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NOËL SOUS LE SIGNE DE LA FRAGILITÉ

Un texte  de Marco Veilleux avec sa permission.

Au cours de l’étrange année qui s’achève, le monde entier autant que chacune de nos vies ont été bouleversés. À travers cette pandémie qui ébranle tout, du plus intime de notre quotidien jusqu’au fonctionnement global de nos sociétés, quelque chose nous fait peut-être signe. Y AURAIT-IL UNE  » PAROLE  » À DICERNER, UNE   » VOIX  » À ENTENDRE, UN MESSAGE » À INTERPRÊTER » ? 

Et ci c’était l’occasion de réfléchir à nos priorités, à nos styles de vie, à notre rapport avec nous-même, aux autres et à l’environnement ?  Une remise en question de nos modes de consommation, de nos rythmes effrénés, de nos rapport sociaux, de notre organisation de travail et de l’économie ? 

Un réveil du sens de responsabilités à l’égard du bien commun ?  Un rappel du devoir de solidarité  envers les plus fragiles de notre sociétés ? À tout le moins, l’année qui s’achève aura certainement été une invitation à retrouver l’importance de  » prendre soin  » de soi, des autres (ainés en CHSLD, personnel  de la santé, réfugiés, etc)  et du corps social tout entier.

Dans la tradition chrétienne , le mystère de Noël célèbre  annuellement une étonnante histoire.  Celle de Dieu venant manifester dans la fragilité d’un enfant naissant au sein d’une famille pauvre et en déplacement, à qui l’hospitalité a été refusée  » car il n’y avait pas de place pour eux dans la salle commune »   ( Luc 2, 7 ) 

Formulons donc un souhait: que ce temps des Fêtes soit l’occasion de méditer sur cette fragilité  personnelle et collective, particulièrement mise en lumière depuis mars dernier.  Puissions-nous tous devenir davantage  » hospitaliers  » à cette fragilité qui nous révèle , en vérité, que  l’avenir de notre commune humanité passera nécessairement par une SOLARIDITÉ  toujours plus universelle. 

Marco Veilleux, intervenant en soins spirituels en milieu hospitalier.

Merci Marco de ta grande générosité et de ton amour pour les plus vulnérable de la société. Ton texte me donne de l’espoir.

Isidore

 

 

 

UN NOËL DIFFÉRENT, UN NOËL NOUVEAU, UN NOËL DE NAISSANCE

Quand vous pardonnez et lâchez prise, non seulement vous vous sentez soulager d’un poids énorme, mais la porte de l’amour  pour vous-même s’ouvre -Louise Hay –

Ce qui est bien, garde- le  !  Même si c’est difficile d’être dans la joie de Noël lorsque des enfants souffle de faim, quand la condition de ce virus prive de toucher ceux qu’on aime avant de mourir.  Même si c’est difficile d’être dans la joie de Noël lorsque la violence est dans nos maisons et qu’il y a tant de gens qui ne veulent pas de cette joie. 

Il faut mes amies, ami  que notre joie soit plus contagieuse et plus forte. Dans un monde divisé, l’un est pour, l’autre est contre.  Il faut l’amour et  moins de ( REPROCHE ) qui tue l’amour.  Que la puissance de l’amour ne soit pas seulement un mot, ni une intention, mais bien un acte, une action qui rapporte des dividendes.

Nous sommes à la veille de Noël, ce soir, c’est un soir spécial, un soir stimulant.  Il fut un temps où ce monde était parfait, jusqu’à l’arrivée de l’homme. Dieu à voulu soigner nos esprits : par le chemin de la réconciliation avec la naissance d’un enfant.  Ce nouveau né a été le plus grand, le plus précieux des cadeaux de Noël.

Puissions-nous en cette nuit de Noël de la naissance de l’enfant Jésus, lui offrir notre gratitude comme humain, comme chrétien, de se faire le plus merveilleux des cadeaux, celui du pardon; de se pardonner pour nos propres fautes, pour ensuite pardonner la faute de l’autre.

joyeux noël à tous dans l’amour et le pardon.

