Telle est ta foi, telle est ta croyance. Sur les genoux de ma mère, j’ai appris à prier, à croire en Dieu. C’est elle qui m’a montré le chemin du succès.
Nombreux sont ceux qui croient qu’il faut vivre au bon endroit pour réussir et que les grande ville offre beaucoup plus de possibilités que la compagne.
Ce raisonnement m’est toujours apparu quelque peu étrange, puisque dès l’instant où j’ai quitté le collège, je n’avais qu’une idée en tête : revenir chez moi, dans ma petite ville de Caraquet N.B. et y gagné ma vie, quitte à devoir y vendre des bouteilles . J’étais profondément convaincu qu’il y avait dans mon petit patelin autant de possibilité de réussir que dans de grande ville où plusieurs de mes confrères se dirigeaient comme s’il s’agissait de terre promise. (Malheureuse encore aujourd’hui les jeunes pensent ainsi ) Je me répétais sans cesse que j’allais réussir sans devoir m’exiler tout simplement que je portais en moi, et en moi seul, le potentiel de succès et que ça n’avait rien à voir avec le nombre d’habitants ou de commerce qu’il y avait dans mon village. » JE VOUS ACCOMPAGNE MES CHERS JEUNES »
Ce que j’avais été très impressionné par une histoire des fables de la Fontaine. « UN RICHE LAVOUREUR » j’ai souvent pensé à cette histoire, je l’ai mémorisé pour qu’elle me suivre toute ma vie et pour que je puisse la partager avec toi aujourd’hui. Elle est toute simple, tu en conviendra , mais tellement vrai. ( peut-être que je vais ajouter des mots, où changé le texte, mais je suis certain de l’essentiel du message )
La voici: » Un riche laboureur, sentant venir sa fin prochaine, demandais à parler à ses enfants en l’absence de témoins. Gardez-vous, leur dit-il , de vendre l’héritage que vont ont laissé vos parents, car un trésor y est caché. Je ne connais pas l’endroit exact où il se trouve, mais si vous démontrez beaucoup de courage et de persévérance , vous parviendrez à le découvrir. Travaillez, bêchez, tournez la terre et travaillez toujours et encore. ALORS PEUT-ÊTRE ARRIVEREZ-VOUS À DÉTERRER CE TRÉSOR. »
Je me laisse encore inspirer par la puissance de ces mots qui demeurent aussi vrai aujourd’hui et aussi percutants.
j’y ai retenu que peut importe l’endroit où l’on vit, l’héritage des parents suit toujours et que seul l’ardeur au travail, alliées à une attitude positive, fera la différence entre l’échec et la réussite, la misère et le confort, le malheur et le bonheur.
J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, l’histoire des fables de la Fontaine est toujours d’actualité .
Isidore