Une histoire qui nous dit de l’importance de travailler sûr soi -même afin de développer vos connaissances  et de prendre la décision de vouloir s’améliorer tant physiquement que  moralement.  .

Le printemps venu, deux graines de semence reposaient l’une à côté de l’autre dans une terre fertile.

La première graine disait à l’autre:  » je veux grandir ! Je veux plonger mes graines profondément dans la terre et lancer ma tige haut dans les airs…….

Je veux voir mes bourgeons s’ouvrir comme des drapeaux annonçant l’arrivée du printemps.

Je veux sentir le soleil réchauffer mon visage et la rosé matinale bénir mes pétales ! .

Et elle grandissait.

La deuxième répondit :  J’ai peur.  Si je plonge mes ricines dans la terre. je ne sais pas ce qui m’attend dans la noirceur.  Ma tige est fragile , et si j’essaie de percer la croûte de la terre pour m’enlever dans les airs, elle risque de se briser.

Et si, à peine entrouverts, un ver  venait manger mes bourgeons ? Et si je montrais ma fleur, qui sait ?  Un enfant pourrait m’arracher de terre.  Non, il vaut beaucoup mieux attendre pour sortir qu’il n’y ait aucune danger.

Un beau jour , un oiseau qui passait par là, s’est mis à fouiller la terre en quête de nourriture.  Il y avait une graine qui attendait et vite il l’a dévorée.

La morale de cette histoire mes amis, est que ceux et celle qui ne veulent pas courir de risque de grandir dans la vie et de s’améliorer se font tout simplement dévorer par la vie.

De la même façon , si vous et moi ne travaillons  pas sur nous-même afin de développer nos connaissances et nos habitudes à travers des livres, des séminaires ou des programmes de formations ou de conférence , inévitablement, vous et moi nous allons nous faire avaler par la vie !

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, je risque de me faire dévorer si je suis incapable de sortir de ma zone de confort.

Isidore

J’ai compris que le bonheur est en nous, à notre façon de penser.  On peut chercher le bonheur partout, mais le bonheur est toujours caché pas loin, dans nos cœurs.

Robert H. Schuller dit :  Face à la montagne, je n’abandonnerai pas.  Je déploierai sans cesse mes efforts pour atteindre le sommet, en trouvant un passage, un tunnel ou simplement en tenant bon et en transformant la montagne en une mine d’or.  Avec l’aide de Dieu, je n’abandonnerai pas.

Quelle puissance sur ma foi !

C’est mot ont produit dans ma vie des changement extraordinaire .  Tout laisser tomber, cela revient souvent dans nos pensées.

Qui de nous n’a pas souvent pris la décision d’abandonner, de fuir les défis de la vie.

Quand cette idée vous passe dans la tête, répétez vingt fois de suite:

Face à la montagne, je n’abandonnerai pas. Je déploierai sans cesse mes effort pour atteindre le sommet, en trouvant un passage, un tunnel ou simplement en tenant bon et en transformant la montagne en une mine d’or, avec l’aide de Dieu, je n’abandonnerai pas.

J’ai compris qu’à chaque jour qui pass, j’ai souvent l’occasion d’abandonner, mais avec l’aide de Dieu, je n’abandonnerai pas.

Isidore

J’ai appris tardivement à remercier chaque matin, la vie en moi  et de sourire.

Ce doit être terrible de se réveiller, avec devant soi une journée qui commence vers 10 hrs le matin.

Ce doit être terrible de commencer une journée terne, sans lumière, douloureuse et si ennuyeuse que tout ce qu’il te reste à souhaiter c’est que personne ose te parler avant 10 heures le matin.

Il existe certainement une bien meilleur façon de commencer à vivre !

Doc Lapointe  nous disait l’importance de bien affronter chaque journée avec les yeux brillant d’espoir qui allaient  surgir avec de nouveaux  clients et de nouvelles ventes.

Accueillir le jour en apprécient les occasions de réussite et de saluer les gens que nous rencontrons avec joie et amour, être aimable, gentil et courtois, voilà la meilleur façon de laisser sa marque.

Accueillir le matin avec le sourire, c’est facile, non !

Et si jamais ! Et si jamais, ce simple geste vous est si difficile, si jamais vous, vous réveillez avec le sentiment que vous n’avez aucune raison de sourire, ne désespérez pas nous dit le Dr. Gilles Lapointe, cela arrive à chacun d’entre nous.

Chacun de nous connaît des jours difficiles, et même les plus puissant de ce monde.

La règle d’or pour affronter le monde , c’est avec une attitude positive que vous aurez une super de bonne journée

Tout ce que vous avez à faire pour profiter du soleil ou de la pluie, c’est de mettre de la musique dans votre cœur et dans votre esprit.

MONTEZ LE VOLUME DE VOTRE SYSTÈME DE SON……..

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut sourire à la vie et mettre de la musique dans son cœur.

