Une veille histoire que j’ai mémorisé et que je vais te la partagé à ma façon. Elle remonte du temps de mes premières années du collège..

Un beau jour comme il se doit, une belle et jeune fermière déposa  sur le bord de la rivière un bol de crème bien chaud.  Il y avait dans les parages, 2 grenouilles qui sautaient et sautaient.  Apercevant le bol, les 2 grenouilles perçoivent que c’étais une nouvelle piscine.  Un saut ou deux, elles étaient dans le bol de crème.  Ça n’a pas pris de temps qu’elles se sont rendu compte qu’ils était difficile de nager dans la crème.  Comble de malheur, une des grenouilles était négative, pessimiste et prophète de malheur en plus.

¨Ca n’a pas pris de temps qu’elle commence son discours dévastateur.  Tu sais, jamais on pourra sortir vivant de ce bol.  Je connais ça moi les bols de crème.  Veux-tu que je te dise ce qu’on doit faire:  Justement, il n’y a rien à faire, nous sommes perdus et ça ne donne rien de se batte et d’essayer de trouver une solution pour sortir d’ici.  La meilleur chose à faire c’est de se laisser mourir bien tranquillement.

De toute façon , nous sommes fais à l’os; c’est fini ! Et tu sais quoi, la grenouille est morte, nageant dans son négativiste.

Par contre l’autre grenouille, elle ne pensait pas de la même façon. D’abord,  moi je veux vivre s’est t’elle dit et je ne veux pas mourir.  Je suis sûr de trouver une solution si  non, je vais me battre, du moins, je pourrai mourir satisfaite; mais je sais que je vais vivre.

Elle se dit:  je vais nager lentement et ensuite me reposer, ensuite nager.  Ce qui devait arrivé, arriva !  La crème à commencer à tourner en beurre et vite elle s’est formée en une belle boule de beurre .   Ensuite, ça été un jeu d’enfants pour la grenouille, une fois sauté sur la boule de beurre, elle sauta dans la rivière et vous savez quoi de cette merveilleuse histoire, elle rencontra le prince charmant, ils se sont mariés, eurent beaucoup d’enfants et vécurent heureux et satisfait le reste de leurs jours.

Magnifique n’est-ce-pas ?  La morale de cette histoire, je te la donne gratuitement, faite bon ce qu’il te semble le meilleur pour toi.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore