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LES QUATRE  » R  » du DOC LAPOINTE

Renards, Regret, Rancune, et Ressentiment sont les tueurs de joie et de bonheur.

Le Dr. Gilles Lapointe, conférencier, me parlent de quatre mots qui font le malheur dans le monde.  Il s’agit des  quatre  » R « : Remords, Regret, Rancune, et Ressentiment  .  On dit que les mots sont plus fort que l’épée. Avec des mots en peut tuer, blesser, et tiens  une personne sur le neutre , t’avance pas, tu recules pas.

Mais avec des mots, on peut prendre une personne à terre, amoindri par l’épreuve et la blessure et lui donner confiance et la faire grandir. Les quatre  » R  » ce sont des concert qui tuent.

Ils ont une très grande puissance si vous  les faites fructifier dans votre subconscient.  Ces mots sont des tueurs de joie et de bonheur, d’énergie et de réalisations.  Ils ont la faculté de vous mettre sur le neutre au même diapasons qu’une dépression, c’est- à -dire que la personne n’avance pas; c’est le neutre, quoi !

Si vous voulez la tranquillité d’esprit, prenez un nouveau départ dans la vie ou recommencez à ZÉRO,  cela de façon  permenante.  Vous devez apprendre à vous débarrasser à jamais du remords, du regret, de la rancune, et du ressentiment.

Au cas où vous aurez pardonné à l’autre, n’oubliez surtout pas de vous pardonner si vous croyez que vos gestes et actions ne sont pas conformes à une conduite digne de confiance et de respect.

J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on dit de méchant, mais jamais ce qu’on leur à fait.

isidore

AIMEZ VOUS VOTRE TRAVAIL

Montrez moi quelqu’un qui à appris a aimer son travail et je vous montrerai quelqu’un qui marquera l’histoire. Montrez moi un homme sans rêve et je vous montrerai quelqu’un qui trouve le temps long.

Si je vous posais cette simple petite question : Aimez vous votre travail ?  Je suis certain que j’aurais autant de réponse différence que de personnes.  Pourquoi tant de gens aiment-ils leur travail et d’autres pas du tout ?  Nous allons revenir à la premier question.

Est-ce que vous aimez votre travail ?  Non !  c’est malheureux .  J’ai posé la question à plusieurs personnes, de métiers différents, et je vous transmets la réponse d’un charpentier.  Celui-ci m’a répondu : Pas vraiment, j’aime ça, mais parfois je n’ai pas de travail pour  toute l’année.  Je passe mon temps à courir de maison à maison.  Les gens sont difficile. Si j’avais le choix j’exercerais un autre métier car, vois-tu, l’été c’est trop chaud et l’hiver c’est trop froid.

À mon avis, ce n’est pas une bonne réponse à ma question.  La réponse de cette homme correspond à sa façon de penser. Est-il satisfait ? Je ne crois pas.  S’il avait répondu :  Mon travail varie de jour en jour.  C’est mon métier de construire des maisons ou de les réparer.

Je suis fier de rendre service et d’accomplir mon travail avec amour et de mon mieux. Je donne le meilleur de moi-même.  Je me trouve privilégié de construire des maisons.  Je bâtis des nids familials, c’est important et très valorisant.

Personne ne lui à jamais appris à idéalisé son travail et à avoir une meilleur attitude.  Peux importe le métier, si vous y mette du cœur , un petit miracle se produit et la passion donne à votre cœur de l’amour au travail . Si vous répétez quotidiennement , plusieurs fois  par jour cette petite phrase magique:  J’AIME MON TRAVAIL, J’APPREND À AIMER MON TRAVAIL,   la passion va éclore  dans votre cœur comme le petit poussin éclore de l’œuf.

J’ai appris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

VITESSE AUTOMOBILE, DANGER

L’homme responsable trouve des moyens; l’homme irresponsable, lui, trouve des excuses.

Texte de Patrick Leroux.

Jacques regarda longuement son odomètre avant de ralentir. Il indiquait 85km/h dans une zone de 50. C’étais la quatrième fois en quatre mois qu’il se faisait arrêter.

