Tous les articles par Isidore Dugas

IL N’Y A PAS DE REPAS GRATRUIT DANS LA VIE

Qui sème chichement moissonnera chichement.  Qui sème largement moissonnera largement . 2 Corinthiens 9, 6 (Saint Paul)

Le téléphone sonne et la personne m’annonce au bout du fil que je viens d’être sélectionné pour recevoir une paire de billets d’avion, destination de mon choix, sans aucune obligation de ma part, c’est gratuit.

Je lui répond poliment  que je n’étais pas intéressé, merci beaucoup.  Il n’y a rien de gratuit, ou si peu, dans le monde.  J’ai été vendeur toute ma vie et ça commencé avec Fuller Bush pour payer mes études et je ne crois pas que j’aurais réussi avec autant  de succès si j’avais faire croire à mes clients que je venais leur faire un cadeau » sans obligation de leur part.  Une vente comporte toujours sa part de responsabilités de part et d’autres. c’est un contrat qui implique deux parties et chacun s’engage à en respecter les termes. ( En passant je dois dire que tous nous sommes des vendeurs et des vendeuses sans exceptions )

Le vendeur livre un produit un service et en retour le client verse les sommes entendues en vertu du contrat.  Simple comme principe, n’est-ce pas ?  Dans le monde des affaires, on comprend le concept, mais lorsque viens le temps de gagner sa vie, on en perd le fondement.  Pour m’éloigner de possible tentation ; j’ai   mis en pratique cette formules :  JE TRAVAIL COMME-CI JE N’AI PAS BESOIN D’ARGENT. Le besoin du client est prioritaire .

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

DIFFICILE DE VOUS DIRE POURQUOI !

Mon mentor me disait toujours : isidore, chaque jour qui passe n’est pas du temps  qu’il te reste à vivre, mais bien une expérience de plus qui s’ajoute ;a ta vie !

Difficile de vous dire pourquoi, en ce moment  même, la voix de mon mentor Gérard Bourgeois de Shédiac  N.B. , me résonne dans les oreilles. Je l’entends encore me dire Isidore ton plus grave problème se trouve dans ta tête. Je venais de sortir de communauté et mon estime de moi était presque à zéro.  En plus,  je n’avais pas confiance en moi, et je me trouvais tellement ignorant. En ce moment-là, je pense que je ne savais même pas  qui était le premier ministre du Canada.  Au séminaire on n’avait pas accès aux journaux, radio et télévision.

Dans ma tête, j’étais de loin et de très loin en retard comparé aux autres garçons de mon âge, je n’avais rien, pas un sous dans mes poches et rien pour m’habiller dans la garde-robe.

Un bon soir, M. Bourgeois m’a parlé comme un père parle à son fils.  Je sais: que ton rêve  s’est peut-être écoulé.  Mais tu n’est pas le seul à qui cela arrive.  Pour certain jeune de ton âge la compagnie pour qui lui où elles travaillaient à fait faillite, ou n’a pas été retenu pour une promotion.  L’autre leur mariage vient d’éclater et un autre a perdu l’amour de sa vie et son rêve est mort.

Que faire maintenant !  0uf ! Je venais de recevoir mon premier discours de motivation  sur la pensée positive.  Merci Seigneur ;  j’en avais tellement besoin pour parfaire mon éducation à l’âge de mes 22 ans.   « Crois que Dieu a le pouvoir de te confier de nouveau rêve Isidore, et qu’il va t’aider à faire ta marque dans un travail qui sera utile pour ton prochain.  » …..

C’est ce soir là que j’ai entendu pour la première fois de ma vie : ces petits mots qui ont fait leur bonhomme de chemin dans mon subconscient.   » Si tu peux rêver à quelque chose de grand, tu pourras le réaliser  »  Monsieur Bourgeois me parlait  en grec maintenant.  Non, non, jamais je ne pouvais croire ça.  Il me dit:  promet moi qu’a chaque jour, tu va répétés  cette petite phrase de quelques mots:  »  JE PEUX RÉALISER MES RÊVES ET JE VAIS AVOIR CONFIANCE EN MOI  »

Encore aujourd’hui, je répète cette fameuse petite phrase en silence , tel une prière . Vous savez quoi, non vous ne savez pas l’influence que ces petits mots en eu comme effet sur ma vie.  Maintenant c’est à  vous de croire  que vous possédez un talent unique.  Ce qui compte vraiment, ce n’est pas le talent qui vous habite, mais la force d’y croire et de ne pas craindre de ce que vous êtes.

En ce qui me concerne, je suis un homme comblé, car j’ai tout ; Une Edwidge merveilleuse, deux enfants et cinq petits enfants merveilleux, une bonne santé (jeune en masse) de quoi manger.  Je ne désir pour rien pour moi /, j’ai ma chronique /, de bons amis et je crois en l’avenir sans attendre quoi que ce soit de plus.

Monsieur Bourgeois à 22 ans a été confiné dans une Sanatorium et en est ressortir les poches vides et une garde-robe à sec. Lorsque je l’ai rencontré, il était prospère dans sa belle demeure avec son épouse Leona et sa charmante fille Irma.  Je vous souhaite un tel mentor.

isidore

UN SECRET SUR MOTRE PLUS GRANDE FORCE

c’est à l’intérieur de vous même que vous trouverez votre Eldorado :  Pays immensément riche.

Où se trouve notre plus grande force et notre grand pouvoir?  Pas plus loin qu’a l’intérieur de soi, dans notre cœur et dans notre âme.

Lorsque nous sommes triste  ou malheureux, lorsque nous traversons une dure épreuve,  il n’y a vraiment qu’un seul personne qui puisse nous comprendre et faire en sorte que notre chagrin s’escompte.  Et cette personne, c’est nous même.

Bien sûr, quelqu’un nous apporter du réconfort, de l’encouragement, une présence.  Mais la douleur persistera tant aussi longtemps que nous ne l’aurons apprivoisé et contrôlée.  Si mon ami à mal à la tête, j’ai beau compatir, je peux être désolé pour lui, mais je ne peux pas transporter son mal en moi.

C’est aussi comme la motivation, je peux motiver quelqu’un pour autant qu’il accepte d’aller voir à l’intérieur, puisque c’est là que tout se passe.

Pour se connaître de l’intérieur, il faut y aller souvent, régulièrement.  Il faut prendre soin de son intérieur et c’est aussi important que de prendre son bain ou sa douche tous les jours; donc pourquoi ne pas soigner son intérieur ?

En regardant ce qu’il y a à l’intérieur de nous-même, on peut y découvrir un être merveilleux, rempli de potentiel, de courage, de sensibilité, ainsi qu’une grande puissance et une grande force qui ne demande qu’une seul chose à se manifester.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

isidore

FACILE DE BLÂMER LES AUTRES QUE SOI

Si vous voulez des résultats que les autres n’ont pas, il faut faire des choses que les autres ne font pas, tel que blâmer les autres.  Jasmin Bergeron.

Ah !  Blâmer les autres ! Quel plaisir !  Pour ses malheurs, c’est trop facile et ça ne sert personne.  Nous sommes tous un peu responsable de nos actes, des bons coups comme des mauvais , même si nous avons tendance à rejeter la faute sur le premier venu, lorsqu’il s’agit des malheurs et des catastrophes bien entendu.

Tous, nous sommes responsable du choix que nous faisons dans les décisions que nous avons à prendre.  Pourquoi faire porter la faute d’une mauvaise décision à d’autres ?  Pourquoi s’en prendre au voisin, au patron, aux enfants, aux conjoints ?  Il est beaucoup plus rentable de reconnaître ses erreurs et d’en faire un prétexte à l’amélioration.

Tant et aussi longtemps que le ciel ou les autres seront coupables de vos bêtises, de vos échecs ou de vos malheurs, il n’y aura jamais place à l’amélioration, au changement, à l’évolutions. Vous aurez joint  le clan des êtres parfaits, capricieux, insatisfaits, blasés, et vous vous demanderez pour le reste de vos jours ce que vous avez fait au Bon Dieu pour mériter tant d’épreuves.

IL n’y a qu’un coupable, qu’un responsable et vous pourrez le pointer du doigt si vous passez devant un miroir. Moi, je me voie  très bien !

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

isidore

LES QUATRE  » R  » du DOC LAPOINTE

Renards, Regret, Rancune, et Ressentiment sont les tueurs de joie et de bonheur.

Le Dr. Gilles Lapointe, conférencier, me parlent de quatre mots qui font le malheur dans le monde.  Il s’agit des  quatre  » R « : Remords, Regret, Rancune, et Ressentiment  .  On dit que les mots sont plus fort que l’épée. Avec des mots en peut tuer, blesser, et tiens  une personne sur le neutre , t’avance pas, tu recules pas.

Mais avec des mots, on peut prendre une personne à terre, amoindri par l’épreuve et la blessure et lui donner confiance et la faire grandir. Les quatre  » R  » ce sont des concert qui tuent.

Ils ont une très grande puissance si vous  les faites fructifier dans votre subconscient.  Ces mots sont des tueurs de joie et de bonheur, d’énergie et de réalisations.  Ils ont la faculté de vous mettre sur le neutre au même diapasons qu’une dépression, c’est- à -dire que la personne n’avance pas; c’est le neutre, quoi !

Si vous voulez la tranquillité d’esprit, prenez un nouveau départ dans la vie ou recommencez à ZÉRO,  cela de façon  permenante.  Vous devez apprendre à vous débarrasser à jamais du remords, du regret, de la rancune, et du ressentiment.

Au cas où vous aurez pardonné à l’autre, n’oubliez surtout pas de vous pardonner si vous croyez que vos gestes et actions ne sont pas conformes à une conduite digne de confiance et de respect.

J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on dit de méchant, mais jamais ce qu’on leur à fait.

isidore

AIMEZ VOUS VOTRE TRAVAIL

Montrez moi quelqu’un qui à appris a aimer son travail et je vous montrerai quelqu’un qui marquera l’histoire. Montrez moi un homme sans rêve et je vous montrerai quelqu’un qui trouve le temps long.

Si je vous posais cette simple petite question : Aimez vous votre travail ?  Je suis certain que j’aurais autant de réponse différence que de personnes.  Pourquoi tant de gens aiment-ils leur travail et d’autres pas du tout ?  Nous allons revenir à la premier question.

Est-ce que vous aimez votre travail ?  Non !  c’est malheureux .  J’ai posé la question à plusieurs personnes, de métiers différents, et je vous transmets la réponse d’un charpentier.  Celui-ci m’a répondu : Pas vraiment, j’aime ça, mais parfois je n’ai pas de travail pour  toute l’année.  Je passe mon temps à courir de maison à maison.  Les gens sont difficile. Si j’avais le choix j’exercerais un autre métier car, vois-tu, l’été c’est trop chaud et l’hiver c’est trop froid.

À mon avis, ce n’est pas une bonne réponse à ma question.  La réponse de cette homme correspond à sa façon de penser. Est-il satisfait ? Je ne crois pas.  S’il avait répondu :  Mon travail varie de jour en jour.  C’est mon métier de construire des maisons ou de les réparer.

Je suis fier de rendre service et d’accomplir mon travail avec amour et de mon mieux. Je donne le meilleur de moi-même.  Je me trouve privilégié de construire des maisons.  Je bâtis des nids familials, c’est important et très valorisant.

Personne ne lui à jamais appris à idéalisé son travail et à avoir une meilleur attitude.  Peux importe le métier, si vous y mette du cœur , un petit miracle se produit et la passion donne à votre cœur de l’amour au travail . Si vous répétez quotidiennement , plusieurs fois  par jour cette petite phrase magique:  J’AIME MON TRAVAIL, J’APPREND À AIMER MON TRAVAIL,   la passion va éclore  dans votre cœur comme le petit poussin éclore de l’œuf.

J’ai appris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

VITESSE AUTOMOBILE, DANGER

L’homme responsable trouve des moyens; l’homme irresponsable, lui, trouve des excuses.

Texte de Patrick Leroux.

Jacques regarda longuement son odomètre avant de ralentir. Il indiquait 85km/h dans une zone de 50. C’étais la quatrième fois en quatre mois qu’il se faisait arrêter.

Robert ? se dit-il , le policier qu’il voyait à l’église tous les dimanches.  Jacques se cala davantage dans son siège.  C’est pire que de recevoir une simple contravention.  Ne pouvait-il pas comprendre sa hâte de retourner à la maison rejoindre sa femme et ses enfants après une longue journée de travail ?  Et de plus, il devais jouer au golf le lendemain avec lui.

Jacques est sorti de son automobile et s’est approché du policier qu’il voyait tous les dimanches.

Bonjour, Robert, ça fait drôle de se rencontrer comme ça. – Bonjour, Jacques, `répondu Robert sans lui rendre son sourire. —- Je présume que tu m’arrêtes alors que je me dépêche simplement d’aller voir ma femme et mes enfants. —0ui tu peux le présumer- Toujours son sourire. — Je comprend très bien ce que tu veux me dire, mais je connais ta réputation  de conducteur dans notre ville.

A combien ton radar m’a-t- il attrapé , Bob ?—-A 85 km/h  Pourrais-tu retourner dans ta voiture, Jacques, s’y il vous plait ?  Mais Bob, j’allais à peine 75 km/h. —-S’il te plait, Jacques, retourne à ta voiture.

Frustré, Jacques est rentré dans sa voiture, a fermé sa portière bruyamment et à fixé le tableau de bord. Les minutes passaient  et Robert .écrivait sur son gros carnet.  Pourquoi diable ne m’a-t-il pas demandé mon permis de conduire ?  Pas question que je joue  au golf avec lui demain . Non pas question…. et pas question que je lui parle à l’église dimanche prochain…

Une petite tape dans la fenêtre, Robert était là avec la contravention.- Merci , de lancer Jacques sèchement et Robert est retourné à son véhicule de police. Mais , qu’est -ce que  c’est ça ? Ce n’est pas une contravention . Robert lui aurait-il fait une face ?..Jacques commencé à lire :

Mon cher Jacques, il y a quelque années j’avais une belle petite fille.  Elle n’avait que six lorsqu’elle a été tué par une voiture.  Et tu auras certainement deviné qu’elle a été fauché par un homme qui faisait de la vitesse.  Bien sûr, cet homme a dû payer une amande et faire de la prison, mais après trois mois seulement, il était libre.  Libre de serrer ses propres filles dans ses bras..  Il en avait trois. Je n’en avais qu’une seul et je vais  devoir attendre  d’aller au ciel avant de la revoir et de la serrer dans mes bras.  J’ai bien essayé de lui pardonner et à mille fois  j’ai pensé  avoir réussi à lui pardonner.  J’y suis peut-être parvenu, mais j’ai besoin de lui pardonner encore.

Même maintenant. Prie pour moi, Jacques, et sois prudent. Mon fils est tout ce qu’ils me reste.

Robert

Jacques s’est retourné et  a vu la voiture de police quitter les lieux.  Lorsque Jacques est arrivé à la maison, il s’est empressé d’aller serrer sa femme et ses enfants dans ses bras pendant plusieurs minutes.

La vie est précieuse.  Faites-y attention.  Prenez vos responsabilité et n’accusez personne de vos erreurs.  Au volant de votre voiture n’allez pas trop vite, ralentissez.  Dites vous bien qu’il est préférable de prendre un peu plus de temps que de prendre une vie.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

isidore

 

REGARDEZ EN AVANT MAINTENANT

Dis-moi qui tu fréquentes maintenant, et je te dirai qui tu deviendras…

Bonjours mes amis, je suis de retour…

Félicitations ! Si, depuis toujours, tu  trouves que tu en arrache à l’école de la vie avec t’es fréquentations, j’ai de bonnes nouvelles pour toi.

Ta vie est  sur le point de changer… pour le meilleur .  Oubli la journée de hier, le mois dernier, l’année dernière, oubli tes supposés  amis.  Oubli les échecs , les déceptions et les mauvaise notes.  Tout cela appartiens au passé.  Ne te tourmente plus.  Regarde plutôt en avant. Tu sauras beaucoup mieux où aller.

En avant, c’est l’avenir.  C’EST EN REGARDANT EN AVANT QUE TU  VAS COMMENCER À TRANFORMER TA VIE.   c’est en regardant en avant qui te seras révélés les grands secret du succès.

Lorsque tu apprends à regarder en avant, tu apprend à construire un monde meilleur pour toi et pour ceux que tu aimes.  Il ne fait aucun doute que toutes tes années passés à école de la vie, tu as appris bien des choses, malgré tout.  Mais l’école  que tu vas fréquentes désormais  est formidable et rempli de joie et d’amour.

C’est une école où  tu pourras réaliser tes rêves………

Lorsqu’on sème le bien, le bonheur n’est jamais bien loin. Un de mes amis mes disait:  Qu’a chaque jour , il va conduire son fils à l’école et lui souhaite bien sûr une bonne journée , et lui ajoute cette petite recommandation:  » N’oubli pas Martin de faire plaisir à un  t’es amis aujourd’hui…. » Message qu’il lui répète quotidiennement.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

isidore

 

 

 

 

 

RECOMMENCER À VIVRE EN 2017,OUI, C’EST POSSIBLE

Vous êtes peut-être l’une de ces personnes qui fera la différence pour quelqu’un d’autre aux prises avec l’alcoolisme et la drogue.

Oui, c’est possible de recommencer à vivre même après avoir connu les souffrances de l’alcoolisme et la drogue.  J’ai rencontré , il n’y a pas si longtemps une personne qui me racontait qu’elle était revenue de sa descendre aux enfers de l’alcoolisme et de la toxicomanie.

