JE CHOISIS LE BONHEUR

 » Le bonheur, pourquoi le refuser ? En l’acceptant, on n’aggrave pas le malheur des autres.  Je trouve regrettable cette honte qu’on éprouve à se sentir heureux.  Albert Camus

Vous avez droit au bonheur. Nous y avons  tous droit.  C’est un fait, et c’est important de se le rappeler.  Je constate trop souvent que les gens se défendent presque de paraître heureux.  Ils me donnent l’impression de lutter contre le bonheur comme le kleptomane qui se retient de piquer une bouteille de parfum dans un magasin à rayons.  C’est comme si ces gens craignaient d’offenser ou de paraître prétentieux.

Ce sont des riches timides qui se défendent bien d’étaler leur fortunes.  Pourtant, être heureux, ce n’est pas honteux, ça ne contamine personne, ce n’est pas polluant .  Être heureux ouvertement , pleinement, c’est au contraire un bénédiction  du ciel pour ceux qui on sont témoins.

Je suis d’avis que l’on se retient par instinct de modestie et d’humilité.  C’est notre culture catholique soumis qui remonte à la surface. Je suis un fervent croyant en Dieu, en sa puissance et en son amour éternel, mais je ne crois plus que Dieu tienne à ce qu’on passe notre vie à être malheureux, et que Dieu n’a jamais eu besoin de nos souffrances, seulement de notre amour.

Je ne crois plus également que nous sommes nées pour un petit pain.  Je ne crois plus que Dieu existe pour châtier et punir.  Je l’ai pourtant cru pendant longtemps, jusqu’au jour où j’ai réalisé que l’amour et le bonheur tient du choix que l’on fait dans la vie, le choix entre faire le bien et faire le mal.  Sur les genoux de ma mère elle m’a fait comprendre la différence entre mal et bien.

C’est ainsi que l’amour du bien et du bonheur est venu frôler mon univers de jeune adulte, préalablement déchu par une vie de séminariste manqué et, marié à une femme exceptionnelle.

J’ai compris qu’a chaque qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

LE PRINCIPE DE L’ARGENT

Pour rester au sommet, pratique la pensée positive tous les matins, médite quelque minutes et prépare-toi maintenant à passer une bonne journée.

Un grand principe d’enrichissement que j’ai retenu et mis en pratique, afin de conseiller à des gens qui désirent mieux administrer leur argent, est que l’habitude de gérer son argent est plus importante que le revenu gagné.  Ce n’est pas la quantité d’argent à gérer qui crée l’habitude; ça commence très souvent avec des sous qui deviennent des piastres et qui se multiplient à la longue, pour atteindre le million.

Un autre principe qui doit meubler nos croyances :  N’économise pas ton argent pour les mauvais jours.  Tu vas rencontrer des circonstances très positive dans la vie, pas seulement  que de mauvais jours.  Économise plutôt pour les beaux jours à venir, des jours heureux et tu va recevoir de la vie le plus merveilleux des cadeaux :  une bonne santé et une bonne santé financière, avec le soleil de la Floride en plus.

En te rappelant  ce principe que l’argent ne peux faire de toi ce que tu es déjà.  À MÉDITÉ……..

Souvent quand tu perds espoir et  tu crois que  les soucis financiers va te  poursuivre toute la vie, Dieu nous sourit d’en haut  et te dit :  calme toi mon ami, c’est juste une étape , rien n’est fini pour toi, fait confiance à ta foi l!

Travaille comme ci tu n’avais pas besoin d’argent.  Fuis comme la peste les prophètes de malheur, l’assurance emplois, crois en toi-même et en ton potentiel et sois déterminé à réussir.

j’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

UN COUP DE POUCE POSITIF

0n ne peut être heureux que maintenant !  Personne ne peut être heureux pour demain! Seul le présent est réel !

Nombreux sont ceux qui croisent que les gens heureux n’ont pas de problème et qu’ils ne subissent jamais la défaite.  Au contraire, tout le monde, sans exception à des problèmes  et de plus commet des fautes.  Personne n’est sans péché.  L’être humain les considèrent comme des occasion de se développer et d’apprendre (Mon mentor me disait que c’étais une expérience de plus qui s’ajoute à ma vie)

Dans le journal l’Acadie Nouvelle de samedi 5 novembre, la chronique du Père Serge Comeau me parle tellement et me met en contact avec Dieu et ma faiblesse.  Titre :  » METTRE DERNIÈRE SOI TOUTES SES ERREURS » Je vous partage des passages de  sont texte.   » J’ai incité sur cette méditation parce qu’elle révèle mieux que tout autre texte l’identité de Dieu.  Dieu nous regarde avec émerveillement .  Il se réjouit de notre existence,  Il ne regarde pas le mal que nous faisons, mais le bien que nous voulons faire.  Il ne regarde pas où nous sommes rendus, mais là où nous voulons nous rendre.  »

 » Un des meilleurs moyens de progresser vers la perfection, c’est de mettre derrière soi nos erreurs et nos limites. Le plongeur avant de se jeter dans le vide, revoit dans sa tête les mouvement qu’il va exécuter.  Il ne veut pas voir défiler le plongeons qu’il à échoués. !  Au contraire ! il veux se voir à son meilleur.

C’est en se voyant à son meilleur qu’on est tiré vers le DÉPASSEMENT DE SOI. Serge nous invite à vivre en harmonie avec Celui qui vous a crée?  Retrouver votre désir de vous dépasser et éveiller le souvenir de vos réussites.  Novembre deviendra le plus lumineux de tous les mois !

Merci Serge pour ta chronique du samedi dans l’Acadie Nouvelle, si tu savais combien tes mots touche les cœur.  Nous t’apprécions et ton message de foi et d’expérence devrait être sur toute les tribunes, la radio et télévision.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

LA FOI, C’EST DE CROIRE QUE L’IMPOSSIBLE PEUT DEVENIR POSSIBLE

Comme l’a dit Michel-Ange,  »  Ayez en vous la flamme d’une chandelle imaginaire qui brûle haut et vif quoi qu’il se passe autour de vous.

J’ai retenu cette histoire, que j’aime beaucoup et qui décrit ce qu’est la foi.  La foi, c’est de croire que l’impossible peut devenir possible.  Un petit village subissait une très grave sécheresse et les fermiers s’inquiétaient pour leur récolte.  Après la messe du dimanche, les gens ont demandé conseil au curé.  Il faut faire quelque chose, ¨ca n’a pas de bon sens, il n’y a pas de pluie depuis un mois.  0n est train de perdre nos récoltes.  Qu’est-ce qu’on peut faire ?  Le curé répondit :  C’est très simple !  Vous n’avez qu’a prier avec foi.  Je n’ai pas d’autre solution.

Tous les fermiers et amis se sont réunis deux à trois fois par jour pour prier et demander de la pluie au Seigneur.  Le dimanche suivant, ils s’en retournent voir le curé  ,  M. le curé, ça n’a pas marché.  0n s’est rassemblé à tous les jours, on n’a prié et il n’a pas eu de pluie.

Alors, le curé leur dit:   » Avez-vous vraiment prié avec foi ?  »  Tous répondirent :  0ui !  Mais le curé ajoute :   » Pourquoi n’avez-vous pas apporté vos parapluies ce matin « ?  Voyez-vous la foi n’admet pas de doute !  Si tu visualises, tu pries avec la foi, ce que tu désires, tu l’obtiendras .

J’ai appris que nous sommes les reflets de nos pensés.  Si nos pensées sans pleines de doute et que nous avons un esprit fermé, sans être un espère, vous allez nécessairement agir selon vos doutes.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Passez une bonne fin de semaine.

Isidore

 

 

 

CROIRE EN SOI ET LIBÉREZ-VOUS

Je devais me libérer de cette mentalité d’esclaves », confia 0prah winfrey en parlant de la manière dont elle a pris ses affaires en main »

Nous avons tous besoin de croire en nous, d’être fiers de ce que nous sommes, de ce que nous  accomplissons et que, quelque part, nous contribuons à changer le monde pour qu’il tourne dans le sens des  aiguilles de la montre  come me le répétais si souvent mon mentor.

Croire vraiment en soi, c’est une forme de raison s’être.  La confiance en soi nous tire du lit le matin, éveille notre bonne humeur, nous rend sympathiques.

Croire en soi et se libéré, c’est aussi une forme de puissance.  Au fons, nous avons des responsabilités face à la vie.  Nous avons tout pour être heureux !  L’une d’elle, est de conserver et d’entretenir notre raison d’être.  Certains tombent malades parce qu’ils ont perdu la raison d’être, d’autres s’engagent dans la retraite sans projet et meurent à petit feu.   » moi je ne veux pas mourir à petit feu, c’est le pourquoi je suis occupé… » Il faut se poser la question  :  Qui est responsable de ta vie ?  Il y en a pourtant pour qui la vie n’avait rien de prometteur et qui ont trouvé leur raison d’être et le hic le plus merveilleux:   » D’ÊTRE UTILE  »   Un pouvoir à déplacer les montagnes d’une océan à l’autre .  ( compris, je n’exagère pas ! Ah , AH  »

j’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

AIMER SON TRAVAIL

Efforcez- vous toujours d’utiliser judicieusement votre temps car c’est cette utilisation qui sépare les gagnants des perdants. « Brian Tracy

Aimez-vous votre travail ?  Je l’espère pour  vous car vous y consacrez sans doute plus de moitié  de votre vie.  J’ai récemment posé la question à une commis-vendeuse dans une boutique.  Elle me fit comme réponse que ce travail était physiquement trop exigeant pour le salaire qu’elle en tirait, que le patron n’avait aucune considération pour ses employés, qu’elle se sentait continuellement surveillé par lui, et qu’a son avis, il n’avait confiance en personne. Elle s’en est également pris aux clients qui étaient trop capricieux et impolis.

Comme première réaction, j’approuvé de la compassion pour cette dame qui devait subir ainsi, pour un maigre salaire, les humeurs de son patrons et des clients.  Probablement un autre patron qui abuse de son personnel, me suis-je dit.

Mais de nouveau au volant de ma voiture, j’eus une deuxième réaction.  Comme c’est facile de critiquer, de tout détruire, de trouver un coupable en l’occurrence le patron.  Et bien y penser, les autres employés ne m’avaient pas semblé avoir des allures de victimes.  Il y régnait même un certain enthousiasme.

Depuis cette personne a été congédiée, ce qui m’incite à croire encore davantage que l’on travaille jamais vraiment pour les autres ¨même si on a un patron.  Au bout du compte, on travaille pour soi, pour ses propres besoins, pour sa propre satisfaction.  Ce cas démontre bien que cette employée n’aiment pas son patron, ni son travail, ni les clients et sans doute elle ne s’aimait pas elle-même.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

CHANGER SES HABITUDES ? POSSIBLE OU PAS POSSIBLE ?

C’est exactement ce que je veux vous inculquer : voir  votre quotidien sous cet angle; voir des choix où vous croyez percevoir des devoirs d’obligations.  Allan Lakein

Une nouvelle semaine qui commence !  C’est le bon moment pour changer ses habitudes:  arrêter de fumer, manger un peu moins, boire de l’alcool avec plus de modération, travailler un peu plus ou, encore, ne plus avoir de préjugées envers les autres.

Voilà une bonne décision pour commencer la semaine, soit celle de changer sa façon de penser, changer son attitude vis-à-vis de soi et de ton entourage. Mais après avoir pris la décision, combien de personnes reculent parce qu’elles sont découragées et qu’elles considèrent cela trop difficile.

Combien abandonne en se disant qu’il est plus facile de rester comme on est, que l’effort pour changer est trop grand, qu’elles ne réussissent  jamais, qu’elles n’ont pas de volonté.  Et c’est le découragement.  Elles ont l’impression que personne ne les aime et, bien souvent, elles ne s’aiment pas elle-même.  Aux prise avec leur impuissance d’agir, elles s’imagine qu’ils n’y a plus d’espoir.

C’est faut !  on dit que l’espoir est plus fort que la douleur.  La foi est la plus grande force qui soit.  Il faut prendre le risque, ou plutôt se donner une chance de réussir.  Il faut décider d’agir: aller voir un ami, demander conseil auprès de connaissances qui ont vécu et surmonté des problèmes semblables aux siens, consulter un thérapeute.  Pourquoi pas?  Pour autant que l’on soit les décideurs face au changement.  C’est votre choix, il est possible de devenir la personne que l’on aiment le mieux : c a d  VOUS MÊME !

j’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

MOM PÈRE AVAIT SA PASSION DE MONTER À CHEVAL

Une histoire vrai, que je vous partage qui viens du livre Best-Seller,  » LA LISTE » de Jérémy Demay,  édition un monde différent

Un jour ou il rentrait à la maison après avoir fait des commissions, ma sœur, ma mère et moi sommes allés le voir mon monter à cheval.  0n allait rarement le voir quand il montait seul, mais ce jour- là on est allés.  Il faisait des tours dans un carrousel.  Il est passé devant moi à plusieurs reprises.  Il m’a souri.  Cinq tours plus tard, il a fait une crise cardiaque, et il est tombé de cheval.

Ma mère  a couru vers lui en criant.  En arrivant près de lui, elle a mis sa tête sur ses genoux.  Je me suis approché sans comprendre ce qui se passait.  Mon père respirait fort.  Il avait beaucoup de salive qui sortait de sa bouche.  0n m’a éloigné de  cette scène.  Plus tard, j’ai compris qu’a ce moment là, j’avais vu ma mère impuissante devant la vie qui lui prenait son mari.  J’avais huit ans, et je venais de voir mon père mourir.

Je me suis souvent demandé pourquoi ça m’est arrivé à moi.  Peut-être pour me faire comprendre que la vie s’interrompre  à tout moment . Peut-être pour vous transmettre que c’est possible d’être heureux après  avoir perdu un être cher.

En tout cas, si vous avez encore votre père et votre mère, je vous souhaite de l’embrasser comme lorsque vous aviez six ans, je vous souhaite de lui dire à quel point vous être reconnaissant pour tout ce qu’ils fond pour vous.  je vous souhaite de comprendre à quel point vous êtes chanceux de les avoir avec vous.

Merci Jérémy de nous faire comprendre que la vie est un x à l’inconnu

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

NOUS AVONS TOUS UN GRAND POUVOIR

Nos seules limites sont celles que nous nous imposons.  Ces limites deviennent  notre réalité entre nos choix du bien et le mal. Alex Morrison

J’ai lu cette histoire  il y a bien des années à l’époque du collège, mais elle a toujours rester collé dans ma mémoire.  Parce qu’elle m’a enseigné que le pouvoir appartenait au monde, moi compris.

C’est l’histoire d’un homme sage qui vivait seul dans une petite cabane entouré de verdure, de petite bête sauvage et beaucoup d’oiseaux dans le nord de l’Italie.  Les gens venaient de partout pour le consultés et lui demander conseil.

Un bon jour, deux jeunes garçons voulaient le mettre  à l’épreuve.  Ils se présentèrent à lui et l’un d’eux lui dit :  « Je tiens un oiseau enfermé dans ma main !  Dites-moi s’il est vivant ou s’il est mort.« Et l’homme sage de répliquer:   » Si je te dis que l’oiseau est vivant , tu va fermer la main et le faire mourir.  Et si je te dis que l’oiseau est mort, tu va ouvrir la main et le laisser s’envoler.   »  Devant la mine déconcerté des jeunes garçons, l’homme sage ajouta:   » Voyez vous , mes enfants, vous détenez dans vos mains un très grand pouvoir, celui de la vie ou de la mort.

Voilà pour la petite histoire touchante et plein de vérité?  N’est-ce pas  exact que nous possédons tous ce grand pouvoir de vie et de mort, un grand pouvoir de faire le bien ou faire le mal, un grand pouvoir de justice  et d’injustice, un pouvoir d’amour ou de haine,  le pouvoir de vivre heureux ou malheureux, enfin le grand pouvoir de rendre les autres heureux ou malheureux.

J’ai compris qu’a chaque jour qui passe, il faut tendre la main à quelqu’un

Isidore

 

GUÈRIR AVEC LA FOI

Plus d’un fois, j’ai été témoins de gens surpris de se reconnaître dans les scènes du chemin de la croix et de la foi.  Ces gens qui se disaient non-pratiquants semblaient découvrir ou redécouvrir jésus . Réjean Bernier

Lorsque la maladie frappe, on a souvent tendance à s’y soumettre parce que l’on se sens coupable.  Coupable de n’avoir pas su prévenir, de n’avoir pas mis toutes les chances de son côté, d’avoir fait des  abus, etc.   Mais à défaut de ne pas avoir contribué à  se garder en santé, on peut contribuer à sa guérison.

En effet, on peut guérir et trouver la paix de l’âme pour autant que l’on mettre de côté toutes nos inquiétudes.  Il faut retrouver l’énergie d’avant et s’en servir pour ne penser qu’a guérir.  C’est ça la nouvelle job lorsqu’on est malade.  Ne pensé qu’a guérir!

C’est possible si l’on sait s’accrocher à sa foi.  »  La foi, c’est toujours ça qu’il nous reste lorsqu’on n’a tout perdu.  »  Ce qui nous paraissait impossible devient possible lorsqu’on croit.  Croire en soi, croire en son médecin , croire aux traitements et , croire en Dieu.

J’achetais à la douzaine et je faisais des commendes de livre du Dr. Bernie Seigel , « L’AMOUR, LA MÉDECINE ET LE MIRACLES » pour donner à mes clients malades où qui devais subir une grave opération.

Jésus a dit:  « Croyez, car rien n’est impossible »  Jésus n’a rien éliminé.  Il a dit que rien n’est impossible.  Sortir vivant d’une catastrophe lorsque les meilleurs experts confirment le contraire, c’est ça guérir.  La foi vole au-dessus des paroles et de la science des hommes.

J’ai compris qu’a chaque jour qu’il faut tendre la main à quelqu’un.

Isidore

Le site d'Isidore Dugas