Isidore

 

 

UN NOËL DIFFÉRENT

Un noël différent, un Noël peut-être plus humain, un Noël qui porte à réfléchir, à changer de style par rapport avec nous-même et avec les autres.

À travers cette tragédie, ce (mortel)  de coronavirus qui cours dans l’air invisible, qui assaille nos esprits  sans exception, sans scrupule et nous dérange.  Pouvons-nous être à la hauteur  dans un commun d’accord pour lui dire un non collectif:  tu ne gagneras pas, c’est nous qui allons gagner dans le respect et l’amour d’autrui.

Noël sera grand cette année, à la grandeur de nos coeurs.  Un réveille-matin qui nous réveille à une nouvelle responsabilité à l’égard de conduite envers nous-même et envers les autres.

Noël sera grand, je ferai la différence, je ferai de mon mieux individuellement  pour qu’il soit rempli de foi et d’espoir. 

Noël, c’est la naissance de l’enfant Jésus, c’est la naissance du messie, c’est la naissance d’une nouvelle vie.

Noël, c’est la naissance d’un messie !  c’est quoi un messie ? 

MA DÉFINICTION  DU MESSIE

Un messie, c’est quelqu’un qui rend gloire à Dieu pour tous les bienfaits de sa création.

Un messie, c’est quelqu’un qui agit comme un sauveur pour lui-même, qui se donne de l’espoir, du respect, de l’amour, pour ensuite donner cet amour aux autres.

Un messie, c’est quelqu’un qui cherche à se connaître d’abord, avant de connaître les autres; qui s’améliore avant de chercher à améliorer les autres et qui grandi dans la foi en Dieu. 

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

   

DE LA PART DU PÈRE SERGE COMEAU

22 décembre 2019 . Voilà  ma prière pour Noël. Elle est accompagnée de mes voeux de bonheur de santé et de paix pour toi, Edwidge et la famille.  Que ce temps de réjouissances nous permette la joie, là où on ne l’attend pas. Bonne année 2020 que je souhaite surprenante à bien des égards !  » Surprenante à bien des égards  »  Il le savait.  Je frisonne encore en relisant ses mots.  Surprenante, et comment !

Je me permet, sans ça permission de vous partager ça prière qu’il a composé lors de son dernier séjour au monastère des Cisterciens.

SEIGNEUR JÉSUS,

Comme j’aurais aimé écrire une belle prière pour Noël

si j’avais réussi, je n’aurais pas compris

que tu as voulu la prière simple et pauvres des bergers.

J’aurais aimé que tu sois accueilli dans le monde

moins divisé et moins tourmenté 

                                 J’oublie ainsi que tu consens à venir

dans ce monde tel qu’il est pour le transfigurer.

j’aurais aimé te recevoir dans un coeur pur et dans une

vie accordée à mes désirs les plus profonds.

je rendrais ainsi ta venue superflue

pour purifier mes désirs et pour dissiper mes fautes.

MA PRIÈRE EST PAUVRE,

le monde est aussi divisé qu’il y a 2000 ans,

ma vie cherche à demeurer en toi:

VIENS SEIGNEUR JÉSUS ! 

Viens souffler sur la braise su monde et de nos vies.

pour rallumer un feu qui ne s’éteint pas.

                  Et pour prier, quelques mois mots suffisant devant un enfant

mon trésor, ma fidélité, ma vie ! Amen

J’ai compris que la prière, c’est toujours ça qu’il nous reste lorsque l’on crois avoir tout perdu, mais rien n’est jamais perdu avec la prière.  Merci Serge

Isidore

 

 

NOTRE PLUS GRANDE FORCE

C’est à l’intérieur de vous-même que vous trouverez votre Eldorado : « Paye immensément riche  » 

0ù se trouve  notre plus grande force et notre plus grand pouvoir ?  Pas plus loin qu’à l’intérieur de soi, dans notre coeur et dans notre âme.