Robert ? se dit-il , le policier qu’il voyait à l’église tous les dimanches.  Jacques se cala davantage dans son siège.  C’est pire que de recevoir une simple contravention.  Ne pouvait-il pas comprendre sa hâte de retourner à la maison rejoindre sa femme et ses enfants après une longue journée de travail ?  Et de plus, il devais jouer au golf le lendemain avec lui.

Jacques est sorti de son automobile et s’est approché du policier qu’il voyait tous les dimanches.

Bonjour, Robert, ça fait drôle de se rencontrer comme ça. – Bonjour, Jacques, `répondu Robert sans lui rendre son sourire. —- Je présume que tu m’arrêtes alors que je me dépêche simplement d’aller voir ma femme et mes enfants. —0ui tu peux le présumer- Toujours son sourire. — Je comprend très bien ce que tu veux me dire, mais je connais ta réputation  de conducteur dans notre ville.

A combien ton radar m’a-t- il attrapé , Bob ?—-A 85 km/h  Pourrais-tu retourner dans ta voiture, Jacques, s’y il vous plait ?  Mais Bob, j’allais à peine 75 km/h. —-S’il te plait, Jacques, retourne à ta voiture.

Frustré, Jacques est rentré dans sa voiture, a fermé sa portière bruyamment et à fixé le tableau de bord. Les minutes passaient  et Robert .écrivait sur son gros carnet.  Pourquoi diable ne m’a-t-il pas demandé mon permis de conduire ?  Pas question que je joue  au golf avec lui demain . Non pas question…. et pas question que je lui parle à l’église dimanche prochain…

Une petite tape dans la fenêtre, Robert était là avec la contravention.- Merci , de lancer Jacques sèchement et Robert est retourné à son véhicule de police. Mais , qu’est -ce que  c’est ça ? Ce n’est pas une contravention . Robert lui aurait-il fait une face ?..Jacques commencé à lire :

Mon cher Jacques, il y a quelque années j’avais une belle petite fille.  Elle n’avait que six lorsqu’elle a été tué par une voiture.  Et tu auras certainement deviné qu’elle a été fauché par un homme qui faisait de la vitesse.  Bien sûr, cet homme a dû payer une amande et faire de la prison, mais après trois mois seulement, il était libre.  Libre de serrer ses propres filles dans ses bras..  Il en avait trois. Je n’en avais qu’une seul et je vais  devoir attendre  d’aller au ciel avant de la revoir et de la serrer dans mes bras.  J’ai bien essayé de lui pardonner et à mille fois  j’ai pensé  avoir réussi à lui pardonner.  J’y suis peut-être parvenu, mais j’ai besoin de lui pardonner encore.

Même maintenant. Prie pour moi, Jacques, et sois prudent. Mon fils est tout ce qu’ils me reste.

Robert

Jacques s’est retourné et  a vu la voiture de police quitter les lieux.  Lorsque Jacques est arrivé à la maison, il s’est empressé d’aller serrer sa femme et ses enfants dans ses bras pendant plusieurs minutes.

La vie est précieuse.  Faites-y attention.  Prenez vos responsabilité et n’accusez personne de vos erreurs.  Au volant de votre voiture n’allez pas trop vite, ralentissez.  Dites vous bien qu’il est préférable de prendre un peu plus de temps que de prendre une vie.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

isidore

 

REGARDEZ EN AVANT MAINTENANT

Dis-moi qui tu fréquentes maintenant, et je te dirai qui tu deviendras…

Bonjours mes amis, je suis de retour…

Félicitations ! Si, depuis toujours, tu  trouves que tu en arrache à l’école de la vie avec t’es fréquentations, j’ai de bonnes nouvelles pour toi.

Ta vie est  sur le point de changer… pour le meilleur .  Oubli la journée de hier, le mois dernier, l’année dernière, oubli tes supposés  amis.  Oubli les échecs , les déceptions et les mauvaise notes.  Tout cela appartiens au passé.  Ne te tourmente plus.  Regarde plutôt en avant. Tu sauras beaucoup mieux où aller.

