je reprendrai avec joie la reprise de mes chroniques en temps et lieu, sans vraiment savoir la date exacte. Un déménagement vient chambarder mes activités. D’ici là, je vous demande d’être optimistes et de croire en des jours meilleurs concernant nos collages d’affections envers ceux qu’on aiment. La pandémie exige !
0n me demande souvent comment réussir à préserver son optimisme quand tout va mal dans le monde, quand la » COVID-19 nous éloigne de ceux qu’ont aiment et nous confine à la maison, quand l’économie est fragile, et que la dette des provinces et du Canada bat des records, etc…
il est vrai que les journaux, les médias , la télévision regorgent que de mauvaise nouvelles.
Il faut lire les bonnes nouvelles qui fait du bien au coeur et à l’esprit. J’écoutais la Victoire de l’Amour ce dimanche à TVA, le message d’espoir de Ginette Renauld et du prêtre qui nous dit: Ce qui touche le plus dans la vie, » C’EST CE QUI EST PETIT » les petites choses , tel un sourire à un malade, une main tendu, un signe de la main par la fenêtre , et le fameux baiser avec les deux doigts.
La vie est toujours la même, peu importe la tempête. Vous avez le choix de subir ou la contrôler. C’est vous, uniquement vous qui la rendez belle ou qui lui donnez l’allure du désespoir.
Vous avez vu, comme moi à la télévision, la haine et le désespoir dans le vieux Montréal. Les commerces vandalisés pour manifester contre les restrictions.
Je vous souhaite de vous occupez de préserver l’optimisme dans votre vie, et vous n’aurez pas le temps de succomber au découragement.
« Quelqu’un m’ai dit au téléphone qu’il faut s’imposer de la discipline mentale et physique afin de surmonter l’épreuve » Super !
Je vous revient bientôt , je vous aiment, et que la foi et l’espoir vous guide.
Isidore