DERNIER JOUR DE NOVEMBRE 2020

La reconnaissance est un habitude.  » Ne vous plaignez pas de ce qui vous manque…soyez plutôt reconnaissant de ce que vous avez – H Stanlez Judd-

Dernier jour de novembre 2020 , je vous propose un défi personnel, un défi  de sécurité, de confiance en vous-même et un désir de vaincre. Vous-savez que vous êtes votre propre source d’amour, de succès, de richesse et de santé. Personne d’autre n’a ce grand pouvoir sur vous, que vous-même. 

Vous n’avez pas besoin de l’influence des autres, ni de votre famille, ni du gouvernement . Vous posséder tout ce que vous avez besoin pour vous réaliser pleinement. 

Soyez conscient de votre valeur, conscient de votre énergie, conscient de votre intelligence personnelle. Tout ce que vous faites en cette période de CODID-19, pour vous améliorer, ne sera jamais perdu. 

Ayez des objectifs de bonheur à court terme, et d’autre à long terme. Prenez immédiatement quelques résolutions aujourd’hui même. Vous n’avez pas besoin d’attendre ler janvier 2021

j’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

L’HISTOIRE DE ANNE MARY FERGUSON

j’ai lu dans le Reader’s  Digest, il y a biens des années, une histoire qui a frappé mon esprit et que j’ enregistrée dans mon subconscient.  Celle histoire ma bien servi dans des conférences .

Anne  Mary faisait parti d’un groupe de femme d’action bénévole dans son coin de pays, les États-Unis. Elle participait régulièrement aux activités du groupe et, à l’âge de 77, elle se trouvait parmi les plus âgés. Elle était devenu grincheuse , la menteuse, et fatiguait les autres . L’une des bénévoles , un peu épuisée d’entendre ses lamentations, lui lança un jour:  Madame Ferguson, faites donc quelque chose avec vos dix doigts au lieu de vous lamenter continuellement.

Elle n’avait jamais suivi de cours d’art et n’avait pas d’instruction, mais savait toute au plus lire. D’un bond, elle décide de quitter le groupe et s’en alla acheter  des pinceaux et des toiles pour commencer à peindre avec ses dix doigts d’arthrites.

Elle ne connaissait rien du tout en peinture, et pour elle, une peinture où une autre avait la même valeur. Dix ans plus tard, Anne Mary était une des articles la plus connus des États-Unis.

Sa carrière fut sans pareille. Vers l’âge de 90 ans , des tableaux qu’elle venait de terminer se retrouvaient dans des galeries au États-Unis et dans bien d’autres pays. 

À son 100e anniversaire, des cartes de voeux lui parvenaient des quatre coins de la planète, incluant des messages des  quatre présidents vivant des États s-Unis.  

0n lui demande  à ce moment-là, ce que serait son message pour les gens âgées et les moins jeunes qui voudrait profiter de la vie.  »  Elle à répondu:  Je ne sais pas ce que mon message pourrait leur apporter; mais je dirais de ne jamais penser à la « VIELLESSE, NI À LA MORT »  Le Seigneur nous à mis sur la terre pour que nous puissions « JOUIR DE LA VIE » et nous devons jouir de la vie. Les gens seraient plus heureux s’ils oublient l’âge et s’ils pensent à eux d’abord, avant de penser aux autres. Wow ! 

Trop souvent, nos buts et objectifs sont associés à l’argent. Trop souvent, il y a des gens qui nous entourent et qui sont  bourrés de talents et ne fond rien. Tous et chacun de nous peuvent tirer une leçon de cette histoire. Tous les jours , il faut demander d’être guidée. Une demande si simple d’être guidée, mais il faut que ça soit dans la bonne direction comme Anne Mary Ferguson(ou McLaughlin)  Jouir de la vie ! 

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut demander au Seigneur d’être capable de jouir de la vie. .

Isidore

 

 

 

QUAND LA TERRE ARRÊTE DE TOURNER

Cette histoire est encore vivante dans ma tête et je ne sais vraiment pas comment elle refait surface dans mon esprit.  Je cherche une explication et j’en trouve pas, mais je suis content qu’elle s’invite comme ça dans  mon subconscient, qui a une garantie à vie de 100%  même si cela remonte bien loin, du temps que je travaillais pour la compagnie Fuller Brush pour payer mes études du collège. D’après mon subconscient cette histoire remonte à  ma deuxième année de vendeur Fuller Brush sur quatre. Je devais avoir certainement entre 17 ou 18 ans, lorsque pour la première fois , je suis devenu conscient des ravages que causent une séparation et le divorce.  J’étais vert, ou si vous  préférez, un néophyte pur et naïf jusqu’aux orteils qui croyait que le mariage était pour la vie.

Mon patron, Gilles Leblanc, avait fait des études classiques, il a grandi dans la région de l’Assomption, Montréal P.Q.  Très gentil, cultivé, bel homme, beau parleur, bien habillé, et  avec un sens de l’humour naturel.  Jamais cet homme m’a donné le mauvais exemple malgré ma grande naïveté. j’ai vite compris que les femmes étaient toutes en admiration pour mon patron et peut-être plus ! 

Malgré la pauvreté financière des régions, fin des années 19 50,  la Péninsule acadienne  et la région chaleur constituaient mon territoire comme vendeur des produits Fuller Brush.  Mon patron Gilles Leblanc est devenu le champion de la province du Nouveau-Brunswick dès ses premières années de service.

Ce vaste territoire lui permettait de choisir le village que je devais parcourir à pied en commençant par le début du village et le soir vers cinq  heures. Je le voyais arriver comme une bouée de secours, car pour moi, c’étais difficile, et parfois les journées étaient longues surtout la première année, car ma confiance à ce temps-là, était à son minium. 

Un autre grand défi qui s’ajoutait avec cet emploi d’été, on devait coucher à l’extérieur de mon patelin pendant une semaine complète. Par miracle, mon patron dénichait toujours une maison propre, confortable, une maitresse de maison belle, charmante, fine et accueillante.   Dans ma grande naïveté , je disais toujours à mon patron, tu es vraiment spécial pour trouver des madame si formidables. Je ne remarquais rien de spécial, même pas l’absence du mari.

C’est dans un de ces villages qu’une jeune femme me supplie de venir à son secours, car elle vit un affreux moment, son mari lui est infidèle et elle insiste pour que je trouve un moment pour qu’elle puisse me partager sa souffrance.  A cause que j’étais un étudiant du collège, on me demandait conseil et j’avais beaucoup de confidences  gênante pour moi, dans des  domaines que je ne connaissait pas. Mon mari fait ci, mon mari fait ça, mes enfants couchent  ensembles , etc.  La pauvreté me rendait mal à l’aise, ce qui me rendait encore plus inconfortable.  j’avais un autre problème, je refusais souvent de ne rien leur vendre, en leurs disant poliment que c’était mieux de garder leurs sous pour nourrir les enfants. 

J’étais un peu malheureux de manger et de coucher chez des étrangers, c’était le sacrifice que je devais faire pour payer mes études.  Je prends mon courage à deux mains et je demande à mon patron s’il voudrait bien me conduire chez cette madame qui veut absolument me parler.   » JE PLEURE MON CHAGRIN ME DIT-TELLE  »  Wow !  Pleurer un chagrin, comme un imbécile, je ne comprenais pas l’expression.  Cette soirée-là, j’ai fais mes premières classes au sujet du  » divorce »  bien malgré moi.

J’écoute cette jeune femme qui me raconte les aventures extraconjugales de son mari.  Elle me mit dans le secret le plus total, pour une confusion le plus totale pour moi. ( Le silence était à la mode pendant  ce temps-là, les catholiques devaient souffrir en silence pour mériter le ciel)  Je ne comprenais tout simplement pas, comment un catholique pouvait dérober aux règles de sa religion et vivre dans le péché.  Ma tête de jeune qui n’avait pas encore saisi toutes les nuances et les complexités  de la nature humaine. . Je me trouvais estomaqué, et sans utilité.  Je garderai le secret comme un secret de la confession. 

Je pleure mon chagrin, un mari qui la trompait, mais un mari qu’elle aimait par dessus tout. je me souviens.

Il faut se mettre à l’époque: Je n’étais pas préparé à avoir des confidences aussi fortes, surtout dans mes deux premières années de Fuller Brush.  Ah !  la quatrième année, j’en garde encore un bon souvenir, beaucoup moins de stress, plus de confiances et beaucoup plus payante. 

