La clé pour prévenir le suicide, c’est le dialogue et la communication. Jean-Louis Psychiatre
J’ai un ami qui à grandi dans une famille où les parents étaient en perpétuel conflit, où la tentions était palpable et où les enfants jouissaient de très peu de liberté. Cet ami s’est toujours juré qu’il ferait tout en son possible pour ne pas répéter les même erreurs que celles que ses parents avaient commises envers lui et ses frères et sœur.
Cet ami a aujourd’hui deux filles, totalement différentes l’une de l’autre. L’une est studieuse, responsable et fiable. L’autre, la cadette, n’a rien à son épreuve et elle profite de toutes les occasions pour défier l’autorité de ses parents. Mon ami et sa conjointe ont dût affronter avec elle les situations les plus sordides: l’alcool, la conduite dangereuse, l’échec scolaire, les fréquentions douteuses. Mais ils n’ont jamais sévi au point de couper le dialogue et la communication avec leur enfant rebelle.
A tout moment, ils se sont montrés disponible et à l’écoute. Aujourd’hui grâce à l’amour et l’écoute, cette jeune fille en ce moment viens de terminer ses études et viens tout juste de se trouver du travail dans un domaine qui la passionne.
Nos fautes les plus graves pour nous les parents, c’est de faillir à notre obligation d’être suffisamment à l’écoute pour décoder le langage de nos enfants.
Pas besoin d’être un psychiatre où de long études en phycologie pour connaître une chose aussi simple que l’écoute, l’amour et de renoncer à la violence verbale et physique envers nos enfants. c’est ça le miracle qui marche avec nos enfants .
J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut dire à ceux qu’on aime, qu’on les aime.
Isidore