Lorsque nous sommes tristes, ou malheureux de soi, lorsque nous traversons une dure épreuve, il n’y a vraiment qu’une seul et unique personne qui puisse comprendre et faire en sorte que le chagrin s’escompte. Et cette personne, c’est nous-même.  Bien sûr, quelqu’un peut nous apporter du réconfort, de l’encouragement, de la tendresse, une présence. Mais la douleur persistera tant et aussi longtemps que nous l’aurons apprivoisé et contrôler.  Je peux motiver quelqu’un à la condition qu’il accepte d’aller voir à son intérieur, puisque c’est là que tout se passe.

Pour se connaître de l’intérieur, il faut y aller souvent, régulièrement et quotidiennement.  Notre intérieur, c’est un bijou précieux, il faut y prendre soin.  0n prend son bain, ou sa douche tous les jours, pourquoi ne pas soigner son intérieur? 

En regardant ce qui se passe à l’intérieur de nous-même, on peut y découvrir un être merveilleux, rempli de potentiel, de courage, de sensibilité.  Ainsi qu’une grande puissance et une force pour rebondir et sortir vainqueur d’un échec, d’une blessure qui ne demande pas mieux que de disparaitre à jamais.

Je vous le souhaite !

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

DE LA PART D’UN AMI

Il était un fois un objectif, beau ambitieux et tout jeune.  Il avait toute l’année 2020 devant lui. À sa naissance, il était animé par une vie intérieur très forte qui s’appelait :   » LA FOI  » Puis, il commença l’année de travail 2020 , tout allait bien, jusqu’au jour où arriva un obstacle de taille le  » CORONAVIRUS  »  Là, ça été  le commencement d’une dure épreuve., car la vie si belle qui l’animait, devint malade.  C’ÉTAIT UNE FOI QUI NE SURMENTAIT PAS L’ÉPREUVE.  Alors l’objectif est mort, car la vie, la foi ne  » L’ AIMAIT PLUS « 

Peut-être  avez-vous compris, peut-être pas…. Laissez moi vous parler des gens que vous connaissez qui ont réussi.  Ah ! puis non, je ne vous en parlerai pas, parce qu’à chaque fois que j’en parle, j’entend votre intérieur me crier: Lui, qui réussit ce n’est pas pareil….Elle, c’est parce qu’elle est venu au monde, c’est à cause de son père…. et pour lui…si tu connaissais son petitesse d’esprit…NON…

Merie Donal Walch nous dit que tout ce que vous êtes, vous l’être parce que vous l’avez choisi de l’être. Vos désirs vous appartient !   Vos rêves vous appartient, car ils sont les vôtre et non celui des autres.

Permettez-moi de vous citer un grand de ce monde qui disait : »  LA FOI, c’est dans les épreuves qu’on sait si elle est vivante, où si elle est morte  »  Avant, il avait dit :  » TOUT EST POSSIBLE  » 

Texte de mon ami et ancien confrère de travail- Denis Bellemare- 

Merci Denis.

Isidore

DERNIER JOUR DE NOVEMBRE 2020

La reconnaissance est un habitude.  » Ne vous plaignez pas de ce qui vous manque…soyez plutôt reconnaissant de ce que vous avez – H Stanlez Judd-

Dernier jour de novembre 2020 , je vous propose un défi personnel, un défi  de sécurité, de confiance en vous-même et un désir de vaincre. Vous-savez que vous êtes votre propre source d’amour, de succès, de richesse et de santé. Personne d’autre n’a ce grand pouvoir sur vous, que vous-même. 

Vous n’avez pas besoin de l’influence des autres, ni de votre famille, ni du gouvernement . Vous posséder tout ce que vous avez besoin pour vous réaliser pleinement. 

Soyez conscient de votre valeur, conscient de votre énergie, conscient de votre intelligence personnelle. Tout ce que vous faites en cette période de CODID-19, pour vous améliorer, ne sera jamais perdu. 