Mon subconscient se réveille, et je ris  comme un bon. Les histoires qui me viennes à l’esprit. Je vivais des histoires à tous les jours. J’aurais pu vivre des aventures de toutes sortes. De faire du salon, jusqu’à la chambre à coucher, ça c’était rien pour moi, je n’avais pas le temps et le péché……Ce qui me dérangeait, c’étaient  les confidences inimaginables qu’ont me confiait, que j’écoutais malgré moi et qui souvent m’empêchait de dormir. De la souffrance pure que je ne racontais jamais à mon patron, la peur de faire rire de moi et le respect de la confidentialité.  Exemple: Les jeunes femmes enceinte à cette époque étant forcées de donner leurs enfants à l’extérieur de la provinces à cause du déshonneur.  Ces confidences étaient vraiment trop pour moi seul.  Par contre, il y avait assez d’autres situations, que je me payais le Luxe de faire rire mes confrères du collège pour l’année. 

Marcher de maison en maison parfois éloignée me permettait de méditer et de préparer mon avenir. Comme l’herbe qui pousse en silence, tu frappes à une porte et que personne ne t’a vu venir, était très souvent imprévisible autant pour moi que pour ces gens-là. Parfois c’était comique, parfois c’était triste.  Ce travail d’itinérant à non seulement m’aider à payer mes études; j’ai appris à aimer les gens tel qu’ils sont, sans  préjudices, avec leurs vulnérabilités et leurs possibilités.  À chaque retour, à chaque porte que je frappais, j’étais heureux d’entendre dire après une année  épuisante:  Bonjour monsieur Dugas, on n’est tellement content de vous revoir. Et ça recommençait : Viens que je te présente ma belle grande fille, et tu restes dîner ce midi ; tu es tellement beau et encore des flatteries etc, c’était assez courant et c’était wow !  Difficile d’oublier ces moments précieux, où j’ai compris en marchant de maison en maison qu’il faut ralentir si on veut voir le bonheur venir. 

Marcher, c’est le beau de la vie, c’est la liberté de penser, de rêver, d’imaginer, d’écouter les chant des oiseaux, c’est croire que toute est possible, c’est portager l’espoir avec ceux ceux qu’on aime..

Isidore

 

 

 

 

LA GRAINE PERDUE DANS LES FISSURES DE BÉTON

0n ne parle dans les médias que des faiblesses humaines, politiciens, prêtres, pères et mères de famille , jeunes délinquants, meurtres crapuleux, etc. Mais on oublie ceci !

Il y a encore de la bonne graine qui tombe dans la terre à tous les jours, même si c’est dans des fissures de béton.  Il y a encore des gens merveilleux, des couples merveilleux, des prêtres, des frères merveilleux et des religieuses merveilleuses. C’est uniquement là que les biens pensant doivent poser leurs regards.  C’est là également, le grand miracle de la vie, car dans ces fissures, où la graine a tombé naîtra une nouvelle vie: CAPABLE DE SOURIRE AU MONDE.

Cultiver l’espoir pour ceux que vous aimez, où l’espoir et l’amour sont du même côté. Peut-être qu’en ce moment,  ce dimanche du 15 novembre 2020, vous êtes déprimés, vous avez entendu la mauvaises nouvelles concernant un proche qu’on aime, ce  jeune prêtre de chez  » Plaintes formelles d’allégation d’inconduite sexuelle et d’irrégularité financière contre le curé de Caraquet. ( Attention:  il n’a pas encore été trouvé coupable  )- Journal l’Acadie Nouvelle – 

Pour ceux et celles qui en foi en notre Créateur, ce Dieu du possible, puisse nous redonner le goût de ne pas baisser les bras.  La bonne nouvelle, c’est que rien n’est jamais perdu, demain peut se transformer en des jours exceptionnels, avec des idées  nouvelles dans l’église et dans le monde politique accompagné de nouveaux défis qui peu se pointer à l’horizon. 

Ne perdez jamais espoir ni votre foi, rappelez-vous, la graine perdue dans les fissures de bétons, malgré tout, elle a repris vie.

J’ai compris qu’à chaque  jour qui passe, je dois cultiver l’espoir pour ceux que j’aime.

Isidore

 

LÀ OÙ EST VOTRE TRÉSOR, LÀ EST VOTRE COEUR

Le mal est simplement l’absence de Dieu  dans nos vie- Albert Einstein- 

Le passage de l’Évangile, celui que j’ai le plus médité et que j’ai essayé de mettre en pratique est celui où Jésus dit à ses fidèles,  » Tout ce que vous faites au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous le faites  »  Je crois en Dieu, je crois que chaque être humain a  des qualités et des valeurs extraordinaires.  Ce qui est le plus médiatisé dans les médias, c’est le mal; le mal est très populaire et valorisé.  À chaque fois qu’on ouvre la télévision, une tornade de mauvaises nouvelles nous assaillent comme la pire des tempêtes.  Ce qui est le plus monstrueux dans le monde de l’injustice, de haines, de vengeances nous est présenté sur un plateau d’argent qui bouleverse, blesse nos esprits et nos croyances.

Le bien, comme toujours est sans bruit, comme le lever du soleil puissant, et pourtant comme le bien, tellement discret que personne n’en parle. Et pourtant, rien ne prend vie sans le soleil qui discrètement répond son parfum et la vie à la grandeur de la planète.

Peu importe d’où tu viens, et où tu vas, tu trouveras sur ton chemin des gens magnifiques, des gens de grandes bontés et de générosités. Des familles extraordinaires, en amour et de pleines de  dévouement.   Il faut regarder autour de soi, bien regarder afin de voir ce qui ce cache dans le regard sur le monde d’aujourd’hui. Difficile d’être optimiste vous me dites !   L’humanité est le mal nous disent les médias sociaux, car les médias oublient de nous dire la cause, QUI EST  » L’ ABSENCE DE DIEU  » 

Ne vous laissez pas guider pas des pensées négatives, ou par des lectures, discours d’individus en mal de publicités qui veulent envahir vos esprits. Faites- vous confiance et partagez cette confiance qui est plus forte de le mal.  0n ne le dira jamais assez, ‘il y a beaucoup de bien, de prodiges extraordinaires qui se produisent dans le monde, mais c’est silence radio. 

Le pape François nous dit :  Pourquoi parler du mal, pourquoi pas dire   »  LE BIEN ET LE MIEUX  »   Le mieux, c’est de suivre son instinct et d’écouter son coeur.  C’est avec les yeux du coeur que vous pouvez admirer le monde, comme si vous étiez sur le dos d’un oiseau. 

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

LE HASARD, DÉTERMINATION ET COMPLIMENT

Les gens qui veulent fortement une chose sont presque toujours bien servis par le hasard. La chance n’est pas le résultat du hasard.- Balzac-

Je ne sais vraiment pas comment expliquer cela, comment expliquer l’histoire vrai  que je vais vous raconter. Chose certaine , lorsque je décide de m’impliquer dans un projet, j’y vais à fond, avec coeur et détermination.  C’est une découverte de  moi- même que j’ai développé lentement mais sûrement au cour de ma vie.  Les livres, les conférences, surtout le désir de m’améliorer, d’apprendre, et de faire mieux en été une vitamine constante, extraordinaire  pour développer  ma confiance , en plaçant ma foi en Dieu en premier et la prière à fait le reste.

Je parle beaucoup, je discute beaucoup et je pose beaucoup de questions.  Dans ma Péninsule acadienne au Nouveau-Brunswick, que j’aime beaucoup,  des amis professeurs me partagent qu’il y a de plus en plus d’étudiants qui se présentent aux cours le vente vide.  C’est une réalité répandue malheureusement dans nos écoles et cela peu importe le milieu; qu’il soit un milieu plus favorisé économiquement ou en milieu défavorisé.

J’ai organisé  un fonds d’aide en 1998 pour venir en aide à ces jeunes qui vont à l’école le vente vide avec l’aide bien sûr d’une équipée dévoué, et avec deux artistes généreux de leur horaire. Je parle du Dr. Gilles Lapointe, conférencier, chanteur et surtout très populaire.  Jean-François Breau , qui à l’époque commençait à être connu dans la région, avec son grand désir de faire une carrière dans le domaine de la chanson. Avec la gratuité et leur généreuse participation, nous avons attiré plus de 1100 personnes au Carrefour De la Mer de Caraquet.  Après avoir payé la location de la salle, et autres petites dépenses, un mentant de 10,800$  divisé en prorata de 3.600$ dollars que nous avons partagés dans trois polyvalentes de la Péninsule acadienne.  Une femme dynamique, dévouée et plein de talents s’est jointe à moi et à l’équipe.  Elle m’a simplement offert son aide et comment, Merci encore Pierrette Dugas. 