Quel courage je lui ai dit:  ( pas d’accord avec  ma remarque ) Les victimes de telles maladies en sont l’incarnation parfaite .  Piégées au fond d’une abîme qui leur paraît sans issue, elles se consument intérieurement dans le désespoir et la déchéance. Il faut semble-t-il, y être passé pour en comprendre le véritable sens.

Elle avait réussi, dans un premier temps, à vaincre l’alcoolisme, mais elle s’en est remise aussitôt aux médicament. Après des années à ne plus être elle-même, à ne plus savoir comment s’exprimer, à ne plus avoir les idées claire, à agir sans aucune capacité de prendre des décisions, voilà qu’elle renaît à la vie, à la lumière, à l’avenir.

Je suis si heureuse pour moi-même et pour mes enfants, me confiait-elle.   Je pense être guérie et je le dois à mes quelques amis qu’ils me restent et à ce médecin qui m’a convaincu que je n’avais pas besoin de médicament pour vivre.

Oui, il est possible de vaincre l’alcoolisme, de vaincre toute forme d’abus.  Pour cette personne, quelqu’un a fait la différence….. Parfois il faut savoir lire dans le cœur de l’autre.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Je serai absent du 16 mars  et de retour avec ma chronique le 27 de mars.  je vous souhaite le meilleur avec le sourire et la santé.

isidore

 

 

SO LONG NOW ! I HAVE TO GO !

Certaines catastrophes, dans la vie, nous apprennent que vivre ne se résume pas à une ligne droite entre une date de naissance et une date de mort et qu’on peut avoir un sens dans sa vie en voulant tout prouver.  Croire à la vie après un grand drame comme celui du 11 septembre que je viens de revoir à la télévision, c’est accepter l’irrationnel !.

Je vous raconte l’histoire d’un homme dans la quarantaine marié, père de deux enfants.

Ce matin-là, le 11 septembre 2011, l’homme se lève à 6 heure, comme d’habitude.  Le temps est splendide.  C’est vraiment une belle journée de fin d’été.  Après son petit déjeuner, à 7 h 15, ce père de famille embrasse ses deux garçons et sa femme, se glisse derrière le volent de sa voiture et roule en direction de la gare. À 7 h 40, Il monte à bord du train qui l’amène au centre-ville de New-York.  Il s’engouffre dans l’ascenseur qui grimpe jusqu’au 89e étage où est situé son bureau au World Trade Center.  Il se met au boulot après avoir dit bonjour à son collège.

Environ une demi-heure après son arrivée, un bruit d’enfer l’étourdit complétement.  En peu de temps , le bureau est envahit d’une fumée noire.   Il quitte son bureau et tendre de se rendre aux escaliers près des ascenseurs. Il est impossible de descendre les escaliers.  Il y a trop de fumée. On étouffe,  »

C’est alors que le père de famille revient à son bureau, s’assoit confortement dans son fauteuil, prend une gorgée de café, saisit son cellulaire et compose le numéro à la maison.  Il annonce à sa femme qu’une catastrophe viens de se produire, qu’il n’a aucune idée ce qui a pu frapper l’édifice quelques étages plus bas et qu’il croit pas pouvoir s’en sortir vivant, tout espoir de fuite étant illusoire à cause de l’épaisse  fumée qui bloque le passage vers le bas.

Pour lui,  il semble que c’est la fin.  Il lui dit alors d’une voix tendre :  Merci pour cette magnifique vie vécue ensemble.  J’ai été profondément heureux avec toi durant toutes ces années.  Rappelle-toi toujours que je t’ai beaucoup aimé et t’aimerai jusqu’à la fin !  Merci pour les deux beaux enfants qu’on a eus ensemble. Refais ta vie, continue à bien élever nos deux garçons et fais-on des hommes.  N’oublie pas de leur dire que même si je travaillerais beaucoup, moi leur papa, les aimais plus que tout au monde.

Ce qui est extraordinaire dans cette appel téléphonique, c’est ce qu’il ajoute et dont je me souviendrai toujours. L’homme qui allait  mourir a terminé sa dernière conversation par  » So long now ! I have to go !  Puis, la conversation téléphonique à été coupé. Quelques minutes plus tard, la tour s’effondrait.

Oui, il faut se tenir près, sans toute fois  se casser la tête et faire confiance à la vie,  il est vrai , qu’ils  arrivent  souvent que le destin   empêches de dire un dernier mot à ceux qu’ont aiment.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

isidore