UN SUCCÈS QUI N’A PAS DE FIN

Un de nos grand Leaders, Richard Losier, est décédé le 9 juin à l’âge de 84 ans. Il était avant tout un père de famille, un papa dans le vrai sens du terme, ainsi qu’un amoureux de sa femme Noëlle  et de ses enfants et petits-enfants.

Durant son exceptionnelle carrière d’entrepreneur, Richard Losier avait un rêve, un grand rêves de bâtisseur, de créateur d’emplois.  Ainsi, s’est-il rapidement taillé une réputation de visionnaire pour sa communauté et les communautés environnantes .  Son Leadership impressionnant aura servi d’exemple à ses enfants qui lui a emboîte  le pas en devenant eux mêmes des Leaders.  Voilà toute un hommage que ses enfants pouvaient rendre à leur père.  Un cadeau de la vie que Richard Losier aura bien mérité.

En février 2019, la compagnie St-Isidore Asphalte célébrait son 50e anniversaire de fondation.  Cette compagnie a démarré ses opérations avec un vingtaine d’employés alors que maintenant , plus de 200 y gagnent leur vie.  Richard Losier en fut l’un des quatre associées fondateurs.  Aujourd’hui, avec son fils Ronald à la vice-présidence, l’avenir de la compagnie est en bonne main.

Quelque temps après que la compagnie à progresser, je reçois un important coup de téléphone de Richard Losier.  Il me demande de passer à son bureau pour discuter de plans de retraite pour une cinquante d’employés à l’oeuvre.  Sa requête m’impressionne  à plus d’un égard. D’une part, je suis extrêment touché qu’il m’ait choisi, moi, parmi tous mes compétiteurs. Mais, c’est au niveau du discours et de l’intérêt envers ses employées qu’il se démarque.  Il s’est avéré que ce coup de téléphone fut suivi de plusieurs autres, puisque Richard Losier a toujours pris les devant en matière de bénéfices profitant à ses employés.

C’est donc avec beaucoup d’émotion que j’essaie d’écrire ces quelques lignes. L’admiration que j’éprouve envers ces homme, son Leadership est sans borne.  Je tiens donc à lui témoigner ma plus grande reconnaissance pour la dose de confiance qu’il a fait germer en moi.   Mais encore, c’est son désir de visionnaire de partager avec des jeunes et moins jeunes à rendre possible de nombreux projets réalisables dans sa communauté et ailleurs.

Il était  un semeur et un exemple qui va survivre dans le cœur des gens qu’il a aimés et respectés.  

Comme je suis reconnaissant aujourd’hui d’avoir eu l’opportunité de lui exprimer de son vivant toute ma gratitude alors qu’il participait, en 2014, au lancement de mon dernier livre UN ACADIEN DÉRANGEANT.

Repose en paix, Richard !

Isidore

 

RÊVER VERSUS RÉUSSIR

j’ai récemment posé la question suivante à deux étudiants dans le cadre d’une discussion sur leurs projets d’avenir.  «  Si quelqu’un vous disait que vous pouvez obtenir tout ce que vous désirez dans la vie, le croiriez-vous ?   0h ma God !  La jeune fille qui à été la première à me répondre s’est exclamée d’un  » oui  » retentissant, décisif et indéniable.  0ui,  je sais ce que je veux de la vie et je vais m’arranger pour l’obtenir »  Wow !

Son ami, un étudiant qui est en deuxième année d’université, m’a pour sa part livré une réponse plus sobre.  En comptant sur ses doigt, il a commencé par me raconter que son père a eu six emplois et que, malgré tout, il n’est jamais parvenu à faire ce dont il rêvait dans la vie.   »  Moi, je ne sais pas encore ce que la vie me reserve  » m’a -t-il avoué.

Il y a un proverbe chinois qui dit, si vous ne savez pas où vous allez, vous ne saurez pas quand vous serez arrivé.  C’EST PLEIN DE BON SENS !

Êtes-vous d’accord avec moi pour dire que nous avons parfois la mauvaise habitude de s’inventer toutes sorte de raisons pour justifier nos échecs, nos erreurs de parcours, ou notre incapacité à obtenir ce que nous voulons dans la vie.

Tout au cours de ma carrière, à chaque fois que j’avais la chance, j’abordais ce sujet avec les jeunes et aussi les moins jeunes, car je sentais que chacun nourrissait ou avait nourri des idéaux qui ne s’étaient pas concrétisé.

0n me parlait de son rêve comme si on était certain qu’il ne serait jamais réalisé.  Il ne suffit pas d’en parler pour obtenir ce à quoi on aspire; rêver tout haut et se nourrir de bonne intention ne suffit pas.

Il faut y mettre du cœur, il faut y mettre beaucoup de volonté, de discipline, de détermination, de patience, de travail, de confiance, d’amour et de foi en soi.  Un certain réalisme aussi, de la planification, mais surtout de la persévérance ! 

C’est un peu comme partir pour un long voyage. Il faut d’abord savoir où l’on va.

Chose certaine, si on a le droit de rêver, c’est qu’on a aussi le droit de marcher droit devant.

Pour qui le veut, la réussite est atteignable !

Pour touché le cœur de gens, il faut être  » AUTENTIQUE  »

Isidore

 

JEAN-MARC CHAPUT

Le motivateur et conférencier Jean-Marc Chaput est décédé hier le 6 juin 2020, à l’âge de 86 ans. 

Il a m’a marqué aves son  » Sacrafice  !,  avec son clisse !, avec la phobie des pourquois… pourquoi tu travailles… que voulez-vous ?, qu’attendez-vous de la vie…. l’enfer, c’est les autres… »

J’ai souvent eu le privilège d’assister à ses conférence et d’avoir pu lui parler.  J’ai surtout médité ses questions ? Change ta vie ! T’es capable !  Croyez moi, il a été tout un modèle et un exemple  dans le cheminement de ma carrière.  J’ai non seulement médité ses mots, j’ai souvent dormi avec ses mots que j’enrigistrais dans mon subconscient.

Je lui dois une bonne part de mon succès dans ma vie professionnelle.

Ah !  je ne veux pas oublier les pourquoi et les comment de Jean-Marc.   » Ce n’est pas comment se sortir du « TROU  » qui est important, c’est pourquoi ?  

Il vous dirait aujourd’hui en parlant de la  Pandémie  que les gens sont en attente et subissent la vie.  Il nous dirait que la vie en quarantine, ce n’est pas  » faire du temps  »  Mais bien de  prendre ce temps précieux pour se poser des questions ?  

POURQUOI, POURQUOI, POURQUOI.

Savez-vous LE pourquoi que Jean-Marc Chaput à tant touché le cœur des gens ?  Simplement parce qu’il était  » AUTENTIQUE  » 

j’ai compris et Jean-Marc Chaput à compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

COMMETTE UNE ERREUR

Il faut toujours garder espoir, la vie nous réserve bien souvent des moments de grâce qu’il faut saisir lorsque nous commettons une erreur.

Lorsque nous commettons une erreur ou que nous subissons une épreuve comme la covis-19, il ne faut pas s’y arrêter trop longtemps.  Juste ce qu’il faut pour tirer une leçon.  Face à un échec , il faut garder la foi et, surtout ne jamais abandonner.

Faire un erreur, cela arrive à tout le monde.  Inutile de monter sur vos grands chevaux. inutile, de juger l’autre pour les siennes ou de rester malheureux indéfiniment pour les vôtres.   Si on reconnaît  sa faute, il faut savoir se pardonner, sinon comment s’atteindre à ce que les autres vous pardonnent.  

L’Affaire se passe entre toi et l’autre, qui peut tirer la première roche ! 

J’ai connu malheureusement des gens qui ont poussés leurs regrets jusqu’au suicide.  D’autre vivent accrochés à leurs mauvais souvenirs, incapable de tourner la pages.  Cette bonne dame qui avait de la difficulté de se pardonner de ses erreurs du passé, me disait :  Ah !  j’aurais tant aimer être parfaite !

Il y a encore ceux qui se séparent de leurs conjoints, conjointes et qui croient que la vie s’arrête là.  Il faut voir combien parmi ceux-là ont noué avec un autre conjoint, conjointe, une vie parfois beaucoup plus heureuse,  comblé de joie et de bonheur.

j’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

PRENDRE SA VIE EN MAIN

Bonjour les amis(es)

La joie la plus profonde de la vie, est de toujours enrichir les autres.

Prendre sa vie en main. Aucune potion magique ne peut mettre de l’ordre dans votre vie. Une autre personne non plus.  Il vous appartiens ce priviliège et pas à d’autre.

Je n’ai jamais, jamais cru qu’il était facile de se prendre en main.  C’est certainement plus facile à dire qu’à faire.  Je crois que la commande est possible, si vous changer d’attitude et faite le bon choix.  Il y a toujours d’autre solution, c’est de laisser le hasard diriger votre bonheur, votre succès et votre mentale. Ce n’est pas très fort et pas certain !

Quelqu’un me disait qu’il n’avait pas parler à ses frêres et soeurs depuis des années et que ça ne le dérangeait pas.  Je l’ai écouté, mais je ne le crois pas.

Si vous décidé de prendre votre vie en main, de régler des petits problèmes qui trainent depuis trop longtemps, c’est peut-être le moment propice  !  Qu’on dite vous ?

Un bon exemple:  Faites comme lui qui a décidé de renoncer à ce qui l’arrêtait et qui l’empêchait de progresser.  Aujourd’hui, ça vie est devenu correct et joyeux depuis qu’il a décidé de soulager son entêtement  et régler son corportement de vengeance avec son ex épouse.

Mettre de l’ordre dans votre vie, c’est jouir d’une plus grand paix qui vaut son pesant d’or et qui vous permet d’envisager l’avenir avec  confiance.

Autosuggestions:   » Je reconnais  et accepte chaque jour ma valeur personnelle et mon droit de réussir.  Je vis maintenant de manière à contribuer à mon harmonie envers moi-même et envers les autres que j’aime. Je veux créer toutes les facettes de ma réussite. je le mérite « 

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, je tend la main à quelqu’un.

Isidore

SAVOUREZ LE MOMENT PRÉSENT

Les personnes qui vivent de stress, d’anxiété ont tendance à élaboré des sénarios castastrophiques  en s’imaginons le pire .  Et une tendance à se projeter très loin dans l’avenir.  Ces habitudes mes amis(es) ne fait qu’augmenter le stress et l’anxiété.

Mon ami Michel Jasmin qui est venu nous visiter à Caraquet est demeurer quelques jours avec nous à la maison .  Nous avons gardez contact depuis.

Suite à son accident qui le conduit en enfer, lorsque les médecins lui confirment qu’il ne marchera jamais, il ajoute que si l’acident de voiture n’étais pas arrivé, il pense qu’il se serait certainement suicidé.  Ma vie désordonnée m’aurait conduit au suicide.

Puis il ajoute qu’une confiance en la vie, c’est une confiance en la journée qu’on vit, une confiance dans le petit bout de chemin de la journée, si petit soit-il.

C’EST À CELA QU’IL FAUT S’ACCROCHER NOUS DIT-T-IL !

Comment vais-je me sortir de cette catastrophe financière ?   je suis fini, je suis un gros  » ZÉRO  »

Pourquoi ne pas vivre aujourd’hui, demain c’est loin, c’est  une autre journée.   L’avenir il faut l’envisager en temps et lieu et ne jamais perde confiance.  J’ai connu cela une longe période de 7 mois sans résultat dans mon travail, sans production et une paye à  » ZÉRO  »  j’étais fini !

C‘est une vérité, et l’autre vérité, c’est la main d’un inconnu qui frappe à ma porte  que je laisse entrer, et c’est une mains qui frappe à la  porte à la minute qu’on attend pas, qui change le négatif en positif.

Il y a une certitude que personne d’entre nous ne peuvent contrôler le future, c’est le pourquoi qu’il est essentiel de se concentrer  sur le présent en étant responsable de vos comportements et de vos actions afin de ne pas répondre ce virus à nos familles et aux autres.

il faut penser à se dévertir ! 

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

 

 

RÉAGIR

Alors que je traversais  des moment difficile, quelqu’un m’a appelé  et à jour du piano sur mon répondeur. Je me suis senti entouré  d’un immense amour et d’espoir, mais je n’ai jamais découvert qui s’était. -Auteur inconnu –

Dans le malheur, ce qui fait la différence entre s’en sortir gagnant ou ne pas s’en tirer, c’est la façon  de voir les choses et réagir. Ne pas se laisser emporter par les événements, ne pas se laisser glisser dans le passif et la soumission.

Les circonstances est facile de prendre le dessus avec la CORVID-19  sur nos moyens et nos ressources.

Réagir, c’est répondre avec tous les atouts que nous possédons, et nous en avons une réserve souvent insoupçonné.

Réagir, c’est agir avec aplomb, avec nos tripes, avec le risque et l’instinct de survie.

Lorsque le malheur frappe, lorsqu’il nous arrache le cœur par morceaux, il y a matière à se sentir dépossédé de la vie même.  La peur, la peur de l’inconnu, l’angoisse sont humains. 

Il faut garder espoir.  Une main charitable tendus fait parfois des miracles sûr l’être humain. Il ne faut pas juger le comportement de l’autre, certains sont plus fort et plus courageux. Chacun possède sa propre nature et ses propres qualités.

Ce n’est pas de moi, mais d’un autre :   » Ce qui nous défini, ce n’est pas ce que nous sommes, mais bien notre capacité à se relever. »

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

POUR AIDER QUELQU’U

La définission de la motivation:  C’est aider quelqu’un à voir le bon côté des choses lorsque ça va moins bien.

J’ai lu quelque part que pour aider quelqu’un et pour que quelqu’un accepte de l’aider celui qui veux aider doit être positif.

Pour aider quelqu’un, il faut d’abort l’aimer et lui faire confiance, quoi qu’il advienne. Il faut savoir l’admirer pour ce qu’il est et sur tout ne pas juger.

Il faut se rappeler ce qui est bon dans chaque personne. Il faut lui dire et lui rappeler ses nombreux talents, de son savoir faire dans la tempête et les épreuves. Lui faire sentir son importance de faire en sorte qu’il ne se sente pas coupable. Au fond, et cela arrive souvent que la personne qui veux aider, n’est peut-être pas en meilleur conditions  que  celui qu’il veut aider.

Il faut savoir donner la chance à celui où celle qui est au tapis, parce qu’on ne sais jamais si notre tour de tomber viendra. 

Peu importent notre expérience, notre âge et notre statut social, on peut à tout moment se retrouver en bas de l’échelle, démuni et déprimé.

Que celui qui est debout, en possession de tout ses moyens, puisse alors se servir de cette positions pour relever l’autre et non l’écraser.  Et pour que quelqu’un progresse, il faut éveiller chez lui ses qualités, ses forces,ses bons coups enfuis sous le poid du découragement.

ÊTRE POSITIF, C’EST LA MEILLEUR FAÇON D’AIDER.

j’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

ÇA FAIT DU BIEN RIRE !

je compose son numéro de téléphone et , lorsqu’il  répond, je lui dis bonjour !

«  0ui, oui, oui, qu’il s’élance. »  Tu m’appelle pour ma fête, je viens d’avoir 85 ans, hier, j’avais 84, aujourd’hui j’ai 85 ans et demain je m’en vais vers mes 86 ans, et tu veux savoir si j’ai attrapé la corne……us.. Là je m’éclate de rire.  Non, poursuit-il, moi, je me protège avec du camphre !  (Selon le dictionnaire, il s’agit d’une substance aromatique cristallisée antalgique, mais toxique, utilisée dans les pommades )  Tu sais, moi, j’ai deux femme qui sont folles de moi, une pour l’avant-midi, et l’autre pour l’après-midi. C’elles qui sont allées m’acheter du camphre, me raconte–t-il.  J’en ai pour deux ans, tu veux savoir. 

Je me frotte partout sur l’estomac, ça sens à bon….mais vois-tu, ça me donne une chance de me reposer, parce quem comme ça, mes deux femmes me laisse tranquille.

Impossible de placer un mot.  Je ris sans pouvoir m’arrêter.  Il me raconte que sa grand-mère et aussi sa mère lui plaçaient un petit sac de camphre sur l’estomac lorsqu’il était enfant, et dans ses culottes lorsqu’il a commencé l’école ( il m’explique le pourquoi) je ris, je ris, c’est pas possible.

Il me dis que sa grand-mère ne parlait le jargon et que sa mère ne savait ni lire, ni écrire, et qu’elle lui disait que le camphre c’était bon pour la  » DÉPRIME  » je n’ai jamais attrapé la déprime de ma vie.  Je ris aux larmes ! 

Toute un personnage,  Puis-je vous dire que cet appel fut pour moi un merveilleux moment de détente !  La déprime a du chemin à faire avant de le rattraper, celui-là.

Il faut s’ajuster:  nous avons un monde à rebâtir.  C’est pas le temps de rester coucher.

J’ai compris qu’à chaque jour qui passe, il faut tendre la mains à quelqu’un.

Isidore

UNE ANECDOTE , JAMAIS OUBLIER !

Des l’âge de 15 ans, je me suis trouvé un emplois , vendeur des produits Fuller Brush, et je suis tombé sur un patron exceptionnel qui est devenu un amis pour la vie. Je lui suis énormément reconnaissant de m’avoir permis de gagner suffisamment d’argent pour payer quatre années de collège. Tous les jours, mon patron me déposait à l’entrées d’un village et me recueillait vers la fin de la journée pour que nous faisions la livraison des produits que j’avais vendus.

Ce que je vous raconte aujourd’hui remonte à mon deuxième été comme vendeur des produis Fuller Brush.  Mon boss Gilles Leblanc m’annonce qu’il me conduit dans un petit village par des gens en moyens.  Tu va faire de l’argent aujourd’hui, mon Isidore, me fait-il miroiter.  Faire de l’argent, c’est exactement mon plus grand désir pour payer mes études.

CETTE JOURNÉE, JAMAIS OUBLIER !  Dès la première maison où je me pointe, je suis accueilli par un gros chien qui semble vouloir me manger tout rond.  J’essaie de contrôler cette peur des chiens qui me fait trembler comme une feuille et, à corp défendant, je frappe à ma première porte au plus vite.  C’est là que j’apprend le prix que j’aurai à payer, cette journée-là pour vente des produits Fuller Brush à des villageois supposément  fortunées.  0n m’informe que, p’tit gars, tout le monde à un chien.  Le ciel viens de me tomber sur la tête.  0n me dit c’est ici  un village de pêcheurs d’éperlans et que, pendant l’hiver, le chien devient le seul moyens de transport pour se rendre à leurs filets de pêche.  Je suis terrifié, d’autant plus qu’on à la bonté de m’aviser que les chiens n’aiment  pas les étranger.

Je fais appel à tous les saints du ciel pour qu’ils m’évitent d’être manger tout rond et je reprend ma route la peur dans l’âme.

Il faut ce qu’il faut !  Déjà, que je fais ce travail juste par la puissance de ma volonté, mon cœur saigne à la longueur de la journée tellement je trouve difficile de frapper aux portes.

Ma troisième et quatrième année à été le contraire, beaucoup plus confiant, moins de peur et plus compétant.  Je tombe en amour avec ce travail et je fais de l’agent. j’ai l’impression que je rend des services.  Les mandâmes m’accueilles  avec beaucoup de chaleur, la joie de me revoir et la visite d’un étudiants qui parle bien, et qui répond aux questions, c’est spécial.  Les grand-mamans veulent me poser des questions et c’est WOW !.  Je garde la tête froide sur les conseil de mon boss.  Mais , il faut dire que pour certaines mandâmes , je suis leurs héros, celui qu’on attend et qu’on aime.

Je prend la décision de m’attarder pas plus que 20 minutes par maisons. J’ai des invitation pour dîner qui commence vraiment beaucoup trop tôt, des invitations de passer aux salons, des invitations ! !  !  Mon boss me conseil d’être prudent dans mes propos et la discipline à bien meilleur goût.  Je double et tripe mes commisions. WOW ! 

Je survis d’une maison à l’autre, celle-ci étant assez éloignées les unes des autres.  J’arrive donc à cette demeure et constate avec soulagement qu’il n’y a pas de chien dehors.  Je respire mieux et je remercie le ciel pour ce petit répit.  

Je monte les marches du perron en bois, pour une fois confiant et content, mais juste au moment où je m’apprête à frapper à la porte, une bête énorme bondit du dessous du perron en jappant à m’en crever les tympans.  Je m’élance alors sur la porte au même moment ou celle-ci s’ouvre tout grande comme ci elle avait été poussée par un coup de vent. C’est une question de vie où de mort, mais dans mon ardeur, je perd l’équilibre, si bien que j’atteris sur le dos, mes produits tout éparpillées sur le plancher de la cuisine.   La jeune femme qui m’accueille  pousse des cris de panique et de stupeur.

Nous sommes en pleine canicule du mois de juillet, cette jolie jeune femme est légèrement vêtue.  Quoiqu’encore un peu sonné de ma plongée sur son plancher de cuisine, je remarque tout de suite les rondeurs qu’une blouse à large encolure qui laisse presque à découvert lorsqu’elle me prend les mains pour m’aider à me relever.

Oh!  mes amis, les étoiles brillent encore !  Quelle révélationstran !  J’ai eu droit à la version  » réelle  » on trois dimentions – du tout au tout- !  rien à voir avec la version magasine….

Bref j’en oublie comment je me suis retrouvé assis sur une chaise, hypnotisé par la beauté exceptionnelle aux atouts des plus révalateurs, et l’humilation de me retrouver alonger sur le plancher de cuisine d’une  inconnue.  

J’ai toujours dit que j’avait perdu cinq livres cette journée-là.  Mais, j’ai été récompensé, n’empêche que mon patron avait eu raison. Ce fut ma meilleure journée de l’été et non seulement pour des raisons financière.

Je  tiens à le dire:  je suis profondément triste de constater qu’il y a présentement plus de 70000 personnes sans emplois au Nouveau-Brunswick et que les secteurs de l’agriculture et la transformation des produits de la mer ne peuvent même pas trouver preneur permis 70000 sans emplois pour travailler.  Les étudiants ou les autres sans emplois, ont tort de bouder ces emplois qui peut devenir une expérience unique et exceptionnelle, peut-être la meilleur université et qui sait, peut-être une vocation.

 » Programme de la journée ! ne rien faire, et si j’ai pas fini, je recommence demain  »

Isidore.

 

 

 

 

 

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