Lorsque le succès est accessible , il ne faut pas lui tourner le dos me répétait souvent ma grand-mère Anna.

Dans les années 1990 , je m’étais qualifié pour une conférence du président de ma compagnie qui avait lieu à San Francisco.  Michel Jasmin, vedette de la télévision Québécoise, était l’un des conférenciers invités de la compagnie, section francophones.

J’ai fait la connaissance de monsieur Jasmin dans le hall d’entrée de l’hôtel et je ne sais pourquoi durant la semaine, nos chemins se sont croisés pratiquement à chaque fois que je sortais de ma chambre.  Coïncidence ou pas, cela nous à permis d’avoir de nombreuses petites jasettes, pour finalement prendre rendez-vous pour un long café, ce qui lui a donné l’occasion de me confier plusieurs épreuves qu’il vivait à ce moment-là.   J’ai toujours pensé qu’il avait un grand besoin d’une oreille attentive et les circonstances ont voulu que je lui tendre les miennes.  Quand ces belles rencontres furent terminées, malheureusement, nos routes se sont séparées et nos routes ont continué avec nos responsabilités et nos obligations familiales.  

Pour l’année suivante  pour mon fonds d’aide, j’étais à la recherche d’un artiste populaire susceptible de nous attirer du monde pour m’assurer encore le succès pour les étudiants. Jean-François Breau me confirme sa participation gratuitement encore une seconde fois.  Mais, il me manque une autre vedette.  WOW!  Michel Jasmin est certainement la personne connue et aimée qui attire la foule pour nous assurer un autre grand succès.  Je n’ai malheureusement pas ses coordonnées, et je ne sais même pas , après toutes ces années passées, s’il se souviendrait de moi.  Je commence à comprendre pour un  individu que ce n’est pas facile de joindre une vedette de sa trompe. Pendant des semaines, à chaque moment de libre, je travaille à le joindre. Je parle à Radio-Canada, TVA et autres, sans succès.  Le temps passe et je suis à court d’idées.

j’avais oublié l’assistance annuaire . En soirée , je  compose le 514 Montréal et je demande à l’opératrice s’il est possible d’avoir le numéro de téléphone de Michel Jasmin,  vedette et animateur connu de la télévision.   » L’ opératrice  »  me répond gentiment:  Mon cher monsieur, si vous n’avez pas son adresse, c’est pas possible; avez vous pensé combien il y a des Michel Jasmin dans la ville de Montréal ?  Des centaines me dit-elle.  Je suis tellement déçu pour mon projet que je lui répond.  Mademoiselle, est-ce que je pourrais vous faire un compliment, oui certainement me dit t’elle.  Je ne sais pas si c’est vraiment votre choix ce travail d’opératrice,  avec la voix que vous avez je vous verrais bien à la radio, à la télévision, vous avez une voix envoutante, une voix qui sort de l’ordinaire et tellement belle.  Wow!  » Elle me réponds par des mercis monsieur, vraiment du me faite du bien  »  puis elle ajoute:  je vais vous donner le numéro de téléphone  de Michel;   MICHEL JASMIN, C’EST MON FRÈRE.  Wow ! Wow !  Michel c’est son frère !  J’EN N’AI ENCORE LES FRISSONS ! 

Imaginez la place du hasard, dans cette histoire ?  Le moment, la coïncidence, l’heure, la ville de Montréal avec plus d’un million d’habitants, la soeur de l’autre, et je sors de mon chapeau, l’arme puissant, l’arme du compliment, sans une petite miette d’arrière pensée et un petit miracle.  Que c’est gagnant un compliment, mais il faut qu’il soit sincère pour qu’il apporte des dividendes.  0n dit qu’un compliment, c’est la plus grande source de motivation pour un être humain.

Question:  le hasard existe-t-il ? 

Michel Jasmin accepte de venir donner une conférence gratuitement pour mon fonds d’aide.  Notre rencontre a eu lieu à l’aréna Rhéal Cormier de Shippagan, N.-B.  Je lui présente Jean-François Breau, qui fait la première partie du programme, ainsi que son père Denis Breau, qui sera éventuellement son gérant. 

