, faible et usé. -Elisabeth Akers Allen-

Pour bien des gens que je connais, la plupart ambitieux, fiers et débordées par les responsabilités familiales, il n’y a pas de place dans leur vie pour le repos, encore moins pour la maladie.  Lorsque le problèmes de santé surgit, ils se retranchent dans la négation des symptômes de la maladie, ce qui a pour effet que d’aggraver leur état.  Cette vieille habitude de ne pas se fier aux signaux de détresse que nous envois notre corps.

Se garder en  santé suppose de saines habitudes de vie, un effort pour garder l’équilibre entre le travail et la détente, une volonté de ne pas dépasser ses limites.

La science a fait beaucoup de progrès, mais elle n’a pas encore le pouvoir de guérir toutes les maladies. Mais les  » miracles   » continuent de s’accumuler.  Ce sont des guérisons qui ne s’explique pas disant le Dr. Bernie Seigle dans son livre  » L’AMOUR, LA MÉDECINE ET LES MIRACLE.  Selon lui, ces miracles ne sont peu mentionnés parce les bien-pensants du monde médicales, ce qui ne s’explique pas n’existe pas et, par conséquent , ne se compile pas.

Pourtant, Dieu sait comment le pouvoir de la guérison surpasse bien des interventions, des médicaments et traitement de toutes sortes.

Je suis conscient que la maladie frappe à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit sans s’annoncer, même parmi ceux et celles qui ne sont jamais malade.  La maladie s’installe et mange sa victime sans égard à son éducation, à sa fortune ou à son degré d’intelligence.  Il y a lieu de l’affronter et de la combatte simplement par le désir et la volonté ferme de la prendre et de garder le contrôle.

Croire en sa guérison, ce n’est pas renier son état, s’enfuir la tête dans le sable et faire semblant qu’on va bien. Au contraire , croire en sa guérison suppose que l’on reconnaît sa  maladie, sinon il devient impossible de la combattre et de la vaincre.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

 

 

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