Isidore

Le premier pas vers une vie meilleur consiste à reconnaître notre capacité de choisir.  Je suis toujours fasciné de voir et d’entendre les excuses de certaine personne  pour justifier leur incapacité de choisir.

J’ai lu une petite histoire qui m’a marqué parce qu’elle m’a enseigné que le pouvoir de choisir appartenaient à tout le monde, moi inclus.

C’est l’histoire d’un homme sage qui vivait dans un petit village en Italie et à qui tout le monde demandait conseil.  Un jour, deux jeunes garçons voulurent le mettre à l’épreuve.

Ils se présentèrent à lui et l’un deux lui dit :  » Je tiens un oiseau enfermé dans ma main.  Dites-nous s’il est mort ou vivant. »

Et l’homme sage de répondre :  » Si je te dis que l’oiseau est vivant, tu pourras fermer la main et le faire mourir.  Et si je te dis que l’oiseau est mort, tu ouvriras lam main pour le laisser s’envoler. »

Devant la mine décontenancée des deux jeunes garçons, l’homme sage ajouta :

VOUS VOYEZ, MES ENFANTS, VOUS AVEZ DANS VOS MAINS, DEUX GRAND POUVOIR DE CHOISIR, CELUI DE LA VIE OU CELUI DE LA MORT.

Le pouvoir de choisir nous appartient !  Il suffit de l’utiliser à bon escient !

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, le pouvoir de choisir nous appartient.

Isidore

J’ai appris encore de Jacques Salomé bien sûr à vivre le présent, à rentrer de plain-pied dans l’instant, à ne pas me laisser enfermer dans mon passé ou me laisser envahir par des propos et des idées qui me représente  plus.

Oui, c’est vrai qu’à chaque instant, la vie peut basculer.  Oui, il y a beaucoup d’amour et de haine sur cette terre, il y a de la méchanceté, mais il y a encore plus de bonté.

Oui, il y a beaucoup d’épreuve, mais il y a encore plus de joie et de satisfaction et de bonheur.  Tout n’est pas noir ou blanc.

Oui, il y a cette petite voix…..

Une voix du cœur qui parle très fort.  Nous avons la mission comme chrétien sur terre d’apprendre à mieux se connaître, à composer avec nos folies et nos faiblesse.

Connais-toi toi-même de Socrate est toujours d’actualité.

Se connaître est une mission difficile.  Réponds à cette simple petite question :  Qui suis-je ?

Pas facile de répondre.  Qui je suis moi ?  Est-ce que je me connais assez pour répondre logiquement à cette question ?   Avez-vous déjà  pris le temps de vous arrêter dans les 86.400 secondes dans un journée pour essayer de vous définir :

En tant que personne et de connaître vos valeurs humaines ?

Si vous n’avez jamais cru nécessaire de vous passer en examen avant que la vie bascule, et bien, faites-le maintenant !

Vous allez être surpris, joyeux ou mécontent de vous même.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, je prend les 86.400 secondes d’une journée pour prendre 10 secondes pour me passer une petite examen .

Isidore

J’ai appris grâce à Jacques Salomé  qu’il y a encore une part d’imprévisible dans le déroulement des jours et donc qu’il nous appartient de savoir accueillir les cadeaux de la vie.

La réussite n’est pas un endroit mais un voyage qui n’a pas de fin.

La plupart des gens d’affaires réputés d’aujourd’hui, et qui ont fait fortune, ont déjà été pauvres, eux aussi, mais ils ont eu de l’espoir.

Normand Cousins a cité une phrase très véridique:  »  L’espoir est la chose la plus importante de la vie « 

Oui, mes amis, l’espoir procure aux êtres humains le sentiment d’avoir un but, un objectif et nous  donne l’énergie d’aller plus loin, encore plus loin en avant.

Mon boss: Foot Laurien Collin me disait souvent :  Isidore, le meilleur moyens de faire de l’argent est de le faire avec l’argent des autres. (Exemple, empêtre pour payer ton auto et laisse tes sous à la banque)

Monsieur Cousins se donne ne exemple:  Je suis millionnaire aujourd’hui et pourtant quand je me suis marié, ce sont mes parent qui ont dû défrayer les coûts de la réceptions du mariage, car je n’avait pas un sous en poche…

Quand à ma scolarité, je n’ai pas de diplôme, alors tu peux voir que ça ne veut rien dire.

Scolarité n’égale pas fortune, par contre , la volonté, la détermination ,le désir, la volonté de réussir et le travail, voilà des facteurs qui contribuent à la fortune.

Peu importe qui tu es, d’où tu viens, tu peux réussir.

L’histoire du riche laboureur :  Je me suis laisser inspirer par les mots puissant du riche laboureur.  J’y ai retenu que ce n’est pas l’endroit où l’on vie qui détermine ce que l’on devient, mais bien ce que des parents aux valeurs sûres comme les miens laissent à ceux qui leur succèdent.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe,  peu importe qui je suis, d’où je viens, je peux réussir.

Isidore