Deux inconnus qui se tendent la main pour la première fois, sans imaginer un instant les conséquences positives pour l’avenir de Jean-François.

Comme un jeune loup affamé , Jean-François est en beauté ce soir-là,  il séduit le public par des balades sentimentales que les gens apprécient et en demande davantage par des applaudissements.   je suis avec monsieur Jasmin en arrière de la scène  qui, je le vois bien par l’expression de son visage ( qui ont n’a vu bien d’autres des chanteurs) , semble vraiment impressionné par Jean- François.  Un autre merveilleux  » hasard »  Monsieur Jasmin qui animait une émission très populaire à la télévision à ce moment-là , me dit qu’il va inviter Jean-François à son émission et qu’il va le  présenter aux téléspectateurs comme une future grande vedette de la chanson et lui prédire un grand succès. (Il avait fait la même prédiction à Céline Dion, pratiquement dans le même contexte ) 

Vous connaissez la suite de la magnifique carrière de Jean-François Breau qui nous fait tant de bien et tant de fierté et tant d’honneur avec sa gentille épouse, Marie-Ève Janvier. L’année 1999 est une année spéciale pour la carrière de Jean-François Breau.

Les gens oublient vite , une fois qu’ils n’ont plus besoin de toi, mais pas Denis Breau, le père à Jean-François qui me communique  par téléphone plusieurs fois par année pour me donner un compte- rendu de la carrière de Jean-François.

Depuis le séjour de Michel Jasmin chez moi à Caraquet , nous sommes toujours restés en contact. 

 

UNE VIE SAUVÉ EN DERNIÈRE MINUTE

Accompagné quelqu’un, c’est un choix, c’est vouloir marcher avec l’autre dans la joie où dans la peine.

Voici une histoire vrai:  Mon ami rentre dans un restaurant pour prendre un café et aperçoit une jeune fille assise dans un banc en arrière, un beau visage qui pleure.  S’approchant d’elle, il constate vraiment qu’elle pleure, ce n’est pas une illusion.  Poliment, il lui demande s’il peut l’accompagner pour boire son café, car il lui dit qu’il déteste boire son café seul.  Un vieux truc d’un homme qui en n’a vu d’autre en matière d’introduction.

De sa plus tendre voix, il lui demande ce qui lui cause tant de chagrin, et ajoute qu’il guérit facilement la peine qu’autre puisse avoir, peu importe les circonstances.  Sans le regarder, elle lui dit qu’elle n’a pas d’autre choix que de poser un geste qui va avoir de grave conséquences sur sa vie.  Quel geste peut bien commette cette belle jeune femme qui va avoir tant de conséquence sur sa vie ?   Il ne comprend pas.  Soyez sans crainte mademoiselle , j’ai l’habitude des confidences.  Elle le regarde pour la première fois et constate que mon ami à l’âge de son grand-père et peut-être plus.  Puis, lentement, elle lui rencontre qu’elle était amoureuse d’un homme qui habitait la région depuis quelques années et, finalement , elle lui annonce qu’elle est enceinte, depuis trois mois.  Son amoureux ne veut rien savoir de cette histoire et refuse d’assumer aucune responsabilité .  Quelques jours plus tard, il s’est acheté un billet d’avion et est parti sans laisser d’adresse comme le fond trop souvent malheureusement les hommes qui fuient les responsabilités. WOW ! 

Mon ami lui tend la main et se présente.  Je suis celui qui veux t’accompagner à mettre cette enfant au monde.  Je serai votre ami, votre grand- père et si vous voulez plus, je serai un bon grand frère pour vous. 

Elle avait rendez-vous à 4 h cet après-midi  pour se faire « avorter.  » Le temps à passer vite, et finalement la main de mon ami et la sienne sont restée collé ensemble pendant 2 heures avec cette étrangère.  Le sourire, la joie, le bonheur à fait place à la confiance et à l’avenir.   » UN ENFANT DE PLUS VENAIT D’ÊTRE SAUVÉ DE L’AVORTEMENT  »  ( Je ne veux pas blesser qui que ce soit qui crois le contraire) 

Mon ami a tenu sa parole d’être son grand- frère, un frère pour cette jeune femme .  Il a tenu sa promesse de l’accompagnée durant sa grossesse et bien sûr à l’hôpital pour son accouchement d’une belle petite fille.