Ayez des objectifs de bonheur à court terme, et d’autre à long terme. Prenez immédiatement quelques résolutions aujourd’hui même. Vous n’avez pas besoin d’attendre ler janvier 2021

j’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

L’HISTOIRE DE ANNE MARY FERGUSON

j’ai lu dans le Reader’s  Digest, il y a biens des années, une histoire qui a frappé mon esprit et que j’ enregistrée dans mon subconscient.  Celle histoire ma bien servi dans des conférences .

Anne  Mary faisait parti d’un groupe de femme d’action bénévole dans son coin de pays, les États-Unis. Elle participait régulièrement aux activités du groupe et, à l’âge de 77, elle se trouvait parmi les plus âgés. Elle était devenu grincheuse , la menteuse, et fatiguait les autres . L’une des bénévoles , un peu épuisée d’entendre ses lamentations, lui lança un jour:  Madame Ferguson, faites donc quelque chose avec vos dix doigts au lieu de vous lamenter continuellement.

Elle n’avait jamais suivi de cours d’art et n’avait pas d’instruction, mais savait toute au plus lire. D’un bond, elle décide de quitter le groupe et s’en alla acheter  des pinceaux et des toiles pour commencer à peindre avec ses dix doigts d’arthrites.

Elle ne connaissait rien du tout en peinture, et pour elle, une peinture où une autre avait la même valeur. Dix ans plus tard, Anne Mary était une des articles la plus connus des États-Unis.

Sa carrière fut sans pareille. Vers l’âge de 90 ans , des tableaux qu’elle venait de terminer se retrouvaient dans des galeries au États-Unis et dans bien d’autres pays. 

À son 100e anniversaire, des cartes de voeux lui parvenaient des quatre coins de la planète, incluant des messages des  quatre présidents vivant des États s-Unis.  

0n lui demande  à ce moment-là, ce que serait son message pour les gens âgées et les moins jeunes qui voudrait profiter de la vie.  »  Elle à répondu:  Je ne sais pas ce que mon message pourrait leur apporter; mais je dirais de ne jamais penser à la « VIELLESSE, NI À LA MORT »  Le Seigneur nous à mis sur la terre pour que nous puissions « JOUIR DE LA VIE » et nous devons jouir de la vie. Les gens seraient plus heureux s’ils oublient l’âge et s’ils pensent à eux d’abord, avant de penser aux autres. Wow ! 

Trop souvent, nos buts et objectifs sont associés à l’argent. Trop souvent, il y a des gens qui nous entourent et qui sont  bourrés de talents et ne fond rien. Tous et chacun de nous peuvent tirer une leçon de cette histoire. Tous les jours , il faut demander d’être guidée. Une demande si simple d’être guidée, mais il faut que ça soit dans la bonne direction comme Anne Mary Ferguson(ou McLaughlin)  Jouir de la vie ! 

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut demander au Seigneur d’être capable de jouir de la vie. .

Isidore

 

 

 

QUAND LA TERRE ARRÊTE DE TOURNER

Cette histoire est encore vivante dans ma tête et je ne sais vraiment pas comment elle refait surface dans mon esprit.  Je cherche une explication et j’en trouve pas, mais je suis content qu’elle s’invite comme ça dans  mon subconscient, qui a une garantie à vie de 100%  même si cela remonte bien loin, du temps que je travaillais pour la compagnie Fuller Brush pour payer mes études du collège. D’après mon subconscient cette histoire remonte à  ma deuxième année de vendeur Fuller Brush sur quatre. Je devais avoir certainement entre 17 ou 18 ans, lorsque pour la première fois , je suis devenu conscient des ravages que causent une séparation et le divorce.  J’étais vert, ou si vous  préférez, un néophyte pur et naïf jusqu’aux orteils qui croyait que le mariage était pour la vie.

Mon patron, Gilles Leblanc, avait fait des études classiques, il a grandi dans la région de l’Assomption, Montréal P.Q.  Très gentil, cultivé, bel homme, beau parleur, bien habillé, et  avec un sens de l’humour naturel.  Jamais cet homme m’a donné le mauvais exemple malgré ma grande naïveté. j’ai vite compris que les femmes étaient toutes en admiration pour mon patron et peut-être plus ! 

Malgré la pauvreté financière des régions, fin des années 19 50,  la Péninsule acadienne  et la région chaleur constituaient mon territoire comme vendeur des produits Fuller Brush.  Mon patron Gilles Leblanc est devenu le champion de la province du Nouveau-Brunswick dès ses premières années de service.

Ce vaste territoire lui permettait de choisir le village que je devais parcourir à pied en commençant par le début du village et le soir vers cinq  heures. Je le voyais arriver comme une bouée de secours, car pour moi, c’étais difficile, et parfois les journées étaient longues surtout la première année, car ma confiance à ce temps-là, était à son minium. 

Un autre grand défi qui s’ajoutait avec cet emploi d’été, on devait coucher à l’extérieur de mon patelin pendant une semaine complète. Par miracle, mon patron dénichait toujours une maison propre, confortable, une maitresse de maison belle, charmante, fine et accueillante.   Dans ma grande naïveté , je disais toujours à mon patron, tu es vraiment spécial pour trouver des madame si formidables. Je ne remarquais rien de spécial, même pas l’absence du mari.

C’est dans un de ces villages qu’une jeune femme me supplie de venir à son secours, car elle vit un affreux moment, son mari lui est infidèle et elle insiste pour que je trouve un moment pour qu’elle puisse me partager sa souffrance.  A cause que j’étais un étudiant du collège, on me demandait conseil et j’avais beaucoup de confidences  gênante pour moi, dans des  domaines que je ne connaissait pas. Mon mari fait ci, mon mari fait ça, mes enfants couchent  ensembles , etc.  La pauvreté me rendait mal à l’aise, ce qui me rendait encore plus inconfortable.  j’avais un autre problème, je refusais souvent de ne rien leur vendre, en leurs disant poliment que c’était mieux de garder leurs sous pour nourrir les enfants. 

J’étais un peu malheureux de manger et de coucher chez des étrangers, c’était le sacrifice que je devais faire pour payer mes études.  Je prends mon courage à deux mains et je demande à mon patron s’il voudrait bien me conduire chez cette madame qui veut absolument me parler.   » JE PLEURE MON CHAGRIN ME DIT-TELLE  »  Wow !  Pleurer un chagrin, comme un imbécile, je ne comprenais pas l’expression.  Cette soirée-là, j’ai fais mes premières classes au sujet du  » divorce »  bien malgré moi.

J’écoute cette jeune femme qui me raconte les aventures extraconjugales de son mari.  Elle me mit dans le secret le plus total, pour une confusion le plus totale pour moi. ( Le silence était à la mode pendant  ce temps-là, les catholiques devaient souffrir en silence pour mériter le ciel)  Je ne comprenais tout simplement pas, comment un catholique pouvait dérober aux règles de sa religion et vivre dans le péché.  Ma tête de jeune qui n’avait pas encore saisi toutes les nuances et les complexités  de la nature humaine. . Je me trouvais estomaqué, et sans utilité.  Je garderai le secret comme un secret de la confession. 

Je pleure mon chagrin, un mari qui la trompait, mais un mari qu’elle aimait par dessus tout. je me souviens.

Il faut se mettre à l’époque: Je n’étais pas préparé à avoir des confidences aussi fortes, surtout dans mes deux premières années de Fuller Brush.  Ah !  la quatrième année, j’en garde encore un bon souvenir, beaucoup moins de stress, plus de confiances et beaucoup plus payante. 

Mon subconscient se réveille, et je ris  comme un bon. Les histoires qui me viennes à l’esprit. Je vivais des histoires à tous les jours. J’aurais pu vivre des aventures de toutes sortes. De faire du salon, jusqu’à la chambre à coucher, ça c’était rien pour moi, je n’avais pas le temps et le péché……Ce qui me dérangeait, c’étaient  les confidences inimaginables qu’ont me confiait, que j’écoutais malgré moi et qui souvent m’empêchait de dormir. De la souffrance pure que je ne racontais jamais à mon patron, la peur de faire rire de moi et le respect de la confidentialité.  Exemple: Les jeunes femmes enceinte à cette époque étant forcées de donner leurs enfants à l’extérieur de la provinces à cause du déshonneur.  Ces confidences étaient vraiment trop pour moi seul.  Par contre, il y avait assez d’autres situations, que je me payais le Luxe de faire rire mes confrères du collège pour l’année. 

Marcher de maison en maison parfois éloignée me permettait de méditer et de préparer mon avenir. Comme l’herbe qui pousse en silence, tu frappes à une porte et que personne ne t’a vu venir, était très souvent imprévisible autant pour moi que pour ces gens-là. Parfois c’était comique, parfois c’était triste.  Ce travail d’itinérant à non seulement m’aider à payer mes études; j’ai appris à aimer les gens tel qu’ils sont, sans  préjudices, avec leurs vulnérabilités et leurs possibilités.  À chaque retour, à chaque porte que je frappais, j’étais heureux d’entendre dire après une année  épuisante:  Bonjour monsieur Dugas, on n’est tellement content de vous revoir. Et ça recommençait : Viens que je te présente ma belle grande fille, et tu restes dîner ce midi ; tu es tellement beau et encore des flatteries etc, c’était assez courant et c’était wow !  Difficile d’oublier ces moments précieux, où j’ai compris en marchant de maison en maison qu’il faut ralentir si on veut voir le bonheur venir. 

Marcher, c’est le beau de la vie, c’est la liberté de penser, de rêver, d’imaginer, d’écouter les chant des oiseaux, c’est croire que toute est possible, c’est portager l’espoir avec ceux ceux qu’on aime..

Isidore

 

 

 

 

LA GRAINE PERDUE DANS LES FISSURES DE BÉTON

0n ne parle dans les médias que des faiblesses humaines, politiciens, prêtres, pères et mères de famille , jeunes délinquants, meurtres crapuleux, etc. Mais on oublie ceci !

Il y a encore de la bonne graine qui tombe dans la terre à tous les jours, même si c’est dans des fissures de béton.  Il y a encore des gens merveilleux, des couples merveilleux, des prêtres, des frères merveilleux et des religieuses merveilleuses. C’est uniquement là que les biens pensant doivent poser leurs regards.  C’est là également, le grand miracle de la vie, car dans ces fissures, où la graine a tombé naîtra une nouvelle vie: CAPABLE DE SOURIRE AU MONDE.

Cultiver l’espoir pour ceux que vous aimez, où l’espoir et l’amour sont du même côté. Peut-être qu’en ce moment,  ce dimanche du 15 novembre 2020, vous êtes déprimés, vous avez entendu la mauvaises nouvelles concernant un proche qu’on aime, ce  jeune prêtre de chez  » Plaintes formelles d’allégation d’inconduite sexuelle et d’irrégularité financière contre le curé de Caraquet. ( Attention:  il n’a pas encore été trouvé coupable  )- Journal l’Acadie Nouvelle – 

Pour ceux et celles qui en foi en notre Créateur, ce Dieu du possible, puisse nous redonner le goût de ne pas baisser les bras.  La bonne nouvelle, c’est que rien n’est jamais perdu, demain peut se transformer en des jours exceptionnels, avec des idées  nouvelles dans l’église et dans le monde politique accompagné de nouveaux défis qui peu se pointer à l’horizon. 

Ne perdez jamais espoir ni votre foi, rappelez-vous, la graine perdue dans les fissures de bétons, malgré tout, elle a repris vie.

J’ai compris qu’à chaque  jour qui passe, je dois cultiver l’espoir pour ceux que j’aime.

Isidore