En avant, c’est l’avenir.  C’EST EN REGARDANT EN AVANT QUE TU  VAS COMMENCER À TRANFORMER TA VIE.   c’est en regardant en avant qui te seras révélés les grands secret du succès.

Lorsque tu apprends à regarder en avant, tu apprend à construire un monde meilleur pour toi et pour ceux que tu aimes.  Il ne fait aucun doute que toutes tes années passés à école de la vie, tu as appris bien des choses, malgré tout.  Mais l’école  que tu vas fréquentes désormais  est formidable et rempli de joie et d’amour.

C’est une école où  tu pourras réaliser tes rêves………

Lorsqu’on sème le bien, le bonheur n’est jamais bien loin. Un de mes amis mes disait:  Qu’a chaque jour , il va conduire son fils à l’école et lui souhaite bien sûr une bonne journée , et lui ajoute cette petite recommandation:  » N’oubli pas Martin de faire plaisir à un  t’es amis aujourd’hui…. » Message qu’il lui répète quotidiennement.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

isidore

 

 

 

 

 

RECOMMENCER À VIVRE EN 2017,OUI, C’EST POSSIBLE

Vous êtes peut-être l’une de ces personnes qui fera la différence pour quelqu’un d’autre aux prises avec l’alcoolisme et la drogue.

Oui, c’est possible de recommencer à vivre même après avoir connu les souffrances de l’alcoolisme et la drogue.  J’ai rencontré , il n’y a pas si longtemps une personne qui me racontait qu’elle était revenue de sa descendre aux enfers de l’alcoolisme et de la toxicomanie.

Quel courage je lui ai dit:  ( pas d’accord avec  ma remarque ) Les victimes de telles maladies en sont l’incarnation parfaite .  Piégées au fond d’une abîme qui leur paraît sans issue, elles se consument intérieurement dans le désespoir et la déchéance. Il faut semble-t-il, y être passé pour en comprendre le véritable sens.

Elle avait réussi, dans un premier temps, à vaincre l’alcoolisme, mais elle s’en est remise aussitôt aux médicament. Après des années à ne plus être elle-même, à ne plus savoir comment s’exprimer, à ne plus avoir les idées claire, à agir sans aucune capacité de prendre des décisions, voilà qu’elle renaît à la vie, à la lumière, à l’avenir.

Je suis si heureuse pour moi-même et pour mes enfants, me confiait-elle.   Je pense être guérie et je le dois à mes quelques amis qu’ils me restent et à ce médecin qui m’a convaincu que je n’avais pas besoin de médicament pour vivre.

Oui, il est possible de vaincre l’alcoolisme, de vaincre toute forme d’abus.  Pour cette personne, quelqu’un a fait la différence….. Parfois il faut savoir lire dans le cœur de l’autre.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Je serai absent du 16 mars  et de retour avec ma chronique le 27 de mars.  je vous souhaite le meilleur avec le sourire et la santé.

isidore

 

 

SO LONG NOW ! I HAVE TO GO !

Certaines catastrophes, dans la vie, nous apprennent que vivre ne se résume pas à une ligne droite entre une date de naissance et une date de mort et qu’on peut avoir un sens dans sa vie en voulant tout prouver.  Croire à la vie après un grand drame comme celui du 11 septembre que je viens de revoir à la télévision, c’est accepter l’irrationnel !.

Je vous raconte l’histoire d’un homme dans la quarantaine marié, père de deux enfants.

Ce matin-là, le 11 septembre 2011, l’homme se lève à 6 heure, comme d’habitude.  Le temps est splendide.  C’est vraiment une belle journée de fin d’été.  Après son petit déjeuner, à 7 h 15, ce père de famille embrasse ses deux garçons et sa femme, se glisse derrière le volent de sa voiture et roule en direction de la gare. À 7 h 40, Il monte à bord du train qui l’amène au centre-ville de New-York.  Il s’engouffre dans l’ascenseur qui grimpe jusqu’au 89e étage où est situé son bureau au World Trade Center.  Il se met au boulot après avoir dit bonjour à son collège.

Environ une demi-heure après son arrivée, un bruit d’enfer l’étourdit complétement.  En peu de temps , le bureau est envahit d’une fumée noire.   Il quitte son bureau et tendre de se rendre aux escaliers près des ascenseurs. Il est impossible de descendre les escaliers.  Il y a trop de fumée. On étouffe,  »

C’est alors que le père de famille revient à son bureau, s’assoit confortement dans son fauteuil, prend une gorgée de café, saisit son cellulaire et compose le numéro à la maison.  Il annonce à sa femme qu’une catastrophe viens de se produire, qu’il n’a aucune idée ce qui a pu frapper l’édifice quelques étages plus bas et qu’il croit pas pouvoir s’en sortir vivant, tout espoir de fuite étant illusoire à cause de l’épaisse  fumée qui bloque le passage vers le bas.

Pour lui,  il semble que c’est la fin.  Il lui dit alors d’une voix tendre :  Merci pour cette magnifique vie vécue ensemble.  J’ai été profondément heureux avec toi durant toutes ces années.  Rappelle-toi toujours que je t’ai beaucoup aimé et t’aimerai jusqu’à la fin !  Merci pour les deux beaux enfants qu’on a eus ensemble. Refais ta vie, continue à bien élever nos deux garçons et fais-on des hommes.  N’oublie pas de leur dire que même si je travaillerais beaucoup, moi leur papa, les aimais plus que tout au monde.

Ce qui est extraordinaire dans cette appel téléphonique, c’est ce qu’il ajoute et dont je me souviendrai toujours. L’homme qui allait  mourir a terminé sa dernière conversation par  » So long now ! I have to go !  Puis, la conversation téléphonique à été coupé. Quelques minutes plus tard, la tour s’effondrait.

Oui, il faut se tenir près, sans toute fois  se casser la tête et faire confiance à la vie,  il est vrai , qu’ils  arrivent  souvent que le destin   empêches de dire un dernier mot à ceux qu’ont aiment.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

isidore

 

 

Il FAUT Y METTRE TOUT SON COEUR

Les héros sont des gens ordinaires , doué d’une déterminations extraordinaire de réussir.  Mère Teresa

Je crois que la réussite est dans la poche de celui ou celle qui est capable de mettre du cœur à l’ouvrage.

C’est un état d’esprit qu’il faut cultiver au quotidien, mais comment y parvenir ?  Bonne question:  Imagine-toi que je te connais intimement et je t’explique que tu es le maître penseur.  C’est toi qui penses, qui possèdes les idées.  Tu as ton vouloir, ton potentiel, tes peurs, tes doutes  et tes problèmes, enfin tu as ta santé.  Comment changer et faire  le ménage dans tout ça ?  C’EST ÇA LE HIC.

je te préviens tout de suite :  Tu dois commencer par faire un STOP immédiatement.  Tu dois faire l’analyse de ta situation, car il faut que tu vois clair en toi pour trouver ton idéal de vie.

Si tu as un travail qui te permet de bien gagner ta vie, tu dois décider d’y mettre du cœur, de répéter tous les jours : — J’AIME MON TRAVAILET et j’idéalise mon travail !   Je veux devenir le meilleur, je veux devenir un gagnant. ( C’est petits, mon aidé à me conduire au sommet et au Temble de la renommée de ma compagnie le quatrième au Canada au cours de ses 130 années d’existence )

Tu dois implorer le ciel d’augmenter ta confiance.  Maintenant, sois assuré d’une chose :  Rien ne changera dans ta vie sans ta volonté et ton désir.  Toi seul peux prendre la décision de devenir un gagnant dans la vie professionnelle et personnelle.

Accroche un beau sourire à ta face comme me le recommandait continuellement mon épouse, ajuste ta mise en plis, sois plus confiant et plus gentil.  Je te prédit le succès.

Mère Teresa aimait  répéter :  Si vous jugez les gens, vous n’avez pas le temps de les aimer.  J’AIME LES GENS.

Copier ce texte  pour les transmettes à vos enfants et petits enfants.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

 

365 JOURS DE MARS, L’ANNÉE COMPLET POUR L’ÉGALITÉ DES FEMMES

Le défi d’aujourd’hui et demain c’est de changer nos mentalités envers les femmes qui ne sont pas inférieur à l’homme.  (Ah ! c’est une femme qui conduit ) Confucius a dit :  Que les hommes et les femmes sont semblables, seul, les désirs sont différents.

Les femmes ont de quoi être fières du passé et des progrès futurs et de leurs inspirations qui les a rendus fortes.  Les femmes ont fait beaucoup de progrès en matière d’égalité, mais pas encore assez.  Tu n’as pas besoin d’avoir des lunettes à doubles visions pour voir et reconnaître qu’elles ont encore beaucoup de chemin à parcourir.

Nous, les hommes n’oublions jamais ce que nos mère ont fait pour nous, et ce sont nos épouses qui ont fait ce que nous sommes aujourd’hui.  Les réalisations des femmes en éducations sont supérieurs à bien  des hommes , dans les arts , en médecines, et j’en passe.

Les femmes nous ont rendu meilleur et elle sont les piliers de nos collectivités, travaillant sans relâche pour nous et pour nos honneurs.

Un de mes amis qui travaille pour une cinquantaine de petites villes et villages au Québec me disait : Les conseils municipaux de ces villes et villages devrait être exclusivement  composés de femmes, car lorsqu’elle se présentent au conseil, elles ont fait leurs travaux et recherche et ont lu leurs correspondances.  Les finances se porteraient beaucoup mieux et la prospérité également.  Très baux compliment mes Dames..

Maintenant prenons un moment de réflexion  pour pensés à toutes les femmes qui vivent encore d’injustice , de violences , de soumissions et de grande souffrances dans le monde. Prenons un moment de réflexion pour penses aux petites filles qui sont touchées par les mains sales de l’homme et aux autres petites filles  martyres qui sont victimes d’excisions de leurs parties intimes (qui n’est pas un acte médical mais artisanal) et imposer par des convictions  religieuses et accepter dans notre pays, le Canada.

Certains politiciens nos disent qu’il faut accepter avec respect ces différences ont les accompagnons au non de la diversité culturelle.

Isidore

 

 

Suite: MON KIDNAPPING

Cette semaine, je vous propose un texte de ma biographie  » UN ACADIEN DÉRANGEANT ) Avec deux histoire vécu.

Après le souper, alors que je me retrouvais dans le même secteur pour y effectuer les livraisons, une auto ralentit derrière moi et finit par arrêter brusquement.  Des voleurs, sûrement, qui voulaient me soulager  de la marchandise et de l’argent sonnant qui alourdissant mes poches de mon pantalons.  J’AVAIS DES SOEURS FROIDES.

Le conducteur s’arrêta brusquement d’arrière la voiture de mon patron, et les trois passagers descendirent de voiture.  L’un d’eux m’interpella :  C’EST TOI LE GAS DE FULLER BRUSH !

je fis signe que oui, assuré que mon heure était sonnée.  Ces grands gars bâtis comme des armoires à glace allaient m’écorcher vif.

Embarque dans l’char,  Faut que tu viennes parler à ma sœur » dit l’une d’eux.

Ma première idée fut de saisir mes paquets et de prendre mes jambes à mon cou, mais  comme s’ils avaient lu dans mes pensées. deux des imposteurs m’empoignèrent par un bras pour me glisser sur la banquette arrière de l’auto.  J’eux beaux leur expliquer que je n’étais rien du tout, qu’ils se trompaient. que je ne pouvais rien faire, ils me firent descendre qu’une fois à la maison où habitait leur sœur.

Je me trouvais au beaux milieu d’une cuisine bondée de personne que je présume être de la parenté et voisin de la jeune femme.  Tour ce beau monde parlait fort et en même temps, certains plus haut que d’autres, et tout ce qui me vint à l’esprit fut de faire taire tout ce beau monde en me frappant dans les mains.  A mon grand étonnement , le silence se fit presque instantanément comme j’avais vu le préfet de discipline au collège imposer le silence.

La dame avec qui je m’étais entretenu plus tôt dans la matinée m’entraîna gentiment vers la pièce où sa fille pleurait son chagrin.

Moi,  le petit Dugas, avec mes 15 ans bien sonné, qu’est ce que je pouvais bien apporter de tangible et de réconfortant  à cette jeune femme à qui on venait d’arracher un morceau de son âme ?

Je m’agenouillai près d’elle et je la supplier d’arrêter de pleurer, car moi aussi je pleure, (et j’ai encore beaucoup d’émotion à relaté  cette histoire de mes 15 ans )  ce qu’elle fit à mon grand soulagement.  J’ai  eu le temps de supplier le Seigneur de venir à mon secours !  Je ne me souviens plus de ce que j’ai pu lui  dire, quels mots puissant ont pu sortir de ma bouche.  Je me rappellent seulement, comme si c’était hier, qu’elle semblaient suspendue à mes paroles et à mon regard. ( Le regard ne s’oublie jamais de la mémoire.)   Imagine-vous un peu mon épreuve ? Son espoir reposait sur mes épaules, comme si j’avais le pouvoir de changer les choses et de vaincre sa douleur.

Je n’ai jamais revu cette dame, je n’ai donc pas connu l’issue de ce drame, quoique j’aurais aimé savoir et encore aujourd’hui.

J’ai gardé cette histoire en moi, car je ne voulais pas que quelqu’un puisse rire de moi et qu’on me dise que c’était une histoire tordue.

Bien des années plus tard, j’ai réalisé que j’avais , ce jour-là, été fort et invisible comme jamais auparavant.  J’ai réalisé que j’avais signé MA PLUS GROSSE VENTE, la  plus grosse transaction et la plus importante et la plus marquante de toute ma vie, J’AVAIS VENDU DE LA CONFIANCE.

j’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

isidore

 

 

Suite- MA PLUS GROSSE VENTE

Cette semaine je vous propose un texte que j’ai pigé dans ma biographie  » UN ACADIEN DÉRANFEANT  »   Avec deux histoires vécu – suite –

C’est ma fille ! C’est ben terrible !  me dit-elle hâtivement. — Qu’est-ce qui est terrible Madame ?  Est-ce qu’elle est malade ?, demandai-je en la suivant sur les talons.– Non, mais c’est pour le devenir.  C’est son bébé qu’elle gardait et élevait.  Ils viennent de lui enlever.  Des fois j’vous dit que le monde tourne pas rond.  Ma fille, c’est une mère dépareillé, pis les vrais parents, eux autres, ça mérite même pas de s’appeler comme ça.

La dame accéléra le pas, je continuai à la suivre et je lui dis: – Voyons donc Y’a sûrement quelque chose à faire, il y a du monde aux services sociaux qui peuvent vous aider, il faut leur expliquer, il faut qu’il comprennent  que ça n’a pas de bon sens!

Déjà, cette injustice m’apparaissait trop cruelle.  Les pleurs de la jeune femme n’étaient pas ceux d’une névrosée, mais ceux d’un être blessé  à vif.  La mère s’arrêta soudain et m’adressa un regard franc et interrogateur, comme si ma naïveté la fascinait.

-Vous avez- peut-être raison, me dit-elle, et elle se remit à marcher.

Je la regardai s’éloigné d’un pas plus averti.  Puis elle se retourna et me dit d’un air sincère et candide.

Merci ben, monsieur, Merci ben !  Vous être ben bon !  et je retournai cogner à un autre porte, tout à coup conscient que j’aurai des comptes à rendre si je ne terminais pas ma route en temps raisonnable , mais la peine et les cris de cette jeune femme me poursuivirent pendant la journée.

MON KIDNAPPING—A demain-

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main ;a quelqu’un

isidore