Vers le septième mois de sa grossesse, il m’annonce par téléphone qu’il vient nous faire une visite à Caraquet, avec une belle surprise.  Étant au fait de cette merveilleuse histoire, nous étions content Edwidge et moi  et un peu excité de connaître cette jeune femme, d’être présent et de pouvoir lui parler.  Ce que représente ce choix, c’est fabuleux, c’est gros un vie, c’est grand une vie, c’est de l’amour pur, le le summum, je manque de mots. 

Enfin, le moment arrive, ça sonne à la porte.  Jamais je n’oublierai cet instant.  C’est elle qui est la première à la porte et je ne comprend pas pourquoi nous n’avons pas sorti la caméra pour filmer la scène.  En ouvrant la porte, elle m’a enlacé immédiatement dans ses bras pour me serrer bien fort pendant un bon moment.  Ce sont des larmes qui ont coulées dans ce premier contact et par la suite, avec les yeux brouillés, j’ai vu ce joli visage plein d’expressions positives.  Wow!  Je revois facilement les images et la reconnaissance envers mon ami qui nous à laisser jouir, en restant en retrait pour nous donner toute la place à ce grand moment.

J’ai réussi à sortir les premiers mots de ma bouche pour lui souhaiter la bienvenue à Caraquet et lui dire, tu vas être la plus belles des mamans.  Croyez-vous aux miracles ?  Croyez-vous aux hasards ?  Croyez-vous en la bonté humaine ?  La vie de cet enfants a été sauvé par quel effet du hasard ?  Quelques deux heures ont fait la différence la vie  où la mort de cet enfant à naître.   La rencontre de mon ami avec cette jeune femme est dû domaine providentielle  !   Je crois que la vie répond généreusement à nos attentes.

Jules Michelet nous dit que le hasard  sait toujours trouver ceux qui savent s’en servir entre le moment présent. Les gens heureux sont tous semblables, le rire est facile, l’expressions du visage nous parlent et la joie de vivre sont  exemplaires.  C’est exactement ce que je voyais du comportement de cette future maman.  Elle me confie à voix basse que son nouveau grand-papa , après s’être informé; me fait une grosserie spéciale  chaque semaine, car je dois bien me nourrir, moi et l’enfant à naître.  Elle nous annonces qu’elle va donner l’enfant en adoption avec joie et bonheur, c’est accepter dans ma tête nous dit-t-elle !  Je ne broncherai pas, c’est le bien de l’enfant ma grande priorité.  Nous l’écoutons en admiration même si c’est difficile à comprendre. Pendant quelle nous parle m’on esprit fonctionne et je lui pose finalement la fameuse question?  C’est quoi la différence  ce faire avorter où de donner la vie à l’enfant, pour ensuite le donner en adoption.  Avec ta permission,  j’aimerais te poser cet douloureuse  questions ?  Elle me regarde avec une expression qui me fige un peu, pour me réponde sans hésitation.   »  J’ai choisis la vie de mon bébé  à naître  parce que j’ai un choix maintenant, lorsque tu n’as rien devant toi, t’a rien à choisir  »  Wow!

C’est un coupe marié les nouveau parents, tellement heureux maintenant; lui est un ingénieur et elle travaille dans le domaine de la santé qui à adopté ce magnifique bébé, et avec une généreuse exigence qu’on tout moment,  la maman maternelle puisse revoir l’enfant à sa discrétion. J’ai eu le grand privilège de lire une belle lettre da gratitude envers mon ami, que le couple d’adoption lui à adresser pour avoir contribué à sauvé la vie de cet enfant, qui nous procure le bonheur recherché et la joie de vivre. Ce sont des mots du coeur qui touchent et bouleversant.

Mon ami est décédé depuis. Ce que je peux dire, c’est que cette lettre exprimait de la bonté, beaucoup de reconnaissance, de l’amour envers la mère et envers le bienfaiteur. 

Un homme sage à dit:  » Les personnes les plus importantes ne sont pas celles qui ont plus de connaissances. Ce sont ceux et celles qui ont le coeur plein d’amour, des oreilles prêtes à écouter, la main tendu et prêtes à aider par des gestes d’actions et de bonté « 

J’ai compris